Taz, rester perché à vie mythe ou réalité ?
Publié par Funzoo,
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- Funzoo
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Bonjour/Bonsoir à tous !
Je viens d'apprendre que apparament il est possible de rester perché sous exta toute ça vie ou plusieurs jours après tout ça me fais bien flipper
Es-ce un mythe ou une réalité ?
Si, oui aprés une grande dose ?
Sur la première prise ou également les habitués de l'ecstasie/MDMA ?
Je viens d'apprendre que apparament il est possible de rester perché sous exta toute ça vie ou plusieurs jours après tout ça me fais bien flipper
Es-ce un mythe ou une réalité ?
Si, oui aprés une grande dose ?
Sur la première prise ou également les habitués de l'ecstasie/MDMA ?
Dernière modification par Funzoo (26 mars 2018 à 00:16)
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- CoachMigui
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Salut,
J'ai en parti répondu à cette question aujourd'hui sur un autre topic. Et vu que j'ai pas la motiv de tout ré-écrire, je te renvoie dessus :)
Bonne journée !
J'ai en parti répondu à cette question aujourd'hui sur un autre topic. Et vu que j'ai pas la motiv de tout ré-écrire, je te renvoie dessus :)
Bonne journée !
Si tu médites et que le diable arrive, fais méditer le diable.
Gurdjieff
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Salut !
Y'a l'amie d'un pote qu'es resté perché pendant très longtemps je sais pas avec quel prod mais elle a du passer à L'HP pour pouvoir s'en sortir donc rester perché oui, avec la D jsp.
Y'a l'amie d'un pote qu'es resté perché pendant très longtemps je sais pas avec quel prod mais elle a du passer à L'HP pour pouvoir s'en sortir donc rester perché oui, avec la D jsp.
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Je vais pas dire mythe, car cela arrive.
Mais si y aurait une statistique établi je pense qu'elle serait extrêmement faible.
En fait cette question est plus souvent posé pour le LSD ou la y a une énorme exagération (radio ragot la teuf)
Un jour j'ai eu la chance de discuter avec une personne qui a l'époque était l'un des plus anciens infirmiers de l'HP Charles Perens de Bordeaux.
J'avais tellement entendu plus jeunes d'histoire genre "le copain du cousin de la belle soeur de mon fils a pris du LSD maintenant il est perché a vie !! Faut pas en prendre"
Que je me suis permis de lui poser la question. Sa réponse était qu'en gros que depuis toutes ses années en postes les personnes ayant etaient hospitalisé pour des états délirants ou psychotiques persistant après "une" prise de drogue etait extrêmement faible.
Et que pour tous les cas qu'ils avaient eu a gérer un court séjour d'un mois grand maximum avait suffit pour que les personnes ressortent et reprennent le cours de leurs vie.
Et qu'en général les très très rares cas où cela avait pris bien plus de temps (mais pas a vie) c'est quand la prise de drogue avait déclaré une pathologie latente ou bien des signes avant coureur par exemple des personnes déjà fragiles psychologiquement et avec des problèmes professionnel ou sociaux.
Et qu'au final dans sa carrière en HP il voyait plus souvent des gens rester avec un pathologie a cause de suicide d'un proche, un deuil qui ne se fait pas, licenciement mal vécu, accident de la route traumatisant et d'autres choses de la vie...
Bon c'est pas ses mots à la lettre près (c'était plus technique et bien plus long) mais je me rappelle très bien de cette rencontre très intéressante et de cette discussion.
Sinon les 4 dernières années j'ai régulièrement dû faire des passages dans une grande unité psychiatrique pour venir voir quelqu'un de très proche.
Et a force je connaissais un peu pourquoi la grosse majorité de son entourage était la, et bien aucune personne n'y était suite à la prise d'une drogue.
Après je ne nie pas "qu'une seule" prise peux entraîner une prise en charge en HP de longue durée.
Cela doit arriver (mais encore faut il voir les conditions de la prises et le passé de la personne pour en déduire que le seul élément déclencheur serait la molécule
)
D'ailleurs concernant la personne proche qui a passé 4 années de va et vient en HP avant sa première crise de délire et alors que je n'avais plus de nouvelles, cette personne c'était mise à l'autoproduction de cannabis (assez fort en THC) et avait fumé beaucoup plus que d'habitude plusieurs semaines avant sa première crise de délire.
