Je viens d'apprendre que mon copain pratique le chemsex depuis le début. Je suis perdue.
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#chemsex #couple
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Bonjour tout le monde,
Je me lance dans ma situation.
Désespérée de trouver des éléments qui pourraient aider dans ma décision.
Donc si jamais vous avez envie de dire quelque chose n'hésitez pas :)
Je suis en couple avec un homme depuis 3 ans.
On avait pleins de projets.
Depuis un an on voulait un enfant.
Je suis tombée enceinte il y a quelques mois. Très heureux l'un et l'autre (je dirai même plus lui. Moi un peu prise dans des questions existentielles).
La grossesse s'est arrêtée à 2 mois. Ca a été un moment très difficile, mais on remontait la pente. Lui est toujours positif a dire qu'on allait y arriver etc..
Et il y a 3 semaines il m'apprend qu'il a attrapé une IST parce que de temps en temps il pratique le chemsex avec d'autres hommes.
Je pense que je n'ai jamais vécu une souffrance aussi pure. (bon je n'ai pas eu de grand malheur dans ma vie. J'ai une super famille aimante. Pas de maladie, pas de décès. Bref).
J'ai fait ma première crise de panique.
Donc depuis le début de notre relation il va de temps en temps faire ces soirées (6-10 fois environ a priori).
A savoir que c'était très clair que notre couple n'était pas ouvert.
Je suis quelqu'un de très sensible. Rien que l'idée qu'un jour la personne avec laquelle je partage ma vie puisse donner son corps a une autre personne me boulverse.
Et il le savait.
Et la mon copain part en soirée, pour se droguer, pour coucher pendant des heures avec des mecs.
Il ne se sentait pas coupable.
Il s'est construit une réalité qui lui permettait d'y aller sans trop de souci moraux ("c'est mon jardin secret", "mais tu sais moi je vois le partage du corps différemment que toi" "comme c'est des hommes je ne t'ai pas trompé").
Il commence tout de même à se dire maintenant qu'il a peut être un problème.
C'est quelqu'un qui veut tout vivre, experimenter, attirer par la transgression et le repoussage des limites.
Je savais ça de lui mais il a énormément "grandit"depuis que je le connais.
Il a arrêté de fumer, a comprit que le cannabis ça le mettait pas bien, sort que de temps en temps, boit beaucoup moins d'alcool, s'est mit au sport.
J'avais l'impression qu'il allait bien avec lui même.
Je n'aurai jamais imaginé qu'il puisse me faire ça. D'y aller de manière répétée sans se dire mais attends ya ma copine qui est à la maison et moi je vais aller prendre de la drogue pour coucher avec des mecs pendant des heures...
Je passe par tous les états.
Est ce que je me dis qu'il a enfin ouvert la brèche de l'introspection et qu'il va travailler dessus (il va démarrer un travail avec le psy) et qu'on va réussir à surmonter ça ?
Ou est ce que cette trahison est beaucoup trop profonde ?
Je comprend l'humain mais je ne suis pas mère thérésa.
Je suis consciente que vous ne pouvez pas répondre à ma place si je peux lui pardonner.
J'ai l'impression que mon coeur n'est plus la. C'est une serpillère qu'on arrête pas d'essorer.
J'ai des images en tête. Ca ne part pas.
Il m'a dit qu'il ne pensait pas être gay, qu'il ne pensait pas non plus avoir besoin d'une sexualité avec des hommes dans sa vie.
Dans ce que je perçois de lui et de ses dires conscients c'est vraiment l'idée de la transgression qui l'attire (et les drogues aussi je pense).
Est ce qu'il y en a parmi vous qui on déjà vécu ça?
Je suis preneuse de tous vos avis.
Merci de m'avoir lu.
Je me lance dans ma situation.
Désespérée de trouver des éléments qui pourraient aider dans ma décision.
Donc si jamais vous avez envie de dire quelque chose n'hésitez pas :)
Je suis en couple avec un homme depuis 3 ans.
On avait pleins de projets.
Depuis un an on voulait un enfant.
Je suis tombée enceinte il y a quelques mois. Très heureux l'un et l'autre (je dirai même plus lui. Moi un peu prise dans des questions existentielles).
La grossesse s'est arrêtée à 2 mois. Ca a été un moment très difficile, mais on remontait la pente. Lui est toujours positif a dire qu'on allait y arriver etc..
