Anonyme813 a écrit
/forum/uploads/images/1563/aletta.gif
Quand je parviens à la regarder dans les yeux (...), c'est comme si elle était devant moi, en chair et en os ! Magique.
Évidemment, il en faut pour tous les goûts...
Là je vais parler des miens / des esthétiques qui me parlent.
Je ne juge donc pas le «modèle» / la «performeuse», ni ses choix de modif corporelles, ce que je risque de juger c'est plutôt ce que la société nous programme à «désirer».
Pour moi ce type de physique stéréotypé c'est limite cheap, voir ringard, très daté 90's / early 00's. De nos jours on a pas une foultitude de physiques, mais on est revenu à qque chose de plus «naturel»...
Aucune femme ressemble à ça, c'est très bizarre a regarder, presque dérangeant...
Et la où c'est triste, c'est que ça instaure des standards surréalistes en plus de «former» le jeune public masculin à désirer un modèle de corps fictif...
C'est bon pour personne :
Les hommes peu expérimentés ont une image de la poitrine tout droit sorti d'un manga, qui est «rigide» au lieu de prendre ses aises et suivre le corps et la pesanteur...
Les nanas complexes car se trouvent plates, le sein «tombant» (= normal).
Bon actuellement, il y a davantage de diversité, sans doute avec le développement du porn dit «amateur» (à la J&M Spoiler .
Les femmes sont tres minces + seins refaits qd mm dans la majorité. Donc tjrs des stéréotypes...
Mais la recherche de realisme, l'approche a la «gonzo» offre qd mm une plus grande diversité anatomiquement....
Ah et en passant, la sainte trinité «fellation - pénétration vaginale - sodomie» continue de faire rêver ( LE MEC... )
Dans un porno pour femmes ou lesbien - hors fetichisation saphique destinée a un public masculin, le point culminant ça risque peu d'être une sodomie olympique feat des diamètres affolants...
Déjà les actrices soumettent leur corps a rude épreuve pour changer un anus lambda en trou noir béant, il faut qu'elles mettent en condition tt ca en élargissant le passage dès la veille...
Il y a des effets secondaires possible a terme, et c'est qd mm eprouvant...
Dans la vie réelle, il n'y a pas de pratique automatique ou «obligatoire».
Pas de norme ou de « programme type» dans les rapports sexuels / sensuel / amoureux...
De ce que j'ai compris, qd le partenaire a «besoin» (guillemets titanesques) de finir sur une sodomie pour éjaculer...
- Soit c'est un automatisme psy intégré et devenu sa norme. Qu'il est possible de déconstruire.
- Soit, il est possible que le partenaire se sente plus «gainé» / serré que dans le vagin (pour diff raisons : format du penis, après une grossesse, ... ).
Contracter son periné (la femme) et le muscler si besoin peut aider (indispensable apres un accouchement, pr eviter fuites urinaire, descentes organes... par ex). Quoi qu'il en soit vous n'avez pas a vous «imposer» de pratiques (ici sodomie ) pour pallier aux «besoins» (envies plutôt) du partenaire.
- Soit... d'autres raisons existent...
Faire un «calin», c'est du partage, une forme de communion, et aussi bcp de confiance et de communication (ça aide bcp quoi).
Le «devoir conjugal» n'est plus un devoir heureusement, mais integrons bien que ce n'est pas une performance où l'un se devoue au plaisir de l'autre. C'est mutuel.
Apres l'orgasme n'est pas une fin en soit, pour les 2 sexes (et ejaculer n'est pas forcément jouir), on est pas tjrs dans une symétrie calculée... Donc forcément, on peut pas tjrs «égaliser le score» sur 1 câlin (= rapport, c'est les relents de mon côté romantique prudasse lol non c surtt plus mimi et moins connoté Spoiler ). L'essentiel est d'être dans une dynamique équilibrée et que chacun puisse donner comme recevoir....
Il y a aussi parfois (bcp chez les hommes je trouve) une course à l'orgasme, comme si il s'agissait d'un bon point, ou d'une médaille prouvant leur compétence sexuelle...
- 1) c'est mal connaître le plaisir feminin, qui décline plein de nuances...
- 2) ça peut limite etre tue l'amour qd on te demande dès la fin «alors t'as joui?!!!» ou «j'etais bon?????!!». A se demander si le but c'est le calin ou qu'il se rassure sur sa « virilité»...
- 3) Perso, j'estime qu'il faut savoir se laisser aller pour kiffer aussi. La course a la performance, et etre focus seulement sur le plaisir de l'autre, je pense pas que c'est le mieux...
Et puis qd tu captes que le mec donne trop d'importance à ce «détail», limite tu veux pas lui péter son ego... (= oui oui ct genial, voir simulation bruyante pr satisfaire sa quête...)
Faut lacher prise quoi.
Idem si un mec ne fini pas ben c'est pas dramatique ou lié au partenaire.
Les drogues peuvent jouer. Le stress. La déprime. 2eme round. ...
Et un homme ne jouit pas nécessairement en éjaculant. Il ne faut pas lier systématiquement les deux.
# En entrant au lycée quasiment tous les gosses ont déjà été confrontés à une video porno.
# Une sacré proportion d'ado envoie ou enverra des «nudes» (selfie mais à poil en gros), bien qu'on communique sur les risques comme le revenge porn.
# Les YouPron, PronHub et consors enregistrent des fréquentations énormes pour des sites web.
# Sur le net, nous sommes de plus en plus bombardés par des pubs à caractère porno, tjrs plus explicites, plus trash...
Bref, l'éducation sexuelle et la RdR sexo sont pour moi des indispensables dans notre socièté....
