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- Talim
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Bonjour à tous,
J aimerai savoir si je fais les choses bien concernant mon sevrage en tramadol et pour cela J aimerai avoir vos conseils si précieux.
C'est la 4eme fois que je retombe dans cette addiction (3 fois pour douleurs et 1 fois pour cette fameuse sensation).
En décembre 2017, ayant très mal aux genoux (double tendinite des deux genoux + epanchement) j'ai repris du tramadol à une dose que je n'avais jamais pris auparavant, 200mg par jour (oui je sais 'petite joueuse' contrairement à certains).
Décidée à me sortir définitivement de cet état j'ai commencé mon sevrage en buvant beaucoup d eau et en diminuant les prises d'environ 25/50mg par semaine.
Le passage de 200mg à 150mg été très facile je n'ai quasi pas eu d effets negatifs. Le passage de 150mg à 100mg un peu plus difficile mais supportable.
Je suis actuellement à 50mg mais ça ne va pas du tout. J'ai de nombreux symptômes de manque autant physique que psy: fond de céphalées toute la journée, nausées (vive le gingembre), diarrhées brutales, frisson, sueurs nocturnes (se réveiller tous les matins en sueur... quel bonheur), cauchemars, douleurs musculaires, eternuements +++ (je ne comprends pas), l impression d avoir des lames de rasoir quand je respire par le nez, chaud/froid, coup de jus, baisse de moral et des fois je pleure et je ne sais pas pourquoi...
Je suis actuellement en fin de cursus et ai 8 dossiers à rendre et 2 mémoires à réaliser (double master en ecosse). J'ai l'impression que je n arriverai jamais à tout réussir et je rumine ça sans cesse la nuit lors de mes nombreux reveils.
Voila voila, ha et dernière info: je prends mes 50mg en début d après midi.
Qu'en pensez vous ? Trouvez vous que mon sevrage est bien structuré ou pas du tout ? Si, oui y a t il un moyen de diminuer ces symptômes insupportables ?
Je vous remercie par avance.
J aimerai savoir si je fais les choses bien concernant mon sevrage en tramadol et pour cela J aimerai avoir vos conseils si précieux.
C'est la 4eme fois que je retombe dans cette addiction (3 fois pour douleurs et 1 fois pour cette fameuse sensation).
En décembre 2017, ayant très mal aux genoux (double tendinite des deux genoux + epanchement) j'ai repris du tramadol à une dose que je n'avais jamais pris auparavant, 200mg par jour (oui je sais 'petite joueuse' contrairement à certains).
Décidée à me sortir définitivement de cet état j'ai commencé mon sevrage en buvant beaucoup d eau et en diminuant les prises d'environ 25/50mg par semaine.
Le passage de 200mg à 150mg été très facile je n'ai quasi pas eu d effets negatifs. Le passage de 150mg à 100mg un peu plus difficile mais supportable.
Je suis actuellement à 50mg mais ça ne va pas du tout. J'ai de nombreux symptômes de manque autant physique que psy: fond de céphalées toute la journée, nausées (vive le gingembre), diarrhées brutales, frisson, sueurs nocturnes (se réveiller tous les matins en sueur... quel bonheur), cauchemars, douleurs musculaires, eternuements +++ (je ne comprends pas), l impression d avoir des lames de rasoir quand je respire par le nez, chaud/froid, coup de jus, baisse de moral et des fois je pleure et je ne sais pas pourquoi...
Je suis actuellement en fin de cursus et ai 8 dossiers à rendre et 2 mémoires à réaliser (double master en ecosse). J'ai l'impression que je n arriverai jamais à tout réussir et je rumine ça sans cesse la nuit lors de mes nombreux reveils.
Voila voila, ha et dernière info: je prends mes 50mg en début d après midi.
Qu'en pensez vous ? Trouvez vous que mon sevrage est bien structuré ou pas du tout ? Si, oui y a t il un moyen de diminuer ces symptômes insupportables ?