Et il y a 3 semaines il m'apprend qu'il a attrapé une IST parce que de temps en temps il pratique le chemsex avec d'autres hommes.
Je pense que je n'ai jamais vécu une souffrance aussi pure. (bon je n'ai pas eu de grand malheur dans ma vie. J'ai une super famille aimante. Pas de maladie, pas de décès. Bref).
J'ai fait ma première crise de panique.
Donc depuis le début de notre relation il va de temps en temps faire ces soirées (6-10 fois environ a priori).
A savoir que c'était très clair que notre couple n'était pas ouvert.
Je suis quelqu'un de très sensible. Rien que l'idée qu'un jour la personne avec laquelle je partage ma vie puisse donner son corps a une autre personne me boulverse.
Et il le savait.
Et la mon copain part en soirée, pour se droguer, pour coucher pendant des heures avec des mecs.
Il ne se sentait pas coupable.
Il s'est construit une réalité qui lui permettait d'y aller sans trop de souci moraux ("c'est mon jardin secret", "mais tu sais moi je vois le partage du corps différemment que toi" "comme c'est des hommes je ne t'ai pas trompé").
Il commence tout de même à se dire maintenant qu'il a peut être un problème.
C'est quelqu'un qui veut tout vivre, experimenter, attirer par la transgression et le repoussage des limites.
Je savais ça de lui mais il a énormément "grandit"depuis que je le connais.
Il a arrêté de fumer, a comprit que le cannabis ça le mettait pas bien, sort que de temps en temps, boit beaucoup moins d'alcool, s'est mit au sport.
J'avais l'impression qu'il allait bien avec lui même.
Je n'aurai jamais imaginé qu'il puisse me faire ça. D'y aller de manière répétée sans se dire mais attends ya ma copine qui est à la maison et moi je vais aller prendre de la drogue pour coucher avec des mecs pendant des heures...
Je passe par tous les états.
Est ce que je me dis qu'il a enfin ouvert la brèche de l'introspection et qu'il va travailler dessus (il va démarrer un travail avec le psy) et qu'on va réussir à surmonter ça ?
Ou est ce que cette trahison est beaucoup trop profonde ?
Je comprend l'humain mais je ne suis pas mère thérésa.
Je suis consciente que vous ne pouvez pas répondre à ma place si je peux lui pardonner.
J'ai l'impression que mon coeur n'est plus la. C'est une serpillère qu'on arrête pas d'essorer.
J'ai des images en tête. Ca ne part pas.
Il m'a dit qu'il ne pensait pas être gay, qu'il ne pensait pas non plus avoir besoin d'une sexualité avec des hommes dans sa vie.
Dans ce que je perçois de lui et de ses dires conscients c'est vraiment l'idée de la transgression qui l'attire (et les drogues aussi je pense).
Est ce qu'il y en a parmi vous qui on déjà vécu ça?
Je suis preneuse de tous vos avis.
Merci de m'avoir lu.
Hors ligne
Salut!
Je comprends que tu sois bouleversée par ces révélations surtout que tu semblais être dans une optique exclusive, au niveau du couple (et ça devenait sérieux avec projection de fonder une famille).
Il y a premièrement la nécessité de communiquer entre vous du mieux possible pour que chacun puisse s’exprimer et que l’autre écoute mais ça semble être le cas?
Ensuite il y a sa vie à lui, personnelle, s’il consomme des produits, c’est son choix, tu ne peux rien lui imposer pour le coup.
Vous pouvez trouver un terrain d’entente, si il sort faire ses soirées de temps en temps et en profite à ce moment, ça me semble pas délirant puisque j’ai longtemps fait ça avec des exs qui n’étaient pas des consommatrices et qui risquaient de me juger, me stigmatiser. Je consommais avec certaines personnes (ou seul) ponctuellement, de manière plus que raisonnée.
Bon, sa vie sexuelle à côté, s’il en a une c’est qu’il semble avoir besoin de vivre sa bisexualité pleinement. Encore une fois c’est à vous de faire au mieux pour en discuter. Si c’est pour te promettre que c’est terminé et qu’il recommence tôt ou tard ça ne me semble pas la meilleure idée.
Et toi de ton coté, c’est de réfléchir à toi, ce que tu désires, les limites que tu ne peux pas dépasser aussi, tout simplement.