Sur ce, bonne bourre et sortez couverts!!!
Catégorie : Opinion - 05 août 2019 à 18:04
#MarlaSexologisme #Mon avis sur LA chose #Pas Merci Jaquie et Dorcel
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Rick a écrit
J'ai des questions pour les xpertz :
Est-ce qu'il existe des fantasme masculin et féminin ? Ou simplement des fantasme de personnes qui s'avère être..
Ce serait intéressant de savoir si la recherche s'intéresse équitablement à tous les types de fantasmes de tous les êtres humains, ou fait particulièrement une fixette sur les fantasmes de viol des femmes.
En ce qui me concerne je n'ai pas de suggestions, je suis trop éloignée des sujets.
Anonyme813 a écrit
Hilde, j'avais proposé il y a quelques mois de faire un nouveau subforum où les hommes ne pourrai poster mais c'était pas une grosse idée. Un simple message en introduction suffit, je ferai le ménage si quelqu'un outrepasse
Oui, j'en appelais plutôt aux femmes à venir exprimer leur opinion, et aux hommes à parfois réfréner un peu la façon dont ils monopolisent la parole et l'autorité avec laquelle ils assènent leurs vues sur les sujets vécus exclusivement par les femmes.
En effet je ne crois pas que fermer un sous-forum aux hommes serait une idée sans trop d'inconvénients. Ni l'inverse non-plus, créer un sous-forum réservé aux hommes.
Une des richesses de PA c'est aussi la façon dont on peut tous, H, F, LGBTQ etc., dans notre diversité neurobiologique et sexuelle, discuter simplement mais authentiquement, en liant vécu et réflexion, de ces sujets, exprimer sa voix, et surtout entendre celle des autres... Ama.
Hilde a écrit
C'est gonflant qu'il n'y ait que des hommes pour discuter du fantasme de viol chez les femmes.
C'est toujours la même chose: un sujet concerne les femmes, et ce sont les hommes, tous experts, qui se la ramènent et viennent nous donner un cours sur le sujet. [En vrai je remercie Rick et Yog de leurs interventions pertinentes ]
Je ne m'imagine même pas disserter sur les fantasmes masculins, sauf évidemment celui qui consiste à fantasmer sur le (prétendu dans la grande majorité des cas) fantasme de viol des femmes.
Je trouve personnellement que si tu as le droit de parler du fantasme de viol chez les hommes, les hommes devraient aussi avoir le droit de donner leurs avis sur les fantasmes des femmes sans avoir à être repris à cause de leur sex et même si les idées avancées ne te plaisent pas (elles ne m'ont pas spécialement plu non plus pour être clair). On a pas besoin d'être directement touché par une thématique pour en parler selon moi ça serait une grosse erreur intellectuelle qui pourrait avoir des répercussions fachisantes à terme, car on parle ici de discrimination sur le sexe de l'individu et non pas sa pensée.
Encore une fois: Le thème principal est la pornographie de nos jours et il me semble très importants de savoir ce que chacun recherche dans le domaine et la diversité des réponses montrent aussi que c'est important de pouvoir échanger des idées là dessus pour avoir une image plus proche de la réalité, surtout dans ces sujets. Mais je trouverais ça très dommage de limiter ce sujet aux femmes, ça aidera pas les hommes à mieux comprendre certaines visions féminines comme le fait de pouvoir lire les différentes femmes ici donner leur avis.
Anonyme813 a écrit
@Hilde: N'y a t il pas aussi discrimination a dire que le sujet de la pornographie ne touche que les femmes et que les hommes on aurait pas le droit d'avoir un avis sur la question
Je ne pensais qu'au sous-sujet du fantasme de viol chez les femmes, pas à la pornographie. Il me semblait que c'était non équivoque.
Anonyme813 a écrit
Je trouve personnellement que si tu as le droit de parler du fantasme de viol chez les hommes
Ce n'est pas ce dont je parlais, en plus c'était plutôt une taquinerie : puisque le supposé fantasme de viol des femmes occupe une telle place dans l'imaginaire des hommes, je me permets de l'assimiler à un fantasme masculin.
Anonyme813 a écrit
Encore une fois: Le thème principal est la pornographie de nos jours
Oui, on ou moi a dévié dans le HS. Pas dramatique non plus. On est là pour la ballade aussi. Y'a pas le feu au lac.
Hilde a écrit
Anonyme813 a écrit
The actual prevalence of rape fantasies is probably higher because women may not feel comfortable admitting them.
Ah mais, puisque je suis une femme je vais te répondre, en effet je l'admets, j'ai 1000x fantasmé de violer, mais alors JAMAIS, pas une seule fois, je n'ai fantasmée d'être violée. D'être prise, oui, par un homme qui me plaisait, mais violée, jamais.
----
En fait c'est avant tout le fantasme d'être irrésistible puis de tomber sur un homme ultra motivé et au savoir faire ultra efficace et de jouir sans avoir à lever le petit doigt.
On est certainement plusieurs à savoir que cette denrée se fait rare.
Quelle différence entre ce fantasme là et celui d'un homme qui veut voir une femme lui exaucer tous ses fantasmes sans que lui n'ait à se charger d'un travail d'empathie envers l'autre personne ? Ce qu'on fantasme, c'est d'avoir cette position de "roi" ou de "reine" et de ne rien avoir à faire, et on retrouve ce fantasme chez des personnes des deux sexes à mon avis. et c'est ce qui est mis en avant dans certains pornos.
