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Dernière modification par XarnaS (23 juillet 2017 à 20:12)
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Stopper doucement c'est quoi pour toi? Peux-tu nous en dire plus sur les sevrages que tu as tenté? Tu es peut-être allée trop vite.
Amicalement,
Green
Dernière modification par Green (23 juillet 2017 à 21:42)
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Rien ne t'oblige à aller à la pharmacie et à prendre le tramadol, tu accuses ton médecin mais c'est toi qui prends le tramadol.Surtout ce que je comprends pas c'est que tu as mal. On peut vivre avec la douleur jusqu'à un certain seuil. Moi à partir de 7 ça devient compliqué et à 8 je peux plus faire face à la vie quotidienne. En dessous je m'en fiche, mais le problème c'est que au meilleur de ma forme je suis à 7 (sauf parfois où miraculeusement ça redescend pendant 24 heures).Donc soit je vis pas soit je prends des opiacés.La question pour toi c'est de savoir si ton désir de tramadol te pousse irrésistiblement à prendre des dosages récréatifs supérieurs, ou à augmenter les doses régulièrement.Si c'est le cas tu peux chercher un produit moins addictif comme le Temgesic que ton médecin peut te prescrire.
Tu as raison, notamment pour ta 1ere phrase, qui je trouve est un peu blessante, mais tu as raison, je ne suis pas le genre à prendre la mouche. Je continue d'aller chercher mes boites à la pharmacie car rien d'autre ne soulage ma douleur au dos. Et aussi parce que, et je pense que c'est là où tu veux en venir, effectivement je comble ma dépendance (involontairement, ou pas, je ne sais pas). En revanche là où je ne te "suis" pas, c'est le mot "désir". Je ne désire pas mon Tramadol, je désirerai au contraire ne pas être obligée de le prendre. Par contre, oui, le fait qu'il me soulage réellement me pousse effectivement à augmenter la dose, les joies de l'accoutumance m'ont menée à la dépendance, là dessus tu as raison... Et je remercie pour la référence de produit moins addictif, j'en parlerais à mon médecin, je verrai cela avec lui. Merci.
Le Laroxyl, je l'ai déjà pris (mon Dieu, son goût... je ne l'oublierai jamais). Pour mes migraines. Je l'ai stoppé quand mes migraines ont été de plus en plus rares grâce notamment au sport. J'ignorais qu'il pouvait agir sur une douleur dorsale.
Mais si tu n'as pas de problème de dérapage de consommation, et si tout le reste échoue, alors bienvenue au club. On n'a rien d'autre que les opiacés et franchement on peut passer toute sa vie sous opiacés. C'est pas génial, mais c'est mieux que de pas vivre.
En effet je ne "dérape" globalement pas, peut être ai-je déjà doublé ma dose de somnifères par dépit un soir ou 2, mais globalement je fais attention. J'ai déjà fait l'erreur avec le Tramadol, j'ai oublié l avoir déjà pris (d'où le fait que je vais suivre votre conseil de pilulier), et je l'ai très mal vécu (nausées, migraine...). Je suis d'accord, c'est évidemment mieux que de ne pas vivre. La seule chose qui me poserait ici soucis est un désir de grossesse l'année prochaine, et pour se faire, j'aimerai que ma consommation de médicaments "forts" soit amoindrie. Mais évidemment, cela ne se fera que si mes douleurs physiques cessent, une grossesse avec un dos en charpie, ça ne m'intéresse pas.
Je vais me bouger le popotin pour le centre anti douleur. Très honnêtement, je suis réellement handicapée par ma douleur lorsqu'elle survient. Sur la fameuse échelle de 0 à 10, je dirai 8, car je peux quand même me lever. Mais c'est tout.
Concernant ton dernier paragraphe, et bien, cela me rend à la fois triste de savoir que je ne suis pas seule à lutter contre mon image très glorieuse de gobeuse de drogues légales, mais égoïstement je suis heureuse de savoir que je ne suis pas seule (excuse moi, vraiment...).
Pour tout vous dire, je vais reprendre mes études et ce dans le médical, le traitement de la douleur "invisible" et la considération quant aux traitements dits "stupéfiants" a toujours été et sera toujours mon combat, je trouve ce jugement d'une injustice totale, et j'espère sincèrement qu'un jour les choses changeront, et j'espère naïvement avoir un jour la chance de dire haut et fort ce que j'en pense face à des personnes qui m'écouteront.
Encore une fois, merci pour vos réponses bienveillantes. Sachez que je lis et prends en considération chacune de vos propositions, chacun de vos conseils (qu'ils soient à base de plante, d'hypnose, de psy, de passer une vie entière sous opiacés, de prendre le taureau par les cornes et d'aller à ces fichus centre anti douleur...) et que vos mots ne tombent pas dans l'oreille d'une sourde.
(Ps : désolée, j'essaye de répondre clairement en reprenant les passages de vos posts qui m'interpellent, mais j'ai l'impression que mes posts sont illisibles
Dernière modification par XarnaS (24 juillet 2017 à 20:54)
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car mon médecin ne m'écoute pas
Changes-en J'avais un soucis de peau, j'ai du consulter 4 ou 5 dermatos qui ont jamais rien pu diagnostiquer/guérir.
Puis après 10 ans sans voir aucun dermato, j'ai du me faire cramer une verrue sur la jambe. Je prends rendez-vous chez un vieux, il me dit bonjour puis "Oh tiens vous avez ceci sur le front et cela sur les mains dont vous m'aviez pas parlé".
Temps de diagnostic : 10 secondes. Prescription des bons médocs, et voila.
Morale : il suffisait de rencontrer le messie qui voit les choses avec un autre éclairage.
Aller je me tais, et bon courage,
Cynder
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