Chacun a ses propres capacités d’acceptation de l’autre ou des situations, c’est à toi de voir. Il faut simplement que tu sois bien avec toi-même, voir si tu as la capacité de continuer à vivre avec quelqu’un qui a des désirs différents du schéma hetero (exclusif), et qui aime se prod.
Dans ton message je lis un peu au travers des lignes que tu penses que c’est « un dérapage », qu’il va trouver les solutions pour rentrer dans les cases mais j’en suis pas sûr. C’est pas en forçant que ça marche, s’il a des désirs et des besoins il faut qu’il puisse les combler sinon il va vivre dans la frustration (ou le mensonge comme c’était le cas). A vous de trouver un compromis qui convienne à chacun, si c’est possible!
Quand tu le trouvais bien à une certaine période, c’est qu’il devait l’être, il avait trouvé son équilibre. Maintenant… Si ça ne te correspond pas c’est autre chose
N’hésite pas si tu as d’autres questions
Je comprends que tu sois bouleversée par ces révélations surtout que tu semblais être dans une optique exclusive, au niveau du couple (et ça devenait sérieux avec projection de fonder une famille).
Il y a premièrement la nécessité de communiquer entre vous du mieux possible pour que chacun puisse s’exprimer et que l’autre écoute mais ça semble être le cas?
Ensuite il y a sa vie à lui, personnelle, s’il consomme des produits, c’est son choix, tu ne peux rien lui imposer pour le coup.
Vous pouvez trouver un terrain d’entente, si il sort faire ses soirées de temps en temps et en profite à ce moment, ça me semble pas délirant puisque j’ai longtemps fait ça avec des exs qui n’étaient pas des consommatrices et qui risquaient de me juger, me stigmatiser. Je consommais avec certaines personnes (ou seul) ponctuellement, de manière plus que raisonnée.
Bon, sa vie sexuelle à côté, s’il en a une c’est qu’il semble avoir besoin de vivre sa bisexualité pleinement. Encore une fois c’est à vous de faire au mieux pour en discuter. Si c’est pour te promettre que c’est terminé et qu’il recommence tôt ou tard ça ne me semble pas la meilleure idée.
Et toi de ton coté, c’est de réfléchir à toi, ce que tu désires, les limites que tu ne peux pas dépasser aussi, tout simplement.
Chacun a ses propres capacités d’acceptation de l’autre ou des situations, c’est à toi de voir. Il faut simplement que tu sois bien avec toi-même, voir si tu as la capacité de continuer à vivre avec quelqu’un qui a des désirs différents du schéma hetero (exclusif), et qui aime se prod.
Dans ton message je lis un peu au travers des lignes que tu penses que c’est « un dérapage », qu’il va trouver les solutions pour rentrer dans les cases mais j’en suis pas sûr. C’est pas en forçant que ça marche, s’il a des désirs et des besoins il faut qu’il puisse les combler sinon il va vivre dans la frustration (ou le mensonge comme c’était le cas). A vous de trouver un compromis qui convienne à chacun, si c’est possible!
Quand tu le trouvais bien à une certaine période, c’est qu’il devait l’être, il avait trouvé son équilibre. Maintenant… Si ça ne te correspond pas c’est autre chose
N’hésite pas si tu as d’autres questions
Dernière modification par elonnx (04 janvier 2025 à 01:53)
« Je ne vois pas pourquoi je devrais renoncer à ma bêtise et adopter la leur, je ne veux pas couper ma vie en deux, je veux que ma vie à moi soit une, d’un bout à l’autre » Kundera
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Salut Elonnx,
Merci pour ta réponse rapide.
Effectivement il y a la question de ce qu'on peut accepter de l'autre.
Je pense en prendre vraiment conscience maintenant.
J'essayais de me dire aller on essaye et on voit ce que ça donne mais j'étais vraiment mal dans mon corps car ce que j'imaginais de lui dans ces soirées allait vraiment à l'encontre de ce que je peux accepter avec mes propres failles.
On a à nouveau discuté après mon post. Il m'a donné des détails sur les soirées et certaines informations m'ont soulagé dans ce que je pouvais accepter.
Beaucoup moins de corps qui se touchent (c'est vraiment la chose ou je ne peux pas passer au dessus), qu'il ne ressentait pas de plaisir sexuel..