Je suis désolé si j'ai pas saisi tout ce que tu voulais dire alors mais depuis hier j'ai un peu des zones d'ombre dans ta reflexion et je peux pas m'empêcher d'y voir une dissonance dans ton discours qui est peut-être lié à certaines de tes expériences personnelles vu que c'est pas la première fois que je te vois t'emporter sur ce genre de sujet, avec souvent une odeur d'amertume et peut-être de rancoeur envers certaines personnes du sexe masculin. Mais encore une fois, désolé si j'ai mal compris les messages ne sont pas toujours les meilleurs moyens d'exprimer sa pensée et c'est pour ça que je préfère te demander des éclaircissements sur ta position .
Anonyme813 a écrit
Mais sur quoi tu te bases pour dire que le fantasme du viol fait parti de l'imaginaire de l'homme ?
Je ne suis pas sûre qu'on se comprenne bien. Ce que j'entendais c'était que le fait que les femmes aient des fantasmes de viol faisait partie de l'imaginaire des hommes. Ce sont surtout les réactions de Stal'Cair, qui l'assénait comme une vérité indiscutable, sans vouloir discuter de la réalité que cette expression recouvrait, qui m'ont fait émettre cette supposition.
Je ne dis pas que les hommes fantasment de violer (je n'en sais rien) si c'est ce que tu entends, mais que certains prennent pour acquis que les femmes ont envie d'être violées si tu veux.
Que des personnes bien informées et éduquées sur la question, comme Marla et d'autres expliquent que le viol n'est en rien sexuel, etc., (ce avec quoi je ne suis pas d'accord, c'est la motivation qui peut ne pas être d'ordre sexuel, mais la commission de l'acte utilise la sexualité), donc qu'un fantasme sexuel ne pourrait se rapporter au viol puisqu'il ne relève pas du sexuel (il s'agirait alors d'un fantasme non sexuel), est une réflexion qui n'est pas spontanément accessible à tous ceux qui entendent parler de ce fantasme de viol, et donc ne résout pas le problème de fond de ce fantasme dans la "culture" populaire.
Anonyme813 a écrit
Permet moi de maintenir le fait que j'ai l'impression qu'il y a un double standard dans la discutions et que tout n'est pas traité d'un pied d'égalité
Il n'y a pas de double standard, mais pour parler de la réalité des fantasmes féminins, à moins de s'appuyer sur des études sérieuses (celle que Yog a retrouvée est intéressante), je disqualifie celui qui poste des graphiques sortis d'on ne sait où, sans source, sans aucune garantie de toute façons sur la significativité des résultats etc. , et qui prétend mieux savoir que les femmes ce sur quoi elles fantasment, et qui affirme que c'est comme ça un point c'est tout.
Anonyme813 a écrit
Quelle différence entre ce fantasme là et celui d'un homme qui veut voir une femme lui exaucer tous ses fantasmes sans que lui n'ait à se charger d'un travail d'empathie envers l'autre personne ? Ce qu'on fantasme, c'est d'avoir cette position de "roi" ou de "reine" et de ne rien avoir à faire, et on retrouve ce fantasme chez des personnes des deux sexes à mon avis. et c'est ce qui est mis en avant dans certains pornos.
Je ne suis pas en désaccord avec toi. Note que j'ai réagi à chaud et nuancé mon propos par la suite. Mais peu importe.
Là encore en réagissant j'ai joué sur l'équivoque entre fantasme d'être violé(e) ou fantasme de violer, sachant qu'on sous-entend, dans l'expression "fantasme de viol", le fait d'être violé(e), du moins chez les femmes (il suffit de regarder ce sur quoi portent les articles de recherche). Bien entendu l'opposé est possible, mais je n'ai pas l'impression qu'on en discute beaucoup.
Anonyme813 a écrit
avec souvent une odeur d'amertume et peut-être de rancœur envers certaines personnes du sexe masculin.
Je n'ai pas, ou n'avais pas en échangeant sur ce blog, de rancœur ou quoi que ce soit. J'ai juste un ressenti, très personnel, c'est que je n'ai absolument aucune appétence pour que de la violence ou de la contrainte soit exercée à mon encontre dans le cadre sexuel. Comme je suppose que je ne suis pas la seule femme à prendre le choses de cette façon, ça me saoule de voir débarquer le gros macho (désolée), qui t'explique que le sexe n'est que jeux de pouvoirs, violence et soumission, et qu'au fond toute jouissance féminine se trouve du côté de la soumission, et que si j'en doute encore, lui au moins le sait beaucoup mieux que moi.
Peut-être qu'aussi j'ai en mémoire des sortes de fiascos avec des hommes non pas agressifs (quoiqu'évidemment comme toute femme ça m'est arrivé d'en rencontrer), mais sortes de brutes mécaniques qui ne semblaient pas bien percevoir que l'alchimie sexuelle est un truc un peu plus subtil que ce qu'ils semblaient avoir en tête.
Faut pas aller chercher beaucoup plus loin ma réaction.
____________________________
Un petit edit du soir pour mentionner ce roman de Witold Gombrowicz,
http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLI … nographie#
que j'avais lu beaucoup plus jeune et qui m'avait mise mal à l'aise (mais j'adore cet auteur).
Hilde a écrit
Rick a écrit
J'ai des questions pour les xpertz :
Est-ce qu'il existe des fantasme masculin et féminin ? Ou simplement des fantasme de personnes qui s'avère être..Ce serait intéressant de savoir si la recherche s'intéresse équitablement à tous les types de fantasmes de tous les êtres humains, ou fait particulièrement une fixette sur les fantasmes de viol des femmes.
