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Peter1112 a écrit
Bonjour a tous.
Mon parcours est une catastrophe depuis que j'ai foutu les pieds en psychiatrie.
Je ne rentrerai pas dans les détails mais d'une simple angoisse on ma bourré de neuroleptiques, et voulant les arrêter du faîte de leurs effets secondaires puissant qui empêche de bosser d'avoir une vie tout simplement.
L'arrêt de ces drogues ma fait des bda choses que je n'avais jamais subit avant.
Donc je cherche des gens qui se sont sortis des neuroleptiques et qui aillant subit le pire avec ces faux traitements dites neuroleptiques ?
Salut !
À part un TPST, je n'ai pas de troubles psy (à priori lol). Et on m'a mis sous neuroleptique pour un sevrage de methadone. Tercian, abilify et quetiapine (trop d'effets secondaires). Ben je n'en prends plus aucun et je vais bien (voir largement mieux qu'avant).Je n'ai pas eu de trop grandes difficultés pour ces trois sevrages grâce a un protocole bien respecté et à savoir que j'ai 100mg de zoloft, 40mg de valium et 20mg de teralene pour dormir. Je pense que ça a dû aider....Pareil que Fil symptomes de sevrage sur deux ou trois semaines maximum pour moi.
Je vais pas m'eterniser car je manque d'information sur ta situation.
Mais pour répondre à ta question initiale oui on peut arrêter les neuroleptiques sans trop de dommages, mais nous sommes tous différents... je pourrais te citer les effets secondaires que j'ai subi pendant la prise de ces médicaments mais je n'y vois pas un grand intérêt. C'est fait, et pour MOI n'est plus à refaire
XD maintenant il faut continuer à avancer .
Nartrouv !
Dernière modification par Nineta (24 février 2024 à 18:27)
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Peter1112 a écrit
Mon parcours est une catastrophe depuis que j'ai foutu les pieds en psychiatrie.
Je ne rentrerai pas dans les détails mais d'une simple angoisse on ma bourré de neuroleptiques, et voulant les arrêter du faîte de leurs effets secondaires puissant qui empêche de bosser d'avoir une vie tout simplement.
L'arrêt de ces drogues ma fait des bda choses que je n'avais jamais subit avant.
Donc je cherche des gens qui se sont sortis des neuroleptiques et qui aillant subit le pire avec ces faux traitements dites neuroleptiques ?
Psychoactif n'est peut être pas le meilleur endroit pour venir poser des questions sur la sortie de traitements ou camisoles chimiques utilisés en psychiatrie. Je te souhaite d'avoir une réponse "ad hoc".
Je me suis fait coller sous neuroleptiques puissants dans un établissement psy privé qui m'a viré au bout d'une semaine. J'ai le souvenir d'avoir passé plusieurs jours dans un état de légume après avoir arrêté ces traitements. Cela a duré quelques semaines (deux ou trois) avant de retomber sur mes deux pied.
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Peter1112 a écrit
L'arrêt de ces drogues ma fait des bda choses que je n'avais jamais subit avant.
Bonjour Peter
J'ai vécu une expérience similaire, quoique bien plus courte.
Je pense que même lorsqu'on n'est pas psychotique, il peut exister des effets paradoxaux lors de l'arrêt des neuroleptiques.
A ma connaissance, ça n'est pas documenté, et je n'ai jamais rencontré d'autre exemple que le mien. C'est à partir de ma seule expérience que je dis ça.
Les conseils de Stelli et Nineta me semblent donc excellents : oui, on peut arrêter les neuroleptiques sans trop de dommages, mais nous sommes tous différents, alors attention à l'arrêt brutal des neuroleptiques.
Et attention à ne pas arrêter tout tes médicaments/drogues en même temps. Progressivité est mère de sûreté.
A ma connaissance, il n'existe aucun médicament alternatif, naturel ou autre, pour stopper les bouffées délirantes : seuls les neuroleptiques marchent. Mais il en existe plusieurs, il y a toute une panoplie avec plus ou moins d'effets secondaires qui varient selon les personnes. Tous les neuroleptiques/antipsychotiques ne sont pas identiques. Une alternative possible pour toi serait d'en chercher un autre qui ne te donne pas autant d'effets secondaires pénibles. C'est quelque chose dont tu pourrais parler à ton médecin prescripteur.
Comment ça se passe tes bda ? Tu les sens arriver tout seul ? Ou bien c'est ton entourage qui te le fait comprendre ?