J'arrive maintenant à me dire qu'on peut au moins re essayer quelques semaines et voir ou ça nous mène avant d'avoir à nouveau des discussions sur ce qu'on souhaite chacun.
Je lui ai dis de réfléchir si ce sont des activités qu'il souhait poursuivre et c'est son droit, mais que moi j'ai des limites et qu'il faut qu'on soit honnête car même si c'est triste de quitter quelqu'un qu'on aime, on sera beaucoup plus heureux dans le futur chacun de notre côté.
Dire d'exprimer pleinement sa bisexualité c'est trop facile comme excuse. Il me l'a sorti au début. Ça n'a rien a voir. Si on est exclusif on l'est et c'est tout.
Je trouve aussi que c'est trop simple de dire qu'on a des désirs à assouvir.
On cherche tous à combler son trou existentiel, on a tous des failles plus ou moins grandes, et on a pas tous les mêmes outils à notre disposition.
Je comble mes failles en me lançant dans des activités qui me font me surpasser, me surprennent de ce que je suis capable de faire, de faire du sport, de me lancer dans des projets... D'autres n'ont pas d'autres solutions que de le faire avec la drogue par exemple.
Je pense qu'on peut essayer de se poser des questions et se demander si on va bien, ou de pourquoi on fait ça.
Je pense qu'il est perdu. Je lui ai dis, si il pense effectivement qu'il a besoin de ces soirées de temps en temps pour son équilibre de vie qu'il n'y a pas de soucis mais il faut me le dire avant d'avoir une famille ensemble. Et il m'a dit qu'il ne pense pas que ça l'aidait à trouver son équilibre justement.
Quand je lui demande ce qu'il cherche dans la prise de drogue, dans ses expériences d'extreme, de me dire "c'est fun", ba non ça ne me va pas.
De consommer quand on s'est posé des questions sur pourquoi on le fait ya pas de souci.
J'adore fumer des joints parce que ça m'enlève tous mes petits soucis superflus qui me prennent la tête.
Bref, il a quand même bien merdé a faire ça pendant que j'étais enceinte. La médecine a bien avancée mais se dire qu'un préservatif assure totalement le risque de pouvoir transmettre le VIH à ton enfant c'est pas acceptable.
Il faut une prise de conscience, sortir la tête du sable.
Devenir parent c'est prendre ses responsabilités.
Bon ce sera des discussions pour plus tard après sa réflexion sur ses désirs.
Et moi aussi j'ai du travail à faire. Avoir plus confiance en moi qu'en mon couple.
En tout cas merci pour ta réponse.
Ça m'aide à garder les pieds sur terre.
Merci pour ta réponse rapide.
Effectivement il y a la question de ce qu'on peut accepter de l'autre.
Je pense en prendre vraiment conscience maintenant.
J'essayais de me dire aller on essaye et on voit ce que ça donne mais j'étais vraiment mal dans mon corps car ce que j'imaginais de lui dans ces soirées allait vraiment à l'encontre de ce que je peux accepter avec mes propres failles.
On a à nouveau discuté après mon post. Il m'a donné des détails sur les soirées et certaines informations m'ont soulagé dans ce que je pouvais accepter.
Beaucoup moins de corps qui se touchent (c'est vraiment la chose ou je ne peux pas passer au dessus), qu'il ne ressentait pas de plaisir sexuel..
J'arrive maintenant à me dire qu'on peut au moins re essayer quelques semaines et voir ou ça nous mène avant d'avoir à nouveau des discussions sur ce qu'on souhaite chacun.
Je lui ai dis de réfléchir si ce sont des activités qu'il souhait poursuivre et c'est son droit, mais que moi j'ai des limites et qu'il faut qu'on soit honnête car même si c'est triste de quitter quelqu'un qu'on aime, on sera beaucoup plus heureux dans le futur chacun de notre côté.
Dire d'exprimer pleinement sa bisexualité c'est trop facile comme excuse. Il me l'a sorti au début. Ça n'a rien a voir. Si on est exclusif on l'est et c'est tout.
Je trouve aussi que c'est trop simple de dire qu'on a des désirs à assouvir.
On cherche tous à combler son trou existentiel, on a tous des failles plus ou moins grandes, et on a pas tous les mêmes outils à notre disposition.