La recherche ne s'intéresse pas équitablement aux homme et aux femmes tout court, de base.
--> Rien que dans les tests humains de médicaments, sont principalement réalisés sur des échantillons mâles...
Ce qui rend plein d'effets secondaires spécifiques aux femmes invisibles ! (Et on corrige les notices ensuite... c'est trop d'honneur, dis donc. )
--> Donc en matière de «plaisir» / épanouissement sexuel... c'est un peu le moyen âge... (la grossesse est un plaisir suffisant, ne soyons pas ingrates non plus... )
C'est très récent les recherches poussées, sérieuses et instructives sur le clítoris (années 80 ou ca démarre vraiment). Cet organe à été «cartographié» entièrement il y a peu (2016!!! pour un schéma 3D).
Le clitoris qu'on se représente n'est que le minuscule sommet de l'iceberg. L'organe bulbo-clitoridien est surtt interne, en forme de fleur, il a 2 profondes racines qui enserrent l'uretre et le vagin. Ces 2 côtés sont dotés de corps caverneux (à l'image du pénis) et se rejoignent au sommet des petites lèvres en formant la partie externe (prépuce et gland, comme chez l'homme là encore).
Mon intuition comme quoi l'opposition «clitoridienne » et «vaginale» c'est du bulldog, à été confortée en apprenant ça.
Tout l'organe du clítoris réagit, ce qui le connecte à l'intérieur et extérieur.
En gonflant les «racines» ont un impact sur le ressenti vaginal... Bref...
C'est dommage de réaliser que nos supposées connaissances sur la sexualité féminine provient d.observations / théories bancales.... souvent venant d'hommes...
(Ce sont des femmes qui ont mené les recherches sur le clítoris, par ex...)
Bon et je me lance même pas sur la contraception interne / hormonale que l'on réserve SCIEMMENT aux femmesSpoiler
Sinon, pas de commentaire sur les spécialistes qui viennent nous expliquer de quoi on fantasme, à quelle fréquence, et que c'est scientifique, en disant aux femmes qu'elles ont tord...
Les pseudo études vieillottes qui interprètent des données qu'on est incapable de vérifier / analyser... ça à pas valeur de vérité...
Dire non à ce genre de délire ça me semble pas extrémiste.
On parle tous, en mixité, et ca se passe bien.
Le peu de «cadre» à la rigueur, c'est
- entendre et prendre en compte ce que disent les concernés (qd on dit que les femmes fantasment comme ci et ça, c bien d'écouter ce qu'elles en disent... Par ex)
- rappeller la 1ère régle qd nécessaire et recadrer si besoin...
Mais ceux anti-«entre soi» (la non mixité), comprenez que qd un borné du type Stal Clair déboule plein de théories machistes sur un sujet sensible qui touche les femmes et réfute tt propos d'une concernée...
Fatiguance à force.
Déjà ça freine car il faut sans cesse refaire de la pédagogie de base pour convaincre / répliquer / déconstruire. Alors qu'entre personnes sensibilisés et concernées la réflexion irait plus vite, plus loin...
Du coup dans les milieux qui militent sur la thématique, c'est pertinent ( mm si je trouve qu'il faut tjrs garder un mini de non mixité pour ne pas rester en vase clos).
Sur PA, le sexisme est pas central, donc ???
Et à l'époque dans le Forum Femmes, les forumeurs masculin étaient corrects et sincèrement intéressés habituellement...
Mais dans toutes les configurations, il y a un pré-requis juridique et éthique qui me semble normal :
PAS DE PROPOS DISCRIMINATOIRE ou INJURE basée sur le GENRE, NATIONALITÉ, ORIGINE ETHNIQUE, ORIENTATION SEXUELLE, APPARENCE PHYSIQUE, HANDICAP, APPARTENANCE....
Donc le droit d'expression n'autorise pas les propos ni les actions sexistes, racistes, homophobes, ... Et tout le reste...
Déjà en reprenant systématiquement les propos discriminants, ça donne un cadre (qui devrait aller de soi, mais n'est pas encore intégré).
Et par ex, un propos sexiste c'est pas tjrs hyper flagrant, genre menace de viol.
Les affirmations / idées tt faites genre « les beurettes sont hyper chaudes» « une femme à du mal pr X métier émotionnellement, ya trop de tension» «les femmes veulent qu'on les désiré, donc inconsciemment elles fantasment presque toutes sur le viol, c'est Picsou Magasine qui le dit, j'invente rien...»
Certes ça semble pas hyper violent, mais ça reste qd mm un propos sexiste...
C'est tellement «banal» ce type de phrases, tellement intégré... on s'habitue, mm qd on est la «cible».
C'est à peine si on réfute... J'ai pas envie de débattre sans arrêt, à chaque propos illégal,j'avoue. C'est pourquoi, il ne faut pas attendre d'etre ciblé pour réagir et prévenir sur un propos discriminant.
Qd on dit de laisser la parole aux concernés en priorité, ça ne veut pas dire ne pas donner son avis sur le sujet (dans le respect) ou devenir sourd et aveugle aux propos condamnables.
Au contraire, si vous savez que ce n'est pas légal que c'est discriminant, DITES LE.
Sinon c'est cautionner indirectement et accorder un caractère banal à tt ça..
Sinon, pr vérifier :
une étude (ou thèse) seule, c'est pas suffisant, c'est plus des pistes.
