Réglementation sur le cannabis à Saguenay: « Une prohibition 2.0 »

Dans la série, on légalise mais ça peut être bien merdique :

Vous connaissez la blague du vieux rasta qui claque de vieillesse et qui atterrit au paradis ?

Il se retrouve sur une terre où brille le soleil, qui fait pousser du cannabis gorgé de cannabinoides exhalant de délicieuses effluves, il en cueille donc, et en fait un hasch home made en se frottant les mains.

Des pieds de ganja à perte de vue, la plage de sable blanc et les palmiers !

Il trouve ensuite un champ de tabac, il cueille une jolie feuille et roule un joli joint bourré de têtes et de hasch récolté main.

Ayant fini de rouler son blunt de luxe bio paradisiaque, il se rend à la plage et il aperçoit un autre rasta assis sous les palmiers.

Il le rejoint et lui demande du feu pour partager le bédo dans la communion.

L'autre rasta lui répond :

"Il n'y a pas de feu man ! ici, c'est l'enfer !"

Une variante canadienne, sauf que ce n'est pas une blague.

On dirait que l'enfer de la légalisation est situé à Saguenay.

Un locataire de Saguenay, dont le propriétaire interdit la consommation de cannabis dans son appartement, ne peut en consommer nulle part. Une drogue pourtant légale, qui est interdite sur le territoire de la ville, sauf dans une propriété privée ou sur le terrain de celle-ci. Une réglementation qui consterne Érick Tremblay-Dionne, un jeune homme qui milite pour la mise sur pied d’une zone verte à Saguenay, où il sera possible de consommer, en toute tranquillité et, surtout, légalement.

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Dernière modification par Mister No (25 janvier 2019 à  12:45)