Si tu ne t'en aperçois pas toi-même, ça crée un risque pour toi : faire ou dire des trucs qui peuvent mettre les autres en panique, et te retrouver encore en HP.
Mais ça peut s'apprendre en thérapie : de nombreuses personnes parviennent à "sentir" qu'elles sont en train de perdre pied. Ca leur permet de ne prendre les neuroleptiques que dans ces moments de crise, plutôt qu'en permanence toute la vie. Car c'est presque toujours à vie que les psychiatres les prescrivent aux personnes qu'ils ont diagnostiquées psychotique (et des fois, ils se trompent). Est-ce que c'est ça qui t'est arrivé ? On t'a diagnostiqué psychotique quand tu étais à l'HP (à tort ou à raison) ? Qu'est ce que tu appelles "une simple angoisse" ? Sans plus de détails, c'est difficile de t'aider. Ca devait quand même t'inquiéter beaucoup si ça t'a conduit en psychiatrie, non ?
Il y a longtemps, j'ai arrêté le neuroleptique que je prenais à haute dose (Tercian) du jour au lendemain. Je ne me suis pas méfié, car je ne n'avais jamais eu de symptômes de type psychotique avant, donc je n'avais pas à craindre leurs retours (j'avais commencé ce traitement pour mes angoisses, ts, toc, insomnies, phobies sociales, pensées invasives, etc.) Par ailleurs, j'avais bien avancé dans ma psychothérapie, et je venais de me sevrer de tous mes autres médocs durant les années précédentes. Tout s’était super bien passé, il ne restait plus que le Tercian.
Les psychiatres m'avaient toujours dit que c'était possible de l'arrêter net, car officiellement, il n'y a pas de syndrome de sevrage aux neuroleptiques comme le Tercian (contrairement à l'Abilify). D'ailleurs, le Vidal ne mentionne pas de nécessité de baisser les doses progressivement pour arrêter. Et pourtant...
Plusieurs jours après l'arrêt, j'ai vécu un épisode de dépersonnalisation absolument terrifiant. Je ne reconnaissais plus mon corps. C'est difficile à exprimer avec des mots.
Je n'habitais plus mon corps comme avant. Ca faisait comme quand on regarde dans une longue vue puissante. Tu sais, ce qu'on voit dans l'oeilleton est si différent de ce qu'il y a juste autour de nous, qu'on est un peu désorienté, on a l'impression d'être projeté ailleurs, comme dans une autre réalité, différente de ce qui nous est familier. J'avais l'impression que mon esprit n'était plus rattaché à mon corps que par mes yeux. Comme si je regardais dans le trou de la serrure, et que de l'autre coté de la porte, c'était mon corps que je voyais, à la 1ere personne. Mes yeux étaient les "trous" par lesquels mon esprit voyait mon corps. Trop bizarre...
J'avais l'impression d'être comme un esprit projeté dans un corps que je ne reconnaissais plus. C'est pas que j'avais l'impression de voir le corps de quelqu'un d'autre, il n'avait pas changé de forme, c'était toujours moi, c'était bien le même corps qu'avant. Mais je ne le percevais plus comme avant. Une impression différente de d'habitude. Une impression de totale étrangeté. Mon corps ne m'était plus familier. Il m'évoquait un genre de bestiole bizarre en forme d'étoile. Le mouvement de mes bras et de mes jambes me terrifiait, j'avais l'impression de grouiller comme les insectes. Je trouvais ça répugnant. Le moindre de mes mouvements me tétanisait d'horreur. Difficile de traduire mon ressenti, mais c'était vraiment comme le pire des cauchemars.
J'ai contenu tant bien que mal mes hurlements de terreur. Je savais que si on m'entendait, ça serait retour à l'HP, et vu ma panique, vers avec un sanglage en bonne et due forme, comme j'ai souvent vu pratiquer là-bas.
Je ne sais pas par quel miracle j'ai pu redescendre de cet état horrifiant. Ca n'a duré que quelques minutes, fort heureusement, sinon je n'aurais jamais pu résister à l'effroi qui m'envahissait. C'était en 2002, ça ne m'est plus jamais arrivé depuis.
Je ne vais pas faire tout mon pedigree ici, mais des choses effrayantes, j'en ai déjà vécu pas mal. Ben je peux te dire que même des menaces de mort très crédibles, même quand tu as le canon d'une arme sur ton front, c'est loin, loin, loin, de faire aussi peur.