Les résultats doivent être reproduits par d'autres équipes de chercheurs avant que ça soit validé scientifiquement...? Non?
C'est ce que j'ai tjrs compris en tt cas.
1er fois : Hypothèse + test
2 phase : Expériences (autres tests)
3ème phase : Conclusion en fonction des résultats (+ Analyse)
Je suis pas très «scientifique» mais le processus normal passe par là (dérogation spéciale pour les platistes, UFO adepte ou simplement macho à la surdité sélective...)
lenaalarechercheduparadis a écrit
On y rencontre une hérésie majeure, et le mot est faible, la théocratie, c'est-à-dire l’ingérence de la religion dans les affaires politiques (pas de séparation entre L’Église et l’État; plus exactement, on notera qu'il s'agit encore de personnes qui se serve
Euh.. mp ou commentaire public?
Quelle culture chez lena...
J adore tes joutes scripturaires...
rick a écrit
Hilde, j'avais proposé il y a quelques mois de faire un nouveau subforum où les hommes ne pourrai poster mais c'était pas ouf.
Ca aurait posé la question de la definition du genre...
Bootspoppers a écrit
rick a écrit
Hilde, j'avais proposé il y a quelques mois de faire un nouveau subforum où les hommes ne pourrai poster mais c'était pas ouf.
Ca aurait posé la question de la definition du genre...
Les zones de non-mixité (niveau militant) en général ça concerne des lieux d'échanges pour des personnes vivant une meme oppréssion / problématique.
je mets sous spoil car on part en HS façon Poupée russe...
Spoiler
marla singer a écrit
Les zones de non-mixité (niveau militant) en général ça concerne des lieux d'échanges pour des personnes vivant une meme oppréssion / problématique.
Exact. Bien vu.
C est en effet une dimension importante de la question. Merci de l avoir clarifié.
Mais ce n est pas la seule. Lutter contre le patriarcat c est à mon sens aussi développer le côté gender fluid de chaque personne.
Il a plusieurs dimensions à ce sujet...
marla singer a écrit
Mon intuition comme quoi l'opposition «clitoridienne » et «vaginale» c'est du bulldog, à été confortée en apprenant ça.
Je vais faire mon vieux vieille gender fluid ....
Je suis d accord avec toi. J irai même plus loin. Je crois qu'il y a mille orgasmes pour la femme et pour l homme. Pas deux....
A la fin tout notre corps est source d'orgasme.
Même sans clitoris sans vagin sans pénis l orgasme me semble possible.
(On est HS de compet...
Mais le sujet pasionne on dirait... )
Bootspoppers a écrit
marla singer a écrit
Les zones de non-mixité (niveau militant) en général ça concerne des lieux d'échanges pour des personnes vivant une meme oppréssion / problématique.
Exact. Bien vu.
C est en effet une dimension importante de la question. Merci de l avoir clarifié.
Mais ce n est pas la seule. Lutter contre le patriarcat c est à mon sens aussi développer le côté gender fluid de chaque personne.
Il a plusieurs dimensions à ce sujet...
Ben exemple en situation
Le patriarcat opprime principalement les femmes.
Donc laisser choisir quelles luttes sont pertinentes contre le sexisme à celles qui en sont victime... ça fait parti du postulat de base en tant qu'allié.
Mais tu donnais ton avis à titre perso ("c'est a mon sens"), c'est pas interdit non plus bien sur... Spoiler
( je repete : on subi le sexisme institutionnel selon le genre que la socièté perçoit, c'est donc plus une affaire d'apparence que de ressenti perso).
Sinon, la théorie évoquée je suis assez ok.
On a tous des hormones "male" (testosterone ) car plus élevée chez l'homme et "femelle" (oestrogènes par ex) qui seront plus élévés chez la femme.
Il y a des taux moyens pour se situer, mais chacun à son ratio avec des variations (puberté, vieillesse, grossesse...).
Moi par exemple j'ai un taux de testostérone plus élévé que la moyenne chez une femme de mon age. Spoiler
Rien que cet aspect physiologique (que chacun ait hormones M et F, chacun dans des proportions diff) me pousse a penser que tout n'est pas si manichéen et tranché.
En dehors des fonctions reproductives et de détils physiques, le genre est avant tout une construction sociale, on est sur la même ligne en gros, je crois....
Faire accepter à ceux qui ont les privilèges qu'on est tous gender-fluid pour mettre fin au sexisme, par contre, je vois pas ça comme une solution solide par contre...
Et surtt, dans et pour la société TU ES un représentant du patriarcat...
Donc c'est compliqué que tu t'exprimes comme femme sur le sexisme.
Tu as beau bien connaitre le sujet, etre de bonne volonté...
Mais accepter ses privilèges et ne pas reproduire les shémas dénoncés c'est hyper important pour redonner la parole et un statut aux silenciés
Hilde a écrit
Je ne dis pas que les hommes fantasment de violer (je n'en sais rien) si c'est ce que tu entends, mais que certains prennent pour acquis que les femmes ont envie d'être violées si tu veux.
Tu peux le dire, je pense d'ailleurs que le ratio doit être égal entre les sexes.
C'est un acquis. Des études le prouvent.
C'est maintenant que ça devient frustrant pour moi. J'ai déjà dit que vous ne voulez entendre que ce que vous avez envie d'entendre. Ce que tu dis là en est la preuve. Je n'ai jamais dis, JAMAIS, que parce que quelqu'un à un fantasme de viol il/elle souhaite violer ou être violé. Tu es malhonnête et tu te fous de moi depuis le début on dirait. C'est ce que tu veux que je dise, peu importe comment je le tourne, tu entendras toujours ça apparemment. Mais par curiosité, si tu peux trouver la phrase que j'ai pu dire qui te fais penser ça. Comme on ne peux pas prouver un négatif je pense que tu vas avoir du mal.