Je vous remercie par avance.
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- BREIZH AR PEOC'H
- Psycho junior
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- Inscrit le 02 Mar 2018
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Salut ...
Sa fait combien de temps que tu en prend?
Le sevrage du tramadol est.. il me semble comparable a celui de codéine ..avec plus d'effet secondaire ..du a son fonctionnement sur la sérotonine...
Tu pourrai peut être en parler avec ton médecins...
Si le sevrage est trop compliqué pour toi...vous pouvez peut être trouver une autre solution ensemble...
Sa fait combien de temps que tu en prend?
Le sevrage du tramadol est.. il me semble comparable a celui de codéine ..avec plus d'effet secondaire ..du a son fonctionnement sur la sérotonine...
Tu pourrai peut être en parler avec ton médecins...
Si le sevrage est trop compliqué pour toi...vous pouvez peut être trouver une autre solution ensemble...
Kentoc'h mervel eget em zaotra !
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- Mascarpone
- Vieux clacos corse pas coulant
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Salut, il semble évident que tu descends trop vite...Si ton sevrage était bien structuré (comme tu dis 
) tu devrais à peine le sentir passer...Mon conseil, surtout si ça n'est pas le moment pour toi d'être en vrac, remonte un peu la dose (75mg par exemple) et prends ton temps...Un sevrage ayant plus de chance de réussir à terme , c'est une course de fond pas un sprint!
) tu devrais à peine le sentir passer...Mon conseil, surtout si ça n'est pas le moment pour toi d'être en vrac, remonte un peu la dose (75mg par exemple) et prends ton temps...Un sevrage ayant plus de chance de réussir à terme , c'est une course de fond pas un sprint!
Qui pète plus haut que son cul, fini par se chier dessus!
Le pire con, c'est le vieux con, car on ne peut rien contre l'expérience!
Ce qui est bien chez les félés, c'est que de temps en temps ils laissent passer la lumière!
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En passant de 200 à 150, tu as retiré 25% de ta dose initiale en deux fois. Quand tu passes de 100 à 50 c'est 50% de réduction = le manque est au rendez-vous !
Ce que tu décris est une crise de manque. Avec les opiacés, le sevrage est d'autant plus facile qu'il se fait lentement en respectant si possible la règle de 10% par descente et ce pour un palier d'au moins dix jours avant de faire la suivante.
Je ne suis pas du tout spécialiste en Tramadol, ce dernier étant un des seuls opiacés que je n'ai jamais consommé. Fais toi aider par un médecin, ce sera moins douloureux que de faire ça sans connaissance et d'en baver.
Amicalement
Fil
Ce que tu décris est une crise de manque. Avec les opiacés, le sevrage est d'autant plus facile qu'il se fait lentement en respectant si possible la règle de 10% par descente et ce pour un palier d'au moins dix jours avant de faire la suivante.
Je ne suis pas du tout spécialiste en Tramadol, ce dernier étant un des seuls opiacés que je n'ai jamais consommé. Fais toi aider par un médecin, ce sera moins douloureux que de faire ça sans connaissance et d'en baver.
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- Talim
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- Inscrit le 03 Mar 2018
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Merci pour vos réponses.
J'en prends depuis décembre.
Je suis un peu déçue car j'ai vraiment hâte d en finir avec ce produit... mais en effet je vais ralentir pour éviter ces symptômes
J'en prends depuis décembre.
Je suis un peu déçue car j'ai vraiment hâte d en finir avec ce produit... mais en effet je vais ralentir pour éviter ces symptômes
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- Talim
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- Inscrit le 03 Mar 2018
- 5 messages
Ha et je ne peux pas vraiment en parler à mon médecin car je suis en Écosse encore pour 1 mois et nai pas de médecin traitant sur place.
De plus, je veux vite en finir car mes stocks ne me permettront pas de tenir jusqu'à début avril (mon retour en france) et m obligerait donc a arrêter d un coup sec car ici ils ne prescrivent pas le tramadol aussi facilement qu en france.