Je comble mes failles en me lançant dans des activités qui me font me surpasser, me surprennent de ce que je suis capable de faire, de faire du sport, de me lancer dans des projets... D'autres n'ont pas d'autres solutions que de le faire avec la drogue par exemple.
Je pense qu'on peut essayer de se poser des questions et se demander si on va bien, ou de pourquoi on fait ça.
Je pense qu'il est perdu. Je lui ai dis, si il pense effectivement qu'il a besoin de ces soirées de temps en temps pour son équilibre de vie qu'il n'y a pas de soucis mais il faut me le dire avant d'avoir une famille ensemble. Et il m'a dit qu'il ne pense pas que ça l'aidait à trouver son équilibre justement.
Quand je lui demande ce qu'il cherche dans la prise de drogue, dans ses expériences d'extreme, de me dire "c'est fun", ba non ça ne me va pas.
De consommer quand on s'est posé des questions sur pourquoi on le fait ya pas de souci.
J'adore fumer des joints parce que ça m'enlève tous mes petits soucis superflus qui me prennent la tête.
Bref, il a quand même bien merdé a faire ça pendant que j'étais enceinte. La médecine a bien avancée mais se dire qu'un préservatif assure totalement le risque de pouvoir transmettre le VIH à ton enfant c'est pas acceptable.
Il faut une prise de conscience, sortir la tête du sable.
Devenir parent c'est prendre ses responsabilités.
Bon ce sera des discussions pour plus tard après sa réflexion sur ses désirs.
Et moi aussi j'ai du travail à faire. Avoir plus confiance en moi qu'en mon couple.
En tout cas merci pour ta réponse.
Ça m'aide à garder les pieds sur terre.
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- JackReacher
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Je suis vraiment désolé que tu traverses une situation aussi difficile. C’est normal de te sentir bouleversée et perdue, surtout après une trahison qui remet en question des valeurs et des projets aussi importants. Tu n'es pas seule dans ce genre de situation, et il est compréhensible que tu aies du mal à savoir comment réagir face à tout ça.
Ce que tu vis, c’est une trahison émotionnelle et physique, et il n’y a pas de « bonne » façon de réagir. Tu t’es donnée à lui, tu lui as fait confiance, et il a violé cette confiance en faisant quelque chose qui va à l'encontre de ce que vous aviez défini comme limites dans votre relation. Le fait qu'il ait ouvert la porte à une introspection peut être un point positif, mais cela dépend de lui. S’il est prêt à comprendre les raisons derrière ses actions et à vraiment y travailler, alors peut-être qu'il y a une chance de rétablir les choses.
Cela dit, tu dois aussi penser à toi. Est-ce que tu peux surmonter cette trahison et reconstruire la confiance ? Est-ce que tu te sens prête à vivre avec l’incertitude de ce qu'il pourrait faire à l'avenir ? Il est important de prendre du temps pour toi, de réfléchir à ce que tu veux et ce que tu es prête à accepter dans une relation.
C’est normal d’avoir des images en tête et d’avoir du mal à laisser aller cette douleur, c’est un processus. Peut-être qu'un temps de séparation ou un travail personnel pourrait t’aider à mieux voir ce que tu veux vraiment. Quant à lui, il semble qu’il ait des comportements liés à des besoins de transgression et de recherche de limites, et c’est quelque chose qu’il doit résoudre avec lui-même et avec un professionnel.
En fin de compte, seul toi peux décider si tu peux lui pardonner et si tu vois un avenir commun. Prends soin de toi avant tout.
Ce que tu vis, c’est une trahison émotionnelle et physique, et il n’y a pas de « bonne » façon de réagir. Tu t’es donnée à lui, tu lui as fait confiance, et il a violé cette confiance en faisant quelque chose qui va à l'encontre de ce que vous aviez défini comme limites dans votre relation. Le fait qu'il ait ouvert la porte à une introspection peut être un point positif, mais cela dépend de lui. S’il est prêt à comprendre les raisons derrière ses actions et à vraiment y travailler, alors peut-être qu'il y a une chance de rétablir les choses.
Cela dit, tu dois aussi penser à toi. Est-ce que tu peux surmonter cette trahison et reconstruire la confiance ? Est-ce que tu te sens prête à vivre avec l’incertitude de ce qu'il pourrait faire à l'avenir ? Il est important de prendre du temps pour toi, de réfléchir à ce que tu veux et ce que tu es prête à accepter dans une relation.