Je vous rappelle qu'on parle de porno et la violence que ça peut entraîner sur les sets a la base. Je vais le redire pour la millième fois. Ce qui importe n'est pas le fantasme en lui-même, mais ce qu'il implique sur l'imaginaire des concernés. S'il met en scène de la violence et de la domination/soumission alors la personne sera plus encline à rechercher des scènes qui vont montrer ces dynamiques, pour savoir ça pas besoin d'études, même si elles existent, il suffi de faire un peu d'introspection. Je rajouterai même, parce que visiblement on a du mal a me comprendre, que si une personne à des fantasmes mettant en scène ces dynamiques ne veut pas dire qu'elle souhaite consciemment que sa vie sexuelle soit sur le même pied. C'est tout l'intérêt du fantasme qui, comme j'ai dit plusieurs fois, n'a pas à être comparé à la réalité même si parfois ils peuvent interagir. Quand c'est le cas on entre dans le royaume du fétichisme et du kink. Le kink étant la pratique qui dévie de l'usuel. Par exemple le roleplay et ce genre de choses.
Le porno n'est pas du sexe, c'est du voyeurisme. C'est aussi un kink car je pense que peu de personnes qui en regardent sont ou deviennent des voyeurs. Quand on est spectateur on est détaché de l'action et on peut se permettre de voir tout et n'importe quoi. Quand on regarde donc, on ne réalise pas le fantasme, on l'entretient. Et c'est valable pour tout, et spécialement la violence.
Donc, la violence est quelque chose qu'on va retrouver souvent dans l'industrie et les personnes sont consentantes et généralement bien compensées pour ce genre de performances.
Je vais me retenir de rebondir sur la suite même si j'ai beaucoup de choses à dire. Amusez vous bien.
Bootspoppers a écrit
lenaalarechercheduparadis a écrit
On y rencontre une hérésie majeure, et le mot est faible, la théocratie, c'est-à-dire l’ingérence de la religion dans les affaires politiques (pas de séparation entre L’Église et l’État; plus exactement, on notera qu'il s'agit encore de personnes qui se serve
Euh.. mp ou commentaire public?
Quelle culture chez lena...
J'adore tes joutes scripturaires...
Il est plus sage de parler politique et religion par MP, ces sujets étant trop sensibles.
Je nuancerai juste mes propos en rectifiant ainsi : il s'agit d'un état d'esprit, d'une attitude théocratique, le désir ou la nostalgie d'une société normée par la religion.
Anonyme 218797 a écrit
La recherche ne s'intéresse pas équitablement aux homme et aux femmes tout court, de base.
--> Rien que dans les tests humains de médicaments, sont principalement réalisés sur des échantillons mâles...
Ce qui rend plein d'effets secondaires spécifiques aux femmes invisibles ! (Et on corrige les notices ensuite... c'est trop d'honneur, dis donc. )
--> Donc en matière de «plaisir» / épanouissement sexuel... c'est un peu le moyen âge... (la grossesse est un plaisir suffisant, ne soyons pas ingrates non plus... )
(...)
Bon et je me lance même pas sur la contraception interne / hormonale que l'on réserve SCIEMMENT aux femmes.
Je plussoie. Lors de ma transition, je me suis intéressée de près à l'endocrinologie et au rôle des hormones masculines et féminines. Plus tard, j'ai eu la curiosité de faire des recherches sur la lactation érotique induite Spoiler .
Deux constats. D'une part, on réalise vite que les connaissances en matière d'endocrinologie sont extrêmement vagues (à titre d'exemple, rôle de la progestérone chez la femme, chez l'homme, chez la trans MTF ??), on n'y comprend pas grand chose, en fait, on a juste que des grandes pistes. D'autre part, et ça j'ai pu le vérifier en toute objectivité, l'allaitement des femmes, et bien euh... rien à foutre ! On trouve bien plus d'informations dans la littérature vétérinaire (production laitière des vaches, désolée pour ce parallèle) que dans la littérature médicale concernant les femmes !! Normal, il y a un enjeu financier de taille. La filière laitière, moteur de l'économie française, c'est tout de même autrement plus important que les mamans qui souhaiteraient par choix donner leurs tétines à leurs moutards afin de les nourrir, pratique jugée rétrograde, j'en passe et des meilleurs...
Donc oui, je plussoie, et je serais encore plus indignée si j'étais une femme "biologique" : les nanas, leurs humeurs, le va-et-vient de leurs taux d'hormones, en définitive, on s'en branle pas mal (les choses commencent toutefois à évoluer, mais il serait temps, non ?).
Pierre Desproges a écrit
Femme n. f., du latin femina. Être humain de sexe non masculin.
« La femme est le produit d’un os surnuméraire », disait Bossuet qu’on ne saurait taxer de misogynie eu égard à l’exquise compréhension qu’il afficha toute sa vie à l’endroit de la gent féminine, huguenotes et catins exceptées.
Cette définition toute nimbée de délicatesse semble aujourd’hui quelque peu restrictive. La femme, à y regarder de plus près, est beaucoup plus qu’une excroissance osseuse. La femme est une substance matérielle organique composée de nombreux sels minéraux et autres produits chimiques parés de noms gréco-latins comme l’hydrogène ou le gaz carbonique, qu’on retrouve également chez l’Homme, mais dans des proportions qui forcent le respect.
