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Bonjour tout le monde, connaissant le site depuis pas mal de temps j'ai enfin eu l'envie de vous partager mon expérience par rapport au neuroleptique qu'est l'Olanzapine, je vais tout d'abord expliquer comment j'en suis arrivé à prendre ce médicament et par la suite j'expliquerai comment vivre ses consommations par rapport à l'effet qu'a cette substance. C'est un médicament que je connais très bien, autant au niveau des effets que de sa composition chimique. Je suis fan de kétamine, de benzodiazépines et de RC.
J'ai commencé à prendre des drogues vers 18 ans, des champignons, de la kétamine, des tazs... Avant je ne me rendais pas compte de ce que je prenais, mais ça a changé bien vite. Après, et toujours maintenant, je vais en teuf, et j'y allais souvent pour me droguer, j'aimais ça. Par la suite j'ai été dans l'objectif de tester le plus de trucs possible, et c'est ce que j'ai fait. Je suis sûr que je ne suis pas le seul dans ce cas là , c'est pour ça que je ne vais pas être exhaustif mais je dois en être à plus de 50 produits différents. Et je n'en suis plus vraiment fier, mais le passé est ce qu'il est.
J'ai passé plus d'un an à essayer de comprendre toute la chimie des drogues, comment elles fonctionnent et bien plus. Je suis assez rodé maintenant, c'est pour ça que je partage ce que j'ai appris et surtout avec l'Olanzapine, dont je vais bientôt parler.
La chute c'était vraiment quand j'ai découvert l'IV (de MD, de coke, d'héro) et les IM de kétamine (mon produit favori). J'ai été dans l'excès et vraiment trop, au point de perdre quelques amis et de ruiner mes études supérieures dans l'informatique. Mais je ne suis pas là pour me lamenter.
Comment j'ai commencé à prendre de l'Olanzapine ? J'ai été en hôpital psychiatrique pendant quelques temps. Apparemment j'avais des discours délirants sur les molécules et l'âme humaine, être un psychonaute n'est pas toujours bien vu des gens "normaux". Pendant mon traitement j'avais du Valium 10mg trois fois par jour et l'Olanzapine 7,5mg le soir (c'est un dosage moyen). Je suis toujours sous Olanzapine tous les jours. Avant de traiter en détail de la substance, je peux vous dire que ça vous change vraiment profondément et que c'est très troublant.
A propos de l'Olanzapine (Zyprexa) :
Demi-vie : environ 37h, et reste dans l'organisme des semaines après un traitement quotidien.
C'est un antipsychotique atypique, c'est à dire que cette molécule est destinée à contrer les troubles schizophréniques et maniaco-dépressifs, on verra pourquoi tout à l'heure.
L'Olanzapine est une thiénobenzodiazépine (contenant un noyau diazépine lié à un noyau thiophène et un noyau benzénique), autrement dit une benzodiazépine auquelle on a rajouté le composé hétérocyclique aromatique qu'est le Thiophène, avec un méthyle ajouté à la position 2.
Elle a une action sur quasiment tout ce qui implique le fonctionnement des drogues (et ouais dommage), c'est-à -dire qu'elle réduit les concentrations en dopamine, en sérotonine, en noradrénaline et bien d'autres... Elle également des effets antagonistes voire inverse agoniste (plus fort qu'antagoniste) sur bon nombre de récepteurs à sérotonine (les 5-HTx), ceux à dopamine, ceux à histamine, ceux à acetylcholine et j'en passe. Retenez bien qu'elle agit sur les récepteurs à sérotonine, c'est important.
En gros elle fait barrière à bon nombre de choses.
Les effets du sevrage (je ne conseille pas d'arrêter votre traitement pour consommer même si vous pouvez, car vous en avez sûrement besoin) :
J'ai tenté d'arrêter mon traitement pendant presque 2 semaines pour prendre du 5-MAPB, mais à force j'ai constaté que j'avais des tremblements, des insomnies et aussi mon appétit qui a été réduit avec des maux de ventre assez désagréables.