C’est normal d’avoir des images en tête et d’avoir du mal à laisser aller cette douleur, c’est un processus. Peut-être qu'un temps de séparation ou un travail personnel pourrait t’aider à mieux voir ce que tu veux vraiment. Quant à lui, il semble qu’il ait des comportements liés à des besoins de transgression et de recherche de limites, et c’est quelque chose qu’il doit résoudre avec lui-même et avec un professionnel.
En fin de compte, seul toi peux décider si tu peux lui pardonner et si tu vois un avenir commun. Prends soin de toi avant tout.
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Bonjour
Je ne veux pas m’avance mais quand ton copain te dit qu’il ne prends pas de plaisir lors de ses soirées il te ment clairement! Je suis bi, mais j’ai fait une constatation, c’est que les rapports entre hommes ont moins de tabou.
C’est bien tu parles de dépassement de soi via le sport mais il n’y a pas que ça. Il y a aussi le dépassement de son soi intérieur par ex.
Ensuite deux, trois phrases me révoltent lors de tes écris, de un c’est que j’ai l’impression que tu essayes de modeler ton homme que comme tu l’aime. Pas de beuh car ça le réussis pas, tu te le tiens en laisse pour l’alcool. Et lui son bonheur il est où?
À force de vouloir mettre des gens dans des cases bien propres tout finis par s’écrouler. À l’inverse de toi mon monde est parcouru d’embûche, je sais que le monde n’est pas dichotomique, c’est pas noir ou blanc il y a des nuances, des exceptions qui confirme la règle. Là où le plaisir et la torture se mêlent parfois (je parle pas de sexe), un exemple tout bête, la drogue je l’ai pas connue dans la rue, mais grâce à l’état, et non pas adulte sinon ça serait trop simple. Non enfant on m’envoyait ketamine, morphine, etc pour pallier aux opérations lourdes que je recevais. Est-ce que ça fait de moi quelqu’un de mauvais? NON
Ça ne fait pas que ta parole est moindre bien au contraire, c’est enrichissant car nos point de vue différent :)
Essaye de parler avec lui de ses désirs et voit comment toi tu peux les assouvir pour le combler si tu le souhaites, ça va aussi dans l’autre sens. Pense aussi à tes plaisirs, parler à une femme de ses plaisir homosexuel c’est pas facile
Voilà ce n’est que mon avis
Bonne journée
Je ne veux pas m’avance mais quand ton copain te dit qu’il ne prends pas de plaisir lors de ses soirées il te ment clairement! Je suis bi, mais j’ai fait une constatation, c’est que les rapports entre hommes ont moins de tabou.
C’est bien tu parles de dépassement de soi via le sport mais il n’y a pas que ça. Il y a aussi le dépassement de son soi intérieur par ex.
Ensuite deux, trois phrases me révoltent lors de tes écris, de un c’est que j’ai l’impression que tu essayes de modeler ton homme que comme tu l’aime. Pas de beuh car ça le réussis pas, tu te le tiens en laisse pour l’alcool. Et lui son bonheur il est où?
À force de vouloir mettre des gens dans des cases bien propres tout finis par s’écrouler. À l’inverse de toi mon monde est parcouru d’embûche, je sais que le monde n’est pas dichotomique, c’est pas noir ou blanc il y a des nuances, des exceptions qui confirme la règle. Là où le plaisir et la torture se mêlent parfois (je parle pas de sexe), un exemple tout bête, la drogue je l’ai pas connue dans la rue, mais grâce à l’état, et non pas adulte sinon ça serait trop simple. Non enfant on m’envoyait ketamine, morphine, etc pour pallier aux opérations lourdes que je recevais. Est-ce que ça fait de moi quelqu’un de mauvais? NON
Ça ne fait pas que ta parole est moindre bien au contraire, c’est enrichissant car nos point de vue différent :)
Essaye de parler avec lui de ses désirs et voit comment toi tu peux les assouvir pour le combler si tu le souhaites, ça va aussi dans l’autre sens. Pense aussi à tes plaisirs, parler à une femme de ses plaisir homosexuel c’est pas facile
Voilà ce n’est que mon avis
Bonne journée
Dernière modification par réponse42 (Hier à 12:10)
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