Diversement amalgamés entre eux en d’étranges réseaux cellulaires dont la palpable réalité nous fait appréhender l’existence de Dieu, ces tissus du corps féminin forment les viscères. Certains sont le siège de l’amour.
La femme est assez proche de l’Homme, comme l’épagneul breton. À ce détail près qu’il ne manque à l’épagneul breton que la parole, alors qu’il ne manque à la femme que de se taire. Par ailleurs, la robe de l’épagneul breton est rouge feu et il lui en suffit d’une.
Dépourvue d’âme, la femme est dans l’incapacité de s’élever vers Dieu. En revanche, elle est en général pourvue d’un escabeau qui lui permet de s’élever vers le plafond pour faire les carreaux. C’est tout ce qu’on lui demande.
La femme ne peut se reproduire seule, elle a besoin du secours de l’Homme, lequel, parfois, n’hésite pas à prendre sur ses heures de sommeil pour la féconder. Des observateurs attentifs affirment que la femme prend un vif plaisir dans cette satisfaction de sa viviparité.
La gestation, chez la femme, dure deux cent soixante-dix jours, au cours desquels elle s’empiffre, s’enlaidit, gémit vaguement, tout en contribuant à faire grimper les courbes de l’absentéisme dans l’entreprise.
Au bout de ces neuf mois, le petit d’Homme vient au monde. L’accouchement est douloureux. Heureusement, la femme tient la main de l’Homme. Ainsi, il souffre moins.
Addendum : au fait, l'homme est un sous-produit de la femme, pas l'inverse !
Anonyme813 a écrit
Il est plus sage de parler politique et religion par MP, ces sujets étant trop sensibles
Lena tu es un paradoxe vivant
:)
Anonyme813 a écrit
Je n'ai jamais dis, JAMAIS, que parce que quelqu'un à un fantasme de viol il/elle souhaite violer ou être violé. Tu es malhonnête et tu te fous de moi depuis le début on dirait. C'est ce que tu veux que je dise, peu importe comment je le tourne, tu entendras toujours ça apparemment. Mais par curiosité, si tu peux trouver la phrase que j'ai pu dire qui te fais penser ça. Comme on ne peux pas prouver un négatif je pense que tu vas avoir du mal.
Est-ce que j'ai dit que tu disais que quelqu'un ayant un fantasme de viol souhaitait être violé?
Anonyme813 a écrit
Le porno n'est pas du sexe, c'est du voyeurisme. C'est aussi un kink car je pense que peu de personnes qui en regardent sont ou deviennent des voyeurs. Quand on est spectateur on est détaché de l'action et on peut se permettre de voir tout et n'importe quoi. Quand on regarde donc, on ne réalise pas le fantasme, on l'entretient. Et c'est valable pour tout, et spécialement la violence.
Donc, la violence est quelque chose qu'on va retrouver souvent dans l'industrie et les personnes sont consentantes et généralement bien compensées pour ce genre de performances.
Consommation de porno = voyeurisme, Ok.
J'ai plus de mal avec la suite et je préfèrerais que tu élabores davantage, surtout sur ce que tu entends par "se permettre".
Quand on est spectateur on n'est pas totalement détaché de l'action, sinon cela n'aurait aucun intérêt de regarder! Le spectacle est à l'origine de stimuli qui peuvent susciter toute une panoplie d'émotions, positives ou négatives. Indépendamment de l'aspect licite ou non de ce que l'on regarde, non, on ne peut pas se permettre sans risque de voir tout et n'importe quoi, même lorsqu'il ne s'agit que de fiction, encore moins lorsqu'on n'est pas totalement dénué d'empathie.
Sinon pourquoi discuterait-on des conséquences de la consommation abusive de porno sur les (parfois très) jeunes?
Par ailleurs, si je puis me permettre, il n'est pas nécessaire de croire au consentement absolument non vicié des acteurs, quel que soit leur niveau de compensation financière, pour rejeter la prohibition.
Les argument RdR contre la prohibition sont suffisants, sans avoir besoin de supposer que puisque les acteurs sont consentants sur le papier, toute violence exercée à leur encontre est consentie et légitime.
Sur ce point-là précisément on risque de ne pas parvenir à se mettre d'accord.
Du coup si tu as cette possibilité en tête d'une part, que la violence qui s'exprime sur l'écran n'est pas totalement fictive, et qu'en plus tu n'es pas totalement insensible en tant que spectateur à ce que tu regardes, si tu en redemandes, d'une certaine façon tu es complice (de ce qui s'est passé devant la caméra).
linec13 a écrit
Les fantasmes n'ont pas vocation à être réalisés, pour moi en tout cas.
J'ai souvent lu/entendu la même chose :)
En gros on aurait détourné y a déjà bien longtemps le sens du fantasme sexuel, avec des phrases genre "whoaw l'actrice du film machin elle me fait fantasmer" etc.
Bref j'ai la flemme de chercher (j'ai check qqes lien et ca va un peu dans ce sens) mais j'ai très souvent lu/entendu que normalement (surtout dans sa définition plus psychologique) il n'est pas vraiment voué à être réalisé. Et au contraire les réaliser (la c'est purement psycho) aurait des effets négatifs sur sa sexualité (c'est ce qui se dit hein et dans le milieu psy)
Après pour une autre raison qu'est le tabou voir l'interdiction, certains sont voué à ne jamais être réalisé.
Bref Linec13 tu es pas clairement pas seul a penser ainsi :)
LLoigor a écrit
linec13 a écrit
Les fantasmes n'ont pas vocation à être réalisés, pour moi en tout cas.