Les effets :
Physiques : mydriase, somnolence, impuissance, chaleur, appétit grandit (c'est cool ça)
Psychiques : sensation de vide, difficulté à s'amuser (s'explique par l'abaissement des niveaux de neurotransmetteurs), lenteur de pensée, et paradoxalement paranoïa
Et maintenant quelles drogues peut-on prendre avec ce médicament ? (j'ai essayé pour vous, je vous conseille de ne pas le faire)
Alcool/Solvants (Ethanol, Ether, Acétone) : donne une ivresse plus forte, attention car vous pouvez souffrir de dépression respiratoire, donc attention à la dose !
Tryptamines (LSD-25, 1P-LSD, ETH-LAD, 4-HO-DMT, DMT, 4-ACO-DMT, etc) : vous pouvez oublier, ça n'aura strictement aucun effet sur vous, l'Olanzapine bloque complétement les récepteurs 5-HT2a et 5-HT2c, donc pas la peine d'essayer, ne soyez pas aussi déçu que moi :)
Phényléthylamines ([Meth]amphétamine, MDxx, DOx, 2C-x, Mescaline, 5-MAPB, 4-FA) : une mauvaise idée en gros, pour les stimulants à dopamine, il y a un effet mais réduit, et la descente est très dure vu que c'est l'effet inverse de l'olanzapine. Et si, comme la MDMA par exemple, qui a un effet psychédélique sur les récepteurs 5-HT, vous aurez une défonce assez bizarre, avec la sensation qu'il manque quelque chose.
Arylcyclohexylamines (Ketamine, Methoxétamine, PCP, Trifluorométhyldeschlorokétamine) : L'olanzapine n'a pas d'effet sur les rrécepteurs NMDA, donc ça marche ! En tout cas pour la kétamine, qui n'a pas d'action sur les neurotransmetteurs contrairement à la MXE et à la PCP, pour ceux là il manquera une partie du plaisir.
Pipérazines (BZP, mCPP, TFMPP) : étant des stimulants à dopamine principalement, à éviter.
Phénylmorpholines (3-FluoroPhenmetrazine) : comme pour les pipérazines.
Cannabis : fonctionne plutôt bien, mais il faut doser plus que d'habitude.
Opiacés (Morphine, Héroïne, Fentanyl, Tramadol, Codéine) : le récepteur k-opioide n'est pas bloqué par l'Olanzapine donc ça marche, mais j'ai quand même constaté une résistance. Attention toutefois aux dépressions respiratoires, l'Olanzapine est un sédatif également.
Cocaïne : à moins d'y aller sur la dose, peu d'effet sont ressentis, comme dit plus haut à cause de la dopamine.
Salvia : le récepteur µ-opioide n'est pas non plus bloqué, cela fonctionne donc.
Benzodiazépines (Diazépam, Tétrazépam, Alprazolam, Bromazépam, etc) : aucun problème !
Les RC :
ce que vous devez éviter : les cathinones (3-MMC, Pentedrone), les phénidates (EPH, MPH, 3,4-CTMP), la Methiopropamine, les dérivés de pyrovalérone (MDPV, a-PVP), la MDAI, les NBOMe, etc
ce qui marche : les phénidines (seulement ceux avec action sur les récepteurs NMDA)
A vous de me dire si vous connaissez les effets sur les autres drogues, je n'ai pas pu tester et/ou je n'ai pas la connaissance.
Je n'incite pas à la consommation, je signale juste mon expérience.
Voilà c'est tout, si jamais vous avez d'autres informations ou si j'ai oublié des choses, soyez libre de me le dire ! Je répondrai aux commentaires également.
Merci !
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Psychiques : sensation de vide, difficulté à s'amuser (s'explique par l'abaissement des niveaux de neurotransmetteurs), lenteur de pensée, et paradoxalement paranoïa
J'aimerais détailler ses effets un par un et avoir éventuellement ton avis / ressenti.