Tout ça pour dire que même si c'est rare, un épisode psychotique entièrement induit par l'arrêt des neuroleptiques, ça peut arriver. Et il vaut mieux en tenir compte, et faire un sevrage progressif pour que le cerveau ait le temps de retrouver son équilibre, même si il n'y a aucun manque physique.
Amicalement.
Dernière modification par Pesteux (25 février 2024 à 06:41)
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Pesteux a écrit
Peter1112 a écrit
L'arrêt de ces drogues ma fait des bda choses que je n'avais jamais subit avant.
Bonjour Peter
J'ai vécu une expérience similaire, quoique bien plus courte.
Je pense que même lorsqu'on n'est pas psychotique, il peut exister des effets paradoxaux lors de l'arrêt des neuroleptiques.
A ma connaissance, ça n'est pas documenté, et je n'ai jamais rencontré d'autre exemple que le mien. C'est à partir de ma seule expérience que je dis ça.
Les conseils de Stelli et Nineta me semblent donc excellents : oui, on peut arrêter les neuroleptiques sans trop de dommages, mais nous sommes tous différents, alors attention à l'arrêt brutal des neuroleptiques.
Et attention à ne pas arrêter tout tes médicaments/drogues en même temps. Progressivité est mère de sûreté.
A ma connaissance, il n'existe aucun médicament alternatif, naturel ou autre, pour stopper les bouffées délirantes : seuls les neuroleptiques marchent. Mais il en existe plusieurs, il y a toute une panoplie avec plus ou moins d'effets secondaires qui varient selon les personnes. Tous les neuroleptiques/antipsychotiques ne sont pas identiques. Une alternative possible pour toi serait d'en chercher un autre qui ne te donne pas autant d'effets secondaires pénibles. C'est quelque chose dont tu pourrais parler à ton médecin prescripteur.
Comment ça se passe tes bda ? Tu les sens arriver tout seul ? Ou bien c'est ton entourage qui te le fait comprendre ?
Mais ça peut s'apprendre en thérapie : de nombreuses personnes parviennent à "sentir" qu'elles sont en train de perdre pied. Ca leur permet de ne prendre les neuroleptiques que dans ces moments de crise, plutôt qu'en permanence toute la vie. Car c'est presque toujours à vie que les psychiatres les prescrivent aux personnes qu'ils ont diagnostiquées psychotique (et des fois, ils se trompent). Est-ce que c'est ça qui t'est arrivé ? On t'a diagnostiqué psychotique quand tu étais à l'HP (à tort ou à raison) ? Qu'est ce que tu appelles "une simple angoisse" ? Sans plus de détails, c'est difficile de t'aider. Ca devait quand même t'inquiéter beaucoup si ça t'a conduit en psychiatrie, non ?
Pour répondre à tes questions, les bda je les vois arriver et je m'imagine dans un monde différent s'en suit hallucinations, blocage aux niveaux des pensées tout simplement l'enfer quoi et sans te mentir ça a duré 5 mois le dernier épisode de bda j'en pleure rien que de l'écrire je le souhaite a personne. Mais j'avais arrivé à remonter la dose à 5 mg pour retrouver mes esprits, alors que pour les soit disant psychotiques skizophrene...la dose minimale pour abilify est de 15 mg faudrait que les psychiatres m'explique.
Oui la psychiatrie c'est trompé me concernant j'ai eu une altercation au boulot avec menaces etc.. qui m'a donné une angoisse mais j'étais dans la réalité c'était en 2015.. c'est après la descente aux enfers une fois les neuroleptiques administré et voulant les arrêter pour retrouver mon état physique d'avant que la perte avec la réalité est arrivé. Comment la psychiatrie peut bousiller des vie avec de faux diagnostique c'est une catastrophe.
Et oui cela m'inquiète pour ma vie future je n'est que 43 ans.
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Peter1112 a écrit
les bda je les vois arriver
Yes ! Ca, c'est vraiment un super bon point !!!
Peter1112 a écrit
sans te mentir ça a duré 5 mois le dernier épisode de bda j'en pleure rien que de l'écrire je le souhaite a personne.
Je compatis à ta souffrance, ça a du être une épreuve extrêmement difficile ce que tu as vécu. 5 mois c'est vraiment très long...
Tu veux dire que même en reprenant ton traitement, il a fallu 5 mois pour stopper le délire ?
Etais tu à l'HP durant cette période ? Ou bien es-tu parvenu malgré tout à garder ton autonomie ? Comment ça s'est passé avec tes proches ?
