un petit article 

Bonjour,
bon... Bin aujourd'hui c'est la misère complète niveau taf', rien à  faire, zéro, nada.

Bon, j'ai bien bidouillé deux-trois petites bricoles depuis ce matin, mais ce ne sont jamais que des astuces pour me faciliter la vie quand j'aurai du boulot pour de vrai, je ne sais absolument pas quand d'ailleurs, et je les aurai très probablement oubliées d'ici-là  quand j'en aurai réellement besoin (de ces bricoles) parce que je n'aurai pas eu l'occasion de les utiliser concrètement entre temps.
  Donc bilan "Z...", "Zé...", Zéro-Nul !

Alors maintenant un peu plus sérieux comme sujet : ce que je vais dire au psy cet aprèm' :
-Je me suis déja dit il y a quelques temps que je lui dirais qu'à  une occasion où mon épouse adorée m'avait enguirlandé sans me mettre de guirlande autour du cou, elle a parlé "d'un psy qui ne faisait pas son boulot" !
Parce qu'elle doit s'imaginer que PIF je vais chez le psy, et PAF je ne fume plus. (AH, AH, AH, quelle drôlerie)
Il m'en faut malheureusement pour elle un peu pluss, surtout que je ne m'estime pas malade, et que j'estime donc que ma conso' de beuh est tout-à -fait raisonnable, et qu'il n'y a absolument aucun besoin de la réduire.
Il y a bien un petit danger physique toutefois, le même que de fumer une demi-cigarette de tabac par jour; donc si j'allais faire un jogging, j'encourerais peut-être plus de risque de me faire renverser par un conducteur attardé qui fonce à  la maison pour rentrer retrouver bobonne, et si j'allais à  la piscine pour nager, je risquerais me noyer ou d'attrapper une pneumonie; c'est pas juste, je mêne une vie beaucoup trop risquée pour me priver de fume.
Il y a bien un petit danger psychologique, peut-être qu'elle, elle le voit, mais moi plus je cherche, moins je trouve, et d'autant moins en venant exprimer ici la pourtant peu dévastatrice philosophie qui me baigne l'esprit.
Là  où il y a un danger, il faut bien l'avouer, c'est lors de phases d'exagération involontaire qui pourraient s'attaquer à  moi juste après que j'aie confectionné un gros paquet de cinq stickotins d'une demi-clope. Alors là , BOUM si j'ai le malheur de tout fumer d'un coup, je dors...

-Et il faut bien reconnaÎtre que le psy, je n'avais décidé d'y aller que comme une "parade" pour tenter de supporter mieux la réaction de mon épouse chérie d'amour à  mon fumage peut-être parfois trop invasif, je le reconnais quand même; mais après il faut se mettre dak' sur ce que l'on appelle "invasif", et comme elle refuse presque tout dialogue, ça n'avance pas vite.

Alors pour d'taleur, "invasif" chez le psy "qui ne fait pas son taf'"...
Portez vous bien,
David