Tout d'abord le contexte :
c'est ma maman qui prend du Zyprexa, elle aura bientôt 60 ans et a été interné 2 mois en HP en début d'année. A ce moment, elle était en période de deuil suite à la mort de mon père fin 2014 il y a 1,5 ans.
Elle avait des discours délirants. Elle a été diagnostiquée bipolaire avec troubles paranoïaques. Ça faisait bien longtemps que ça n'allait pas et pourtant elle a toujours refusé de se soigner et d'admettre qu'elle avait besoin d'aide et n'a donc été diagnostiquée que tardivement.
Pour en revenir au traitement, certes elle n'entend plus les voisins la harceler (c'était son trip) mais ya plus une once de vie, d'âme en elle, ça me fait mal de la voir comme ça.
C'est un traitement qui peut-être pris à vie ? A ta connaissance ya-il moyen de switcher sur une molécule moins agressive pour les neurotransmetteurs ?
Pour les effets, la sensation de vide a également été décrite par un autre membre du forum qui a eu ce traitement à un moment de sa vie.
difficulté à s'amuser : Ma mère n'a plus envie de rien, plus de promenades, plus de conversations, ma fille arrive à lui arracher un sourire mais c'est rare et timide.
Cela rejoint les autres effets lenteurs de pensée, ça me fait presque penser à un état végétatif. Pas d'affect, pas de pensées, ni de désir.
Il y a 2 effets qui m'intéressent plus particulièrement et sur lesquels je m'interroge :
La paranoïa : comme toutes molécules, chaque individu ressent les effets différemment, j'ai pas l'impression qu'elle soit parano mais du coup je me pose des questions, c'est moi qui a signé l'internement, je ressens de la culpabilité par rapport à cela et me demande si elle a encore confiance en moi et n'a pas peur d'un retour en HP (j'ai beau lui expliquer que jamais je ne lui referai cela , à mon avis elle pense tout autre au fond d'elle même)
L'appétit (et par extension la prise de poids) : ma mère a beaucoup maigrie. Tu est pourtant la 2ème membre du forum a évoqué cela, à savoir l'Olanzapine donne de l'appétit).
Par ailleurs, elle a une injection mensuelle l'halopéridol (=haldol), dans quelle mesure les 2 molécules interagissent entre elles... si t'as des infos. :)
Enfin, peut-être la question la plus importante et qui rejoint ton post, l’interaction avec l'alcool ? Elle s'est mise à boire du whisky tous les jours. Elle boit pas toute la journée, j'ai eu l'occasion de m'en apercevoir mais boit quand même plusieurs verres à l'heure de l'apéro me semble-t-il (je n'ai pas encore idée de la quantité consommée).
En tous cas, merci pour ce post.
Il m'aide à mieux comprendre ce qui se passe sans juger (du moins je fais mon possible) et peut-être l'aider.
Amicalement,
Nrock
Dernière modification par 'Nrockandrolls (22 juillet 2016 à 13:00)
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'Nrockandrolls a écrit
Enfin, peut-être la question la plus importante et qui rejoint ton post, l’interaction avec l'alcool ? Elle s'est mise à boire du whisky tous les jours. Elle boit pas toute la journée, j'ai eu l'occasion de m'en apercevoir mais boit quand même plusieurs verres à l'heure de l'apéro me semble-t-il (je n'ai pas encore idée de la quantité consommée).
Oui c'est un sujet que je n'ai pas abordé, l'Olanzapine est un sédatif, donc mélangé avec un depresseur comme l'alcool potentialise les effets sédatifs. J'ai moi même remarqué qu'après avoir pris le médicament et avoir bu (même très peu), je ressens l'ivresse venir bien plus vite.
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HailDoge a écrit
Bonjour tout le monde, connaissant le site depuis pas mal de temps j'ai enfin eu l'envie de vous partager mon expérience par rapport au neuroleptique qu'est l'Olanzapine, je vais tout d'abord expliquer comment j'en suis arrivé à prendre ce médicament et par la suite j'expliquerai comment vivre ses consommations par rapport à l'effet qu'a cette substance. C'est un médicament que je connais très bien, autant au niveau des effets que de sa composition chimique. Je suis fan de kétamine, de benzodiazépines et de RC.