De plus, je veux vite en finir car mes stocks ne me permettront pas de tenir jusqu'à début avril (mon retour en france) et m obligerait donc a arrêter d un coup sec car ici ils ne prescrivent pas le tramadol aussi facilement qu en france.
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- infirmier anesthesiste
- Nouveau Psycho
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bonjour,
la décroissance posologique lente est très importante dans la sevrage opiacé ou apparenté. les protocoles hospitalier recommande un abaissament de 10% de la dose pendant une semaine et voir comment tu réagis.
dans ces périodes, c'est un passage obligé d'accepter de souffrir pour aller vers un mieux être. Les douleurs lombaires, l'agitation, l'irritabilité, l'insomnie, font partie de la symptomatologie de sevrage et dure entre 1 et 2 semaines.
Une équipe d'addictologie ou ton médecin te proposera une prise en charge médicamenteuse pour palier à ces algies psychologique et psychique (myorelaxant, BDZ, ... remplacé une addiction par une autre ? pas forcément )
mais tu peux très bien aussi décider de "serrer les dents" et te sevrer via une prise en charge psychologique. Tu trouveras à l'hôpital, je l'espère, des soignants qui t'accompagneront de manière bien veillante et qui te proposeront un parcours thérapeutique le plus adapté a ta personne et a ton ressentit.
La décroissance des doses prend en compte la capacité du patient à supporter la réduction de posologie
"Décroissance des doses : Le taux de décroissance doit être adapté en fonction dupatient et de sa capacité à
diminuer la dose. . Chaque nouvelle diminution de dose intervient toutes les deux à quatre semaines. Une consultation médicale est recommandée à chaque réduction de dose.
Certains patients ayant d’autres troubles associés(troubles psychiatriques, antécédents de dépendance à l’alcool, insomnie chronique…)peuvent nécessiter un taux de décroissance plus faible. Il est recommandé un suivi médical rapproché par le médecin"
source : protocoles_de_sevrage_-_le_moniteur_des_pharmacies_2013_14_pages_-_627_ko.pdf
la décroissance posologique lente est très importante dans la sevrage opiacé ou apparenté. les protocoles hospitalier recommande un abaissament de 10% de la dose pendant une semaine et voir comment tu réagis.
dans ces périodes, c'est un passage obligé d'accepter de souffrir pour aller vers un mieux être. Les douleurs lombaires, l'agitation, l'irritabilité, l'insomnie, font partie de la symptomatologie de sevrage et dure entre 1 et 2 semaines.
Une équipe d'addictologie ou ton médecin te proposera une prise en charge médicamenteuse pour palier à ces algies psychologique et psychique (myorelaxant, BDZ, ... remplacé une addiction par une autre ? pas forcément )
mais tu peux très bien aussi décider de "serrer les dents" et te sevrer via une prise en charge psychologique. Tu trouveras à l'hôpital, je l'espère, des soignants qui t'accompagneront de manière bien veillante et qui te proposeront un parcours thérapeutique le plus adapté a ta personne et a ton ressentit.
La décroissance des doses prend en compte la capacité du patient à supporter la réduction de posologie
"Décroissance des doses : Le taux de décroissance doit être adapté en fonction dupatient et de sa capacité à
diminuer la dose. . Chaque nouvelle diminution de dose intervient toutes les deux à quatre semaines. Une consultation médicale est recommandée à chaque réduction de dose.