Et un jour l'accumulation d'années de choses gardé en soit et un peu trop de bédos et c'est parti en gros délire...
(paranoïa, hallucinations et j'en passe.. on se sent totalement impuissants quand la personne est convaincu qu'elle doit se rendre à telle ville pour y faire telle ou telle chose, raconte des choses sans queue ni tête du matin au soir genre que j'ai des super pouvoirs et qu'on la retrouve à l'autre bout de la France en errance, comme quoi on peut partir loin si certains facteurs sont hélas reunis)
Dans les faits cette personne proche avait eu un manque affectif très jeune refoulé ainsi que le décès de son père en etant ados qui a encore etait plus refoulé.
Le cannabis et l'accumulation ont était sûrement déclencheur mais au final (ayant vu son dossier médical) la cause c'était son passif (manque affectif et décès refoulé à l'extrême) et non la prise de drogue.
Et j'ai pu constater que sans la connaissance du passé de la personne chez beaucoup de personnes qui venaient prendre des nouvelles (genre ex collègue de taf) c'était souvent pour eux le cannabis le seul responsable.
Forcément quand on a pas tous les tenants et aboutissants de l'histoire de la personne on va au plus simple.
Enfin bref pour moi resté "perché" a vie avec une prise d'une drogue sans aucun soucis latent ça peut arriver mais c'est extrêmement rare...
D'autant plus si on s'applique à respecter les notions de réduction des risques :)
Mais si y aurait une statistique établi je pense qu'elle serait extrêmement faible.
En fait cette question est plus souvent posé pour le LSD ou la y a une énorme exagération (radio ragot la teuf)
Un jour j'ai eu la chance de discuter avec une personne qui a l'époque était l'un des plus anciens infirmiers de l'HP Charles Perens de Bordeaux.
J'avais tellement entendu plus jeunes d'histoire genre "le copain du cousin de la belle soeur de mon fils a pris du LSD maintenant il est perché a vie !! Faut pas en prendre"
Que je me suis permis de lui poser la question. Sa réponse était qu'en gros que depuis toutes ses années en postes les personnes ayant etaient hospitalisé pour des états délirants ou psychotiques persistant après "une" prise de drogue etait extrêmement faible.
Et que pour tous les cas qu'ils avaient eu a gérer un court séjour d'un mois grand maximum avait suffit pour que les personnes ressortent et reprennent le cours de leurs vie.
Et qu'en général les très très rares cas où cela avait pris bien plus de temps (mais pas a vie) c'est quand la prise de drogue avait déclaré une pathologie latente ou bien des signes avant coureur par exemple des personnes déjà fragiles psychologiquement et avec des problèmes professionnel ou sociaux.
Et qu'au final dans sa carrière en HP il voyait plus souvent des gens rester avec un pathologie a cause de suicide d'un proche, un deuil qui ne se fait pas, licenciement mal vécu, accident de la route traumatisant et d'autres choses de la vie...
Bon c'est pas ses mots à la lettre près (c'était plus technique et bien plus long) mais je me rappelle très bien de cette rencontre très intéressante et de cette discussion.
Sinon les 4 dernières années j'ai régulièrement dû faire des passages dans une grande unité psychiatrique pour venir voir quelqu'un de très proche.
Et a force je connaissais un peu pourquoi la grosse majorité de son entourage était la, et bien aucune personne n'y était suite à la prise d'une drogue.
Après je ne nie pas "qu'une seule" prise peux entraîner une prise en charge en HP de longue durée.
Cela doit arriver (mais encore faut il voir les conditions de la prises et le passé de la personne pour en déduire que le seul élément déclencheur serait la molécule
)D'ailleurs concernant la personne proche qui a passé 4 années de va et vient en HP avant sa première crise de délire et alors que je n'avais plus de nouvelles, cette personne c'était mise à l'autoproduction de cannabis (assez fort en THC) et avait fumé beaucoup plus que d'habitude plusieurs semaines avant sa première crise de délire.
Et un jour l'accumulation d'années de choses gardé en soit et un peu trop de bédos et c'est parti en gros délire...
(paranoïa, hallucinations et j'en passe.. on se sent totalement impuissants quand la personne est convaincu qu'elle doit se rendre à telle ville pour y faire telle ou telle chose, raconte des choses sans queue ni tête du matin au soir genre que j'ai des super pouvoirs et qu'on la retrouve à