J'ai commencé à prendre des drogues vers 18 ans, des champignons, de la kétamine, des tazs... Avant je ne me rendais pas compte de ce que je prenais, mais ça a changé bien vite. Après, et toujours maintenant, je vais en teuf, et j'y allais souvent pour me droguer, j'aimais ça. Par la suite j'ai été dans l'objectif de tester le plus de trucs possible, et c'est ce que j'ai fait. Je suis sûr que je ne suis pas le seul dans ce cas là , c'est pour ça que je ne vais pas être exhaustif mais je dois en être à plus de 50 produits différents. Et je n'en suis plus vraiment fier, mais le passé est ce qu'il est.
J'ai passé plus d'un an à essayer de comprendre toute la chimie des drogues, comment elles fonctionnent et bien plus. Je suis assez rodé maintenant, c'est pour ça que je partage ce que j'ai appris et surtout avec l'Olanzapine, dont je vais bientôt parler.
La chute c'était vraiment quand j'ai découvert l'IV (de MD, de coke, d'héro) et les IM de kétamine (mon produit favori). J'ai été dans l'excès et vraiment trop, au point de perdre quelques amis et de ruiner mes études supérieures dans l'informatique. Mais je ne suis pas là pour me lamenter.
Comment j'ai commencé à prendre de l'Olanzapine ? J'ai été en hôpital psychiatrique pendant quelques temps. Apparemment j'avais des discours délirants sur les molécules et l'âme humaine, être un psychonaute n'est pas toujours bien vu des gens "normaux". Pendant mon traitement j'avais du Valium 10mg trois fois par jour et l'Olanzapine 7,5mg le soir (c'est un dosage moyen). Je suis toujours sous Olanzapine tous les jours. Avant de traiter en détail de la substance, je peux vous dire que ça vous change vraiment profondément et que c'est très troublant.
A propos de l'Olanzapine (Zyprexa) :
Demi-vie : environ 37h, et reste dans l'organisme des semaines après un traitement quotidien.
C'est un antipsychotique atypique, c'est à dire que cette molécule est destinée à contrer les troubles schizophréniques et maniaco-dépressifs, on verra pourquoi tout à l'heure.
L'Olanzapine est une thiénobenzodiazépine (contenant un noyau diazépine lié à un noyau thiophène et un noyau benzénique), autrement dit une benzodiazépine auquelle on a rajouté le composé hétérocyclique aromatique qu'est le Thiophène, avec un méthyle ajouté à la position 2.
Elle a une action sur quasiment tout ce qui implique le fonctionnement des drogues (et ouais dommage), c'est-à -dire qu'elle réduit les concentrations en dopamine, en sérotonine, en noradrénaline et bien d'autres... Elle également des effets antagonistes voire inverse agoniste (plus fort qu'antagoniste) sur bon nombre de récepteurs à sérotonine (les 5-HTx), ceux à dopamine, ceux à histamine, ceux à acetylcholine et j'en passe. Retenez bien qu'elle agit sur les récepteurs à sérotonine, c'est important.
En gros elle fait barrière à bon nombre de choses.
Les effets du sevrage (je ne conseille pas d'arrêter votre traitement pour consommer même si vous pouvez, car vous en avez sûrement besoin) :
J'ai tenté d'arrêter mon traitement pendant presque 2 semaines pour prendre du 5-MAPB, mais à force j'ai constaté que j'avais des tremblements, des insomnies et aussi mon appétit qui a été réduit avec des maux de ventre assez désagréables.