Certains patients ayant d’autres troubles associés(troubles psychiatriques, antécédents de dépendance à l’alcool, insomnie chronique…)peuvent nécessiter un taux de décroissance plus faible. Il est recommandé un suivi médical rapproché par le médecin"
source : protocoles_de_sevrage_-_le_moniteur_des_pharmacies_2013_14_pages_-_627_ko.pdf
Passionné de pharmacologie et infirmier anesthésiste, je suis disponible pour tout demande ou discussion.Paix dans vos coeurs
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- prescripteur
- Modérateur
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Je rejoins l'avis des camarades sur la nécessité d'y aller lentement. En effet ta présence en Ecosse pose pb mais vu que tu as des doses de Tramadol pas trop élevées je pense que tu peux demander une prescription prolongée pour des "douleurs" (à toi de voir où) en insistant sur l'importance pour toi de ne pas être clouée au lit. Tu dis au généraliste écossais que c'est juste pour tenir le coup juqu'à ton retour en France et que, sur le fond, tu verras avec ton médecin traitant à ton retour.Mais il faut pouvoir prouver que tu es bien (ou était recemment) sous Tramadol (ordonnance, délivrance)..
Amicalement
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S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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- Sufenta
- Adhérent PsychoACTIF
- 000
- Inscrit le 11 Apr 2015
- 6275 messages
Salut
Les bons conseils t’ont été donnés mais je rajouterai pourquoi faire ce sevrage maintenant.
Tu es en Écosse pour quelques semaines encore, tu as un examen qui approche avec pas mal de boulot, tu penses pas que remonter à ~ 100mg et y rester jusqu’à ton retour en Fr est la meilleure solution.
Tu peux effectivement voir un médecin là bas et au besoin ton médecin français peu confirmer ton ttt, non ?
Ça te permettrait de finir tes études peinarde sans souffrir et à ton retour en France de diminuer ou d’avoir une PEC addicto afin de faire ça bien.
Bon courage pour la suite.
Les bons conseils t’ont été donnés mais je rajouterai pourquoi faire ce sevrage maintenant.
Tu es en Écosse pour quelques semaines encore, tu as un examen qui approche avec pas mal de boulot, tu penses pas que remonter à ~ 100mg et y rester jusqu’à ton retour en Fr est la meilleure solution.
Tu peux effectivement voir un médecin là bas et au besoin ton médecin français peu confirmer ton ttt, non ?
Ça te permettrait de finir tes études peinarde sans souffrir et à ton retour en France de diminuer ou d’avoir une PEC addicto afin de faire ça bien.
Bon courage pour la suite.
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- Talim
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- Inscrit le 03 Mar 2018
- 5 messages
Re bonjour et merci pour toutes vos réponses.
Si je veux essayer d arrêter maintenant c'est aussi car j'enchaîne à mon retour en france une kinésithérapie pour mes douleurs aux genoux et je me suis dis qu être 'clean' à ce moment ce serait vraiment super.
Ça me déprime un peu de devoir remonter la dose que j'ai si durement réussi à descendre...
Si je veux essayer d arrêter maintenant c'est aussi car j'enchaîne à mon retour en france une kinésithérapie pour mes douleurs aux genoux et je me suis dis qu être 'clean' à ce moment ce serait vraiment super.
Ça me déprime un peu de devoir remonter la dose que j'ai si durement réussi à descendre...
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- Miss P
- Psycho junior
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- Inscrit le 17 May 2016
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Juste un petit mot de soutien. J'y suis passée je comprends.
Tous les conseils qui t'ont été donnés sont les bons. Ton sevrage est beaucoup trop brutal... Tu dois penser en pourcentage à chaque fois et non en nombre de mg... Perso j'ai tourné pendant plus d'1 an à 400mg et j'me rappelle avoir fait : 350 puis 300, puis 250 puis 200 (a chaque fois j'avais quelques symptômes la première semaine mais je restais à chaque dose 3 semaines environ le temps de ne plus du tout avoir de symptômes.
