Au revoir dis-je enfin en écrivant cherchant la fin du début de cette chose qu'on nomme l'insatisfaction.Cidre doux, pourquoi tant de doutes ?
Ô quel travers Infernale, je pleurs, je pleurs,
cherchant la libération définitive de mon âme,
je me parsème de croyances axiomatiques
comme-ci cette mécanique était automatique
Celle de prendre la faim pour la fin, cela n'est point.
Point sarcastique et pudique elles me disent :
Ô toi là, oui toi qu'as tu fais pour mériter cela ?
En sanglot, je me noie intérieurement en deça
de l'illusion fantasmagorique qui me dit : Halte à toi !
Ne me regarde pas lui dit-il d'un ton invrimier
je recherche les constellations, je m'en suis imprimé
Garde toi bien de faire des efforts me dit la
3MMC,
car quand la serenité de ton esprit aura lieu
inconsciemment tu partegeras tout sur ce lieux.
Ô Capitaine Cosmique, qui es-tu ? Angoisse !
Je ne suis qu'une étoile me retorque t-il, sallace ! Quelle angoisse !
Accroches toi petit matelô, accroche ton chemin,
celui dont la fin ne représente que le chagrin.
Ô la faim me viens, quel entrain, quel sarcoint,
Quand comprendras-tu, Enfin ? Ô TOI, Oui toi là, ôoÔ
Toi qui est là, tu n'es que dédain c'est tellement malsain.
Pitier dit le petit matelô à l'étoile scintillante, pitier
llumine mon chagrin pour que cela prenne enfin fin.
Tout ne devrais être que partage, quel sacadage,
quel gaspillage rétorque le Grand Capitaine, celui qui,
plein d'entrain, enlève le chagrin de l'étoile qui prend fin,
Elle se meurt, le vide la détruit, le chaos la briquer
Saisisant de beauté, je me sens plus dans le sarcage,
Ô quel ménage, mais quel trucage, tu es l'arrimage !
Enfin ! Enfin ! Je crie Enfin, c'est bientôt la Fiiin !
C'est bientôt la fin, la fin d'un début ou je n'es point faim
Elégante, c'est l'élégance dans la servitude
La fin d'un début qui ne mange point, c'est fini
Enfin ! Cela arrive par vagues, le Capitaine prit la parole ;
öyez petit Matelo, toi dont ta foi ne te fait pas naviguer sur l'eau
sur n'es point au point, car je suis mort. Mort de fatigue.
Tout prend fin tant que la fin pourra se nourrir de cette faim
Eternalisme, je suis immortel, je suis Dieu,
Je Suis Le Plus Grand Arrimage du Cosmos, cette image est magique !
Elle débute, la fin qui se nourrie de la faim, c'est magique !
Ma mort m'imprrène de douleurs insacombles, cela est nul !
Nul ! Nul ! Nul ! Je ne puis être poete, je ne le puis point
Nul je suis, nul en tout, nul en rien, j'hurle comme un chien
pour me dire; qu'en tout ça prendras enfin définitivement fin ?
C'est l'apoint, l'intrébide caresse doucement le matelÔ,
qui nageant sur l'eau, ne puis pleurer dans ce lac.
Cela est mortifiant, cette douleur insécable, redoutable,
elle me hante l'esprit jour comme nuit, je suis un piètre poete
Nul je suis, car j'ai compris que ce qui fait la fin d'une chose,
n'en rend pas moins heureux certains dont leurs fin est loin
L'angoisse crie famine, j'ai fin de toi, fais toi à moi,
Ô pitier, offre toi à moi, je ne peux point, car je suis Nul !
Pars de la et haute ta casquette petite étoile, tu frémilles,
tu soupoudres l'espace de beauté enivrante, tu illumine la Vie
tu poses enfin ta main sur la mienne, désolé, je ne peux point
Exaltant est le bonheur, car celui-ci, soit en certain
montre le chemin, le chemin de la Vie; je me sens mort.
Ô Inspiration Divine, sais tu que je suis ?
Dieu n'est que la représentation de mon ombre,
je suis le Suprême Monarque, ce qui part ce merveilleux lac,
prit enfin confiance en ces mots qui sont blafartes
Pour le petit matelô, la souffrance est sans égale
elle meurt, je meurs, je n'en peu plus, aidez-moi dis-je;
aidez-moi, moi qui le plus souvent, ressens l'incratomble,
Je suis vide intérieurement dit t-il au Grand Capitaine.
Je suis motifié, désarsemé, enpointé et lacher dans la mort
Acusse moi encore une fois et je te montrerai, tu verras
La Lumière insaisisable, inépuisable, incontrolable,
elle est car elle pense, il est car il bouge, ils sont l'Unité.
C'est l'unificité de la Vie !
Que l'ontologie soit avec moi !
Bonjour,
Part Disso