J'ai souvent lu/entendu la même chose :)
En gros on aurait détourné y a déjà bien longtemps le sens du fantasme sexuel, avec des phrases genre "whoaw l'actrice du film machin elle me fait fantasmer" etc.
Bref j'ai la flemme de chercher (j'ai check qqes lien et ca va un peu dans ce sens) mais j'ai très souvent lu/entendu que normalement (surtout dans sa définition plus psychologique) il n'est pas vraiment voué à être réalisé. Et au contraire les réaliser (la c'est purement psycho) aurait des effets négatifs sur sa sexualité (c'est ce qui se dit hein et dans le milieu psy)
Après pour une autre raison qu'est le tabou voir l'interdiction, certains sont voué à ne jamais être réalisé.
Bref Linec13 tu es pas clairement pas seul a penser ainsi :)
Alors là, grande question que je me pose aussi. On pourrait presque ouvrir un sujet uniquement là-dessus.
Je me pose la question, car, comme j'ai pu déjà en parler (surtout par MP) avec certain(e)s d'entre vous, la 3-mmc m'inspire de nombreux fantasmes bizarres, extrêmes, et fréquemment destructeurs (sadomasochisme). Aujourd'hui, je préfère rester seule, chez moi, et éviter de faire n'importe quoi avec n'importe qui. Toutefois, certains fantasmes continuent à me hanter, ils s'éloignent, reviennent avec plus de force, s’atténuent à nouveau.
Parfois, je pense que réaliser un fantasme permet de constater que ce n'est pas aussi génial que ce qu'on avait imaginé. Le fantasme peut alors disparaître de lui-même.
D'autres fois, je me demande si il ne faut pas simplement observer ces fantasmes comme de doux rêves, en ne cherchant absolument pas à les concrétiser. Ou bien en se contentant des images trouvées sur internet...
Question non résolue. Ou partiellement.
Vivel a écrit
Moi je n'ai qu'une chose à dire: Vive le cul ! (et l'amour aussi)
Le cul (et l'amour), c'est fédérateur.
Anonyme813 a écrit
Le cul (et l'amour), c'est fédérateur.
eau-dela a écrit
De haut de ses 19 ans l an dernier Eau-delà disait sur PA: "Les choses rapprochent. Lart. La poésie. La drogue".
Anonyme813 a écrit
Elle avait bien éprouvé quelques douleurs lors des premières pénétrations, mais cela s’était dissipé avec le temps...
Raaahhh...
Ben entre les tabous et les idées matelées (le premier rapport est douloureux pour la femme, les règles douloureuses, tel acte gyneco...).
On le répète comme des vérité absolues, c'est normal, c'est ça d'être femme (tu enfanteras dans la douleur et tt le tralala... Merci Eve!).
Mais un premier rapport vaginal peut être cool.
Et ya douloureux et douloureux aussi, faut dire les choses expliquer les causes...
Spoiler
Si on commençait par : lubrification = clé majeure. Naturelle ou ajoutée, c'est pr moi indispensable pour garantir un rapport non douloureux ou désagréable..!
Surtt pr une première fois, ou se cumulent : inexpérience, nervosité (& donc svnt JF pas détendue, dont la où il faudrait, la zone peut être crispée, contractée. Qd c'est le cas INUTILE de chercher À PENETRER, même si la partenaire est ok, ou le réclame. Ca risque surtout d'être super douloureux, surtout si ya pa eu du lubrifiant en masse pour
Parce que souvent on insiste sur «les préliminaires», mais :
- sans détailler, donner des exemples concrets
- sans prendre en compte que dans ces moments on est sont jeune, pas très à l'aise avec son corps, on découvre l'autre... C'est pas des conditions où ça vient naturellement, en fluidité.
Au début, on tâtonne on sait pas bien ce qu'on doit ressentir, qd on est suffisamment excité, un peu, ou pas du tout. C'est le début d'un apprentissage (de soi, son corps, ses plaisirs..).
Il faut aussi anticiper / prévenir les situations fréquentes qui posent question / problème. (Ex
- probable que l'étape pose de capote bloque l'érection ou rende nerveux. Certains peuvent par ex culpabiliser / moquer si une fille insiste pour la capote.
- Combiner préso + contraceptif interne dès qu'il y a des rapports «réguliers».
- On es fertile même sans règles / signe visible de fécondité.
- On peut tomber enceinte au premier rapport.
- On peut tomber enceinte en pratiquant le «retrait» (éjaculer hors du vagin, mais le liquide séminal - petites gouttes plus transparentes que du sperme, liquide sécrété au cours du rapport donc bien avant l'ejaculation).
Autres méthodes «de contraception» inefficaces :
- prise et suivi température (les phases ovulation peuvent être indiquées par une température plus haute, de mémoire... Mais trop de facteurs peuvent modifier la température aussi, donc trop imprécis)
Anonyme813 a écrit
Hilde c'est du nanars quoi, même les acteurs sont mort de rire..
Merci de la petite présentation d'Efukt. Je n'avais regardé que la vidéo youtube que tu avais mise en lien.
Spoiler
Sérieusement, je ne doute pas que quiconque s'intéresse au sujet n'ait pas le temps de lire tous les travaux en rapport, tellement ils doivent être nombreux.
A mon avis l'intérêt de ce billet et des commentaires qui suivent, c'est moins l'exposé d'informations de fond, que le témoignage de nos méconnaissances et de la diversité de nos réactions ...
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