A partir de 200 j'ai diminué de 25mg à chaque fois... Mais le secret selon moi est déjà oui de ne pas baisser trop brutalement au risque de craquer un jour et de reprendre le double et au final de perdre du temps. Mais vraiment prendre son temps à chaque palier... J'étais à l'écoute de mon corps et je restais parfois 1 mois voir plus à un dosage pour me laisser un break, une période ou je suis bien à ne pas me focaliser sur mes dosages... Par exemple arrivée à 100mg, après 2 semaines j'étais bien mais jk'y suis restée un bon mois. C'était des vacances de sevrage... ca m'a permis de repartir motivée
On est tous différents mais oui pour un sevrage progressif il faut prendre son temps c'est la clef du succès Et pas d’inquiétudes, tu consommes depuis peu tout rentrera dans l'ordre sans soucis.
Tous les conseils qui t'ont été donnés sont les bons. Ton sevrage est beaucoup trop brutal... Tu dois penser en pourcentage à chaque fois et non en nombre de mg... Perso j'ai tourné pendant plus d'1 an à 400mg et j'me rappelle avoir fait : 350 puis 300, puis 250 puis 200 (a chaque fois j'avais quelques symptômes la première semaine mais je restais à chaque dose 3 semaines environ le temps de ne plus du tout avoir de symptômes.
A partir de 200 j'ai diminué de 25mg à chaque fois... Mais le secret selon moi est déjà oui de ne pas baisser trop brutalement au risque de craquer un jour et de reprendre le double et au final de perdre du temps. Mais vraiment prendre son temps à chaque palier... J'étais à l'écoute de mon corps et je restais parfois 1 mois voir plus à un dosage pour me laisser un break, une période ou je suis bien à ne pas me focaliser sur mes dosages... Par exemple arrivée à 100mg, après 2 semaines j'étais bien mais jk'y suis restée un bon mois. C'était des vacances de sevrage... ca m'a permis de repartir motivée
On est tous différents mais oui pour un sevrage progressif il faut prendre son temps c'est la clef du succès
Et pas d’inquiétudes, tu consommes depuis peu tout rentrera dans l'ordre sans soucis.
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- Sufenta
- Adhérent PsychoACTIF
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- Inscrit le 11 Apr 2015
- 6275 messages
Je comprend Talim lorsque l’on baisse à un moment on est pressé et on veut que ça avance mais la priorité est je pense à ce jour mal ciblée ...
Soit opérationnel, réussi ton diplôme et dans 3 mois il sera tjrs temps de stopper le tramadol, non ? Avec le diplôme en poche c’est plus sympa qd même :)
Amicalement
Soit opérationnel, réussi ton diplôme et dans 3 mois il sera tjrs temps de stopper le tramadol, non ? Avec le diplôme en poche c’est plus sympa qd même :)
Amicalement
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- Talim
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- Inscrit le 03 Mar 2018
- 5 messages
Bonjour à tous je viens vous tenir au courant.
J'ai réussi à baisser progressivement ma dose et suis actuellement à 25mg depuis 3 jours avec une si petite dose je ne ressens plus du tout les effets "High" cependant les symptomes de sevrage sont bien présents: grosses difficultés à m'endormir, tachycardie, tremblements et depuis peu machoire crispée au matin... ces symptômes sont ils normaux.
Malgré tous ces symptômes je n'ai jamais fais aucun écart et je veux m'en sortir, j'aimerai juste que ça se fasse le plus doucement possible.
Après mon arrêt définitif aurais je toujours des symptomes? Si oui, cmb de temps svp?
Merci par avance pour vos reponses
?
J'ai réussi à baisser progressivement ma dose et suis actuellement à 25mg depuis 3 jours avec une si petite dose je ne ressens plus du tout les effets "High" cependant les symptomes de sevrage sont bien présents: grosses difficultés à m'endormir, tachycardie, tremblements et depuis peu machoire crispée au matin... ces symptômes sont ils normaux.
Malgré tous ces symptômes je n'ai jamais fais aucun écart et je veux m'en sortir, j'aimerai juste que ça se fasse le plus doucement possible.
Après mon arrêt définitif aurais je toujours des symptomes? Si oui, cmb de temps svp?
Merci par avance pour vos reponses
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