Les effets :
Physiques : mydriase, somnolence, impuissance, chaleur, appétit grandit (c'est cool ça)
Psychiques : sensation de vide, difficulté à s'amuser (s'explique par l'abaissement des niveaux de neurotransmetteurs), lenteur de pensée, et paradoxalement paranoïa
Et maintenant quelles drogues peut-on prendre avec ce médicament ? (j'ai essayé pour vous, je vous conseille de ne pas le faire)
Alcool/Solvants (Ethanol, Ether, Acétone) : donne une ivresse plus forte, attention car vous pouvez souffrir de dépression respiratoire, donc attention à la dose !
Tryptamines (LSD-25, 1P-LSD, ETH-LAD, 4-HO-DMT, DMT, 4-ACO-DMT, etc) : vous pouvez oublier, ça n'aura strictement aucun effet sur vous, l'Olanzapine bloque complétement les récepteurs 5-HT2a et 5-HT2c, donc pas la peine d'essayer, ne soyez pas aussi déçu que moi :)
Phényléthylamines ([Meth]amphétamine, MDxx, DOx, 2C-x, Mescaline, 5-MAPB, 4-FA) : une mauvaise idée en gros, pour les stimulants à dopamine, il y a un effet mais réduit, et la descente est très dure vu que c'est l'effet inverse de l'olanzapine. Et si, comme la MDMA par exemple, qui a un effet psychédélique sur les récepteurs 5-HT, vous aurez une défonce assez bizarre, avec la sensation qu'il manque quelque chose.
Arylcyclohexylamines (Ketamine, Methoxétamine, PCP, Trifluorométhyldeschlorokétamine) : L'olanzapine n'a pas d'effet sur les rrécepteurs NMDA, donc ça marche ! En tout cas pour la kétamine, qui n'a pas d'action sur les neurotransmetteurs contrairement à la MXE et à la PCP, pour ceux là il manquera une partie du plaisir.
Pipérazines (BZP, mCPP, TFMPP) : étant des stimulants à dopamine principalement, à éviter.
Phénylmorpholines (3-FluoroPhenmetrazine) : comme pour les pipérazines.
Cannabis : fonctionne plutôt bien, mais il faut doser plus que d'habitude.
Opiacés (Morphine, Héroïne, Fentanyl, Tramadol, Codéine) : le récepteur k-opioide n'est pas bloqué par l'Olanzapine donc ça marche, mais j'ai quand même constaté une résistance. Attention toutefois aux dépressions respiratoires, l'Olanzapine est un sédatif également.
Cocaïne : à moins d'y aller sur la dose, peu d'effet sont ressentis, comme dit plus haut à cause de la dopamine.
Salvia : le récepteur µ-opioide n'est pas non plus bloqué, cela fonctionne donc.
Benzodiazépines (Diazépam, Tétrazépam, Alprazolam, Bromazépam, etc) : aucun problème !
Les RC :
ce que vous devez éviter : les cathinones (3-MMC, Pentedrone), les phénidates (EPH, MPH, 3,4-CTMP), la Methiopropamine, les dérivés de pyrovalérone (MDPV, a-PVP), la MDAI, les NBOMe, etc
ce qui marche : les phénidines (seulement ceux avec action sur les récepteurs NMDA)
A vous de me dire si vous connaissez les effets sur les autres drogues, je n'ai pas pu tester et/ou je n'ai pas la connaissance.Je n'incite pas à la consommation, je signale juste mon expérience.
Voilà c'est tout, si jamais vous avez d'autres informations ou si j'ai oublié des choses, soyez libre de me le dire ! Je répondrai aux commentaires également.
Merci !
L'Olanzapine donne telle des hallucinations similaires au Zolpidem ? Je demande car les deux fond fortement dormir,en resistant a quelle stade arrivons nous
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Dernière modification par cobra1990 (31 octobre 2018 à 14:18)
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Psychoco92 a écrit
Quelqu’un sait donc si l’olanzapine aide a dormir et principalement lors d’un sevrage d’opiacés ? Ce sont des 5mg donc un demi comprimé devrait faire l’affaire je pense
Les neuro permettrait de moins ´penser’ en général donc ça peut aider a moins broyer du noir ou pire craquer lors d’un craving (si je pense moins je pense moins à taper logiquement lol)
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