Bonjour,
Ayant retrouvé une qualité de vie tout à fait normale j’ai décidé de m’attaquer aux empoisonneurs ou autrement appelés médecins ou psy(chopathes)
Vous savez ces médecins dealeurs vous mettant dans la drogue à votre insu et qui vous font endurer un véritable calvers à l’arret de la benzo par cas de conscience « Ah merde j’ai mis une personne normale dans la drogue » ou par pur plaisir.
Aujourd’hui je me révolte contre le déni médical qui est fait sur les répercussions et la difficulté d’un syndrome de
sevrage.
Des éléments de la Haute autorité de la Santé :
( je pourrais en fournir les liens personnellement je les ai imprimés pour un petit inconscient qui se sentirai de bousiller ma vie gratuitement )
Trois cas s’opposent les personnes le prennant par besoin contre l’anxieteou autres, ceux qui ne veulent pas subir le syndrome de
sevrage et l’usage récréatif.
Deux cas ceux voulant se sevrer ceux ne le voulant pas.
Règle applicable à tous les patients depuis Juin 2015 : Dire au patient ce qui se passe en cas de prise prolongée dont la dépendance et le syndrome de
sevrage pas encore assez reconnu aujourd’hui.
Ceux qui ne le veulent pas :
Une personne est considérée prête au
sevrage si :
Elle y consent
Et est motivée
N’a pas rencontré de problèmes de
sevrages ultérieurs
A le cadre environnemental adéquat
Rôle du médecin :
Ne pas mettre de pression au patient.
Devant un refus de
sevrage ne pas réitéré la demande avant plusieurs consultations ( pas de harcèlement moral )
Risques :
Troubles cognitifs ( personnes âgées ),risque à la conduite,
la tolérance et interaction (
alcool par exemple )
Symptômes :
Je préfère mettre un lien sur la HAS :
https://www.has-sante.fr/portail/upload … epines.pdfBénéfice : Ne pas subir le syndrome de
sevrage injustement, ne pas s’infliger des souffrances, médicament peu toxique comparé à la
cigarette ou a l’alcool qui provoquent eux des cancers.
Parfaitement acceptable les symptômes ci-dessus selon eux du moment que ce n’est pas sévère ! Que du bonheur !
Dans un autre document de la HAS que je mettrais en lien plus tard il y est stipulé que les symptômes peuvent durer de quelques mois à des années.
Les médecins sont sensés soignés pas nous rendre malade ? Vrai ou faux ?
Moi j’ai décidé de leur dire merde ils ont foiré m’ont jamais parlé de ça et je ne souhaite en aucun cas subir cela par négligence de leur part.
Ceux qui le souhaitent :
En cas d’utilisation supérieure à 3 mois à 1 an : passage au
diazepam considéré comme plus facilement arretable.
Restez maître de votre
sevrage, leur
sevrage en 10 semaines n’est qu’illusion et vous amènera tout droit à prendre plus au final juste pour pouvoir fonctionner.
Lisez attentivement le protocole de
sevrage du docteur Ashton qui lui reconnaît la difficulté d’arret de ces produits.
Lien du manuel :
http://psychotropes.info/brochures/Manu … e_2017.pdfSubstitution : 1/4 de votre dose par semaine doit être remplacé par la dose de
diazepam adéquate ( équivalente ou à la baisse car avec ce médicament plus hypnotique nous en prennons moins ) jusqu’à la totalité de la dose en
diazepam puis stabilisation de 3 semaines.
Sevrage : 7 à 5 % de la dose par palier de 8 jours ( je conseille la formule goutte pour ceci )
3 % par palier de 7 jours et même plus bas en fin de
sevrage.
Cela se joue à la demie goutte près.
Besoin : Cadre environnemental et social adéquat ( aide médicale, aide de la famille, environnement non stressant ) de préférence.
Obligation d’aide du medecin et d’aide non medicamenteuse
Bénéfice : Ne plus être dépendant de prescriptions médicales et plus particulièrement de la molécule et meilleure motricité, meilleure memoire.
Personnellement pas eu ces problèmes peut être pour les grosses doses
A faire : À toutes personnes volontaires, aux femmes enceintes, aux personnes en tolérance eprouvant le besoin d’augmenter leurs doses, aux personnes utilisant d’autres
psychotropes type
alcool car dangeureux pour la santé dans ce cas.
Dans les deux cas réfléchir à la balance bénéfices / risques en cas de
sevrage ou non
TRÈS IMPORTANT : Ne pas ajouter d’autres
psychotropes dans la mesure du possible du type
AD ou
neuroleptiques qui eux aussi entraînent une dépendance et qu’il faudra sevrer par la suite avec symptômes bien plus sévères.
Les
AD sont à réserver aux personnes en réelle dépression menant à un danger pour elle même ou les autres.
Idem pour les
neuroleptiques.
Voilà vous voici entièrement informés ne vous faites plus avoir par vos médecins, c’est votre cerveau pas le leur, c’est votre vie pas la leur, contrôlez un maximum ce qu’on vous refourgue.
Je dispose de tous les liens vers les articles de la HAS bible du médecin et du manuel du professeur Ashton qui est vraiment la meilleure méthode pour ceux ayant du mal à qui cela altère beaucoup la qualité de vie.
Vous pouvez aussi pour ceux qui ne souhaitent pas utiliser un substitut utiliser la méthode tritation à 3% pour les demies vies courtes.
Les liens de la HAS :
Version courte :
https://www.has-sante.fr/portail/upload … _06_16.pdfVersion longue ( beaucoup plus interessant ) :
https://www.has-sante.fr/portail/upload … _06_17.pdfPetit lien sur les documents de l’HAS :
https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c … mbulatoireDont un manuel de suivi du sommeil donc un suivi encadré médicalement tout en restant maître de votre
sevrage.
Dormons un peu moins ignorants ce soir et je suis incluse dans le lot ne nous laissons plus faire et courage à tous.
Bonne journée
Dernière modification par Lea2108 (27 août 2018 à 12:29)