plus de psy 

Bonjour,
YOUPI; alors comme le dit le titre de ce billet, j'ai décidé hier et je le lui ai dit, que je n'irai plus chez le psy. Il m'a semblé un peu déçu, mais est-ce que je ne lui attibuerais pas un tel altruisme qu'il serait contrarié de me voir arrêter le "soin" avec lui, alors qu'il s'apercevrait que mon état mental est en train de s'améliorer (!), ou alors n'est-ce qu'une vision personnelle qui me ferait regretter d'arrêter un tel "soin" avant sa fin.
J'ai mis des guillemets autour de soin, parce que je ne m'estime pas si tant à  soigner que ça; et je parle de la fin de ce soin, ce que j'estime soit absurde, soit impossible ou illusoire, voire inapplicable, car à  mon avis tant qu'on n'a pas de pathologie mentale avérée, on peut toujours pinailler à  essayer d'être ou de se sentir un peu mieux, ou un peu moins mal, mais ce n'est pas vraiment du soin s'il n'y a pas vraiment non plus de maladie. Évidemment que ça existe, la maladie mentale, et évidemment aussi que je n'en suis pas atteint, nammého !
Enfin moi je ne me sens pas malade. Ce sont les réactions de mon épouse chérie d'amour, que tetris trouve d'ailleurs parfois légèrement gonflées (salut Tetris), qui m'ont poussé à  y aller; puisqu'en arrivant, j'avais dit à  la secrétaire qui m'a accueilli que j'avais un problème avec mon épouse et la beuh. Il se trouve que désormais nous parvenons à  évoquer la beuh, ou la conso de beuh, et même éventuellement la mienne d'ailleurs, sans que ça ne recouvre notre échange du moment d'une chape de plomb définitive. Donc mon épouse chérie d'amour est guérie, grâce à  mon assiduité chez le psy; c'est de la télé-thérapie, je vais breveter ça et m'enrichir à  mort ! (pour acheter plus de beuh- sauf que je n'en ai pas besoin ni même envie)
Portez vous bien,
David