Bon alors aujourd'hui j'ai envie d'écrire un peu. (perché il est vrai, mais quelle importance ?)
Je viens de regarder le webdoc sur la
came, et sans être capable de donner d'argument judicieux, ça me paraÎt bien.
Alors si j'en reviens au mois sans
tabac dont je pourrais faire un mois sans fume, j'ai déjà moins envie, enfin peut-être que si, au moins quinze jours, mais ça ne m'empêcherait pas de vaporiser, ce serait même l'occasion de s'y mettre vraiment. (sauf qu'il faudrait que j'en commande, et vite !)
Surtout que j'ai récemment lu Mister-No ou Syam, qui disait qu'il fallait faire son deuil de la claque due au
tabac quand on vaporise de la
beuh, surtout si elle n'est pas très grasse, ce qui est le cas de celle que je fume puisqu'elle est toute émiettée et sèche pour faire de tout petits stickotins, comme je les fume habituellement.
Donc dès demain, plus de
tabac. (Enfin BOF... À voir quand même quand il n'y aura plus rien...)
[.../...] (et un petit fumage plus tard)
Bon ben c'est dans pas longtemps, qu' "il n'y aura plus rien", parce que je viens de rallumer celui que j'avais entamé puis éteint avant d'écrire ici.
Et je suis d'ailleurs épaté et étonné de l'effet proprement dévastateur des minuscules quantités de
beuh que je fume. Je me demande si la réceptivité que l'on présente à tel ou tel produit n'évolue pas avec l'appétance psychologique de ce qu'on en attend.
(enfin moi je suis presque cassé d'avance quand je sais que je vais fumer incessamment)
Quand j'étais ado' ou un peu plus, il me fallait une tonne de l'un des cinq ou six produits que j'ai jamais touché, alors que j'en consommais un ou deux chaque semaine (beuh ou
shit selon l'arrivage + un truc "dur")
Maintenant que je n'ai plus que de la
beuh, 30 ou 35 ans plus tard il est vrai, je me retrouve émietté en mille morceaux dès que je tire quatre ou six taffes sur mon stickotin qui a déjà servi pareillement une à deux ou quatre fois.
Mais il y a dedans du
tabac qui est censé faire synergie avec la
beuh; alors est-ce que au vapo, donc sans
tabac ni synergisation ["synergie", ça suffit mais ça fait penser au syndicat de flics dont y'a des bons et des méchants cons]... donc, dès qu'il n'y a plus de
tabac, c'est trop mou.
Est-ce que ce serait pour ça que j'en ai fumé pur, du
tabac, entre autres, pendant dix à quinze ans ?
Et est-ce que ce serait "bien" que je me fasse le mois sans
tabac.
Est-ce que ça ferait de moi un modèle pour l'humanité ? [-Pourquoi pas ?]
Par exemple, pourquoi presque toujours vouloir prévoir alors que l'imprévu est souvent voire toujours bien ou super ? [questionnement de modèle]
Bon bin c'est carrément paposs', le mois sans
tabac ni fume. (hétoc)
Parce que c'est trop bon ! Et je viens de tester alors ne me racontez pas de bobards.
Par exemple dehors au soleil, avec une chemisette sans col et un pull-over en laine moyennement fin, YOUPLABOUM +++ (+ la perche il est vrai, hébin ça va !)
Une fois de temps en temps, y'a des fois on est super-bien perché.
Mais comment ne pas vouloir essayer de le reproduire tous les soirs ?
Il faudrait se réfréner ? (-meuhnon)
Plein de bisous,
portez-vous bien,
David