Peter1112 a écrit
Mais j'avais arrivé à remonter la dose à 5 mg pour retrouver mes esprits, alors que pour les soit disant psychotiques skizophrene...la dose minimale pour abilify est de 15 mg faudrait que les psychiatres m'explique.
C'est beaucoup plus compliqué que ça. 15 mg, c'est la dose de maintien efficace recommandée. C'est une moyenne qui permet d'être sûr que ça marchera pour (presque) tout le monde.
Mais tu as des personnes qui ont besoin de plus, et d'autres qui peuvent se contenter de moins.
On ne peut pas te baser sur la dose d'Abilify qui stoppe les hallucinations pour en déduire un diagnostic. On ne peut écarter aucune hypothèse parce que 5 mg stoppent les symptômes.
Peter1112 a écrit
Oui la psychiatrie c'est trompé me concernant j'ai eu une altercation au boulot avec menaces etc.. qui m'a donné une angoisse mais j'étais dans la réalité c'était en 2015..
Donc tu avais 34 ans. C'est en effet assez rare de faire une première crise psychotique à cet age là. Le plus souvent, les symptômes apparaissent avant. Mais on ne peut pas vraiment se baser là-dessus, il y a des exceptions.
Si tu as été diagnostiqué psychotique à ce moment-là, ça veut dire que ton altercation avec menace au boulot a été niée ou minimisée ? On t'a dit que tu étais paranoïaque ? C'est ça qui s'est passé ?
Peux-tu nous raconter ce que tu as vécu, et comment ton récit a été reçu par les psychiatres que tu as consultés ? Tu dis que tu as eu "une angoisse", mais tu ne donnes pas de détail. Tu peux nous raconter un peu ce que ça te faisait plus précisément ? Ca devait être une putain d'angoisse de sa mère pour que tu ailles en HP, non ? Tu avais quoi comme symptômes plus précisément ?
Si tu as eu un stress post-traumatique, et qu'il a été nié ou minimisé, ça peut avoir des conséquences très graves. Ca interroge sur la vraie nature de la réalité, on peut perdre pied, chacun à notre façon. C'est toute l'histoire de ma vie. Un travail avec un psychothérapeute qui m'a pris au sérieux m'a été très bénéfique.
En attendant, si tu as des bouffées délirantes, il faut en tenir compte, quelles que soient les causes au départ. En étant conscient de leur survenue, tu es bien armé pour pouvoir prendre ton traitement uniquement quand elles apparaissent.
Tu peux aussi chercher un meilleur traitement avec un psychiatre. Mais il faut qu'il te prenne au sérieux dans ce que tu lui racontes, et qu'il tienne compte de tes retours d'expérience avec le traitement. C'est pas toujours facile à trouver, mais ça existe ! Ne perds pas espoir
Amicalement.
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Pesteux a écrit
Peter1112 a écrit
les bda je les vois arriver
Yes ! Ca, c'est vraiment un super bon point !!!
Peter1112 a écrit
sans te mentir ça a duré 5 mois le dernier épisode de bda j'en pleure rien que de l'écrire je le souhaite a personne.
Je compatis à ta souffrance, ça a du être une épreuve extrêmement difficile ce que tu as vécu. 5 mois c'est vraiment très long...
Tu veux dire que même en reprenant ton traitement, il a fallu 5 mois pour stopper le délire ?
Etais tu à l'HP durant cette période ? Ou bien es-tu parvenu malgré tout à garder ton autonomie ? Comment ça s'est passé avec tes proches ?
Peter1112 a écrit
Mais j'avais arrivé à remonter la dose à 5 mg pour retrouver mes esprits, alors que pour les soit disant psychotiques skizophrene...la dose minimale pour abilify est de 15 mg faudrait que les psychiatres m'explique.
C'est beaucoup plus compliqué que ça. 15 mg, c'est la dose de maintien efficace recommandée. C'est une moyenne qui permet d'être sûr que ça marchera pour (presque) tout le monde.
Mais tu as des personnes qui ont besoin de plus, et d'autres qui peuvent se contenter de moins.
On ne peut pas te baser sur la dose d'Abilify qui stoppe les hallucinations pour en déduire un diagnostic. On ne peut écarter aucune hypothèse parce que 5 mg stoppent les symptômes.
Peter1112 a écrit
Oui la psychiatrie c'est trompé me concernant j'ai eu une altercation au boulot avec menaces etc.. qui m'a donné une angoisse mais j'étais dans la réalité c'était en 2015..
Donc tu avais 34 ans. C'est en effet assez rare de faire une première crise psychotique à cet age là. Le plus souvent, les symptômes apparaissent avant. Mais on ne peut pas vraiment se baser là-dessus, il y a des exceptions.
Si tu as été diagnostiqué psychotique à ce moment-là, ça veut dire que ton altercation avec menace au boulot a été niée ou minimisée ? On t'a dit que tu étais paranoïaque ? C'est ça qui s'est passé ?
Peux-tu nous raconter ce que tu as vécu, et comment ton récit a été reçu par les psychiatres que tu as consultés ? Tu dis que tu as eu "une angoisse", mais tu ne donnes pas de détail. Tu peux nous raconter un peu ce que ça te faisait plus précisément ? Ca devait être une putain d'angoisse de sa mère pour que tu ailles en HP, non ? Tu avais quoi comme symptômes plus précisément ?
Si tu as eu un stress post-traumatique, et qu'il a été nié ou minimisé, ça peut avoir des conséquences très graves. Ca interroge sur la vraie nature de la réalité, on peut perdre pied, chacun à notre façon. C'est toute l'histoire de ma vie. Un travail avec un psychothérapeute qui m'a pris au sérieux m'a été très bénéfique.
En attendant, si tu as des bouffées délirantes, il faut en tenir compte, quelles que soient les causes au départ. En étant conscient de leur survenue, tu es bien armé pour pouvoir prendre ton traitement uniquement quand elles apparaissent.
Tu peux aussi chercher un meilleur traitement avec un psychiatre. Mais il faut qu'il te prenne au sérieux dans ce que tu lui racontes, et qu'il tienne compte de tes retours d'expérience avec le traitement. C'est pas toujours facile à trouver, mais ça existe ! Ne perds pas espoir
Amicalement.
Bonjour oui mon altercation au boulot n'a pas était prise au sérieux, j'avoue que j'étais très angoissé mais j'étais dans la réalité pas comme après en arrêtant les neuroleptiques qui m'a fait délirer bda ( l'enfer ).
Oui j'avais 35 ans à l'époque maintenant 43 ans et 8 ans de galère à vouloir me sortir de cette spirale.
Le problème je pense tel que je connais mon corps et mon vécu depuis que j'ai foutu les pieds en psychiatrie c'est que je suis très sensible aux neuroleptiques et quand je les arrête bin ça bloque les pensées et le cerveau est complètement perturbé.
Je n'ai jamais parlé a un psychiatre même en hp le courant passer pas avec le Psy.
L'ordonnance c'est mon généraliste qui me l'a fait
La j'ai trois rdv avec trois psy différents.
Pendant la bda qui à durée 5 mois j'étais livré à moi même et ceux fut très difficile, ma famille voyait que j'étais fermé mais je gardé tous en moi je ne disais rien.
Si je devais résumer ma sensibilité à l'abilify est une très forte sensibilité à la lumière beaucoup de frissons pour des émotions basique alors qu'avant je frissonné pas comme ça, et ça ca prouve bien du dérèglement de l'abilify sur mon cerveau.
Je serai l'homme le plus heureux si j'arrive à me sortir des "drogues neuroleptiques" et retrouver mes capacités visuels, émotions et l'énergie d'avant.
Comment un médicament peut ruiner une vie c'est honteux je ne sais pas comment je fais pour rester debout et à travailler après avoir vécu tous ces bda.
Une chose est certaine ces difficultés de ma vie mon fait savoir que je suis pas le genre d'homme à abandonné c'est le seul point positif si je pourrais dire que la psychiatrie mes donné, le reste de la psychiatrie n'a pas était pris au sérieux sur mon altercation et à déstabiliser mon cerveau et ça j'en veut beaucoup au milieu psychiatrique.
Juste pour dire avant j'étais sous risperdal et j'étais mais vraiment bon à rien un vrai légumes et les jambes sans repos etc... j'avais haldol aussi mais je n'avais plus de libido et j'arrivais pas aller au terme d'un rapport sexuel donc plus de plaisir.
Enfin je souhaite du courage à tous les gens comme moi qui luttent jour après jour des effets néfastes des neuroleptiques j'espère voir le bout du tunnel de ce parcours de ma vie un jour et être libéré des neuroleptiques comme avant.
Dernière modification par Peter1112 (07 mars 2024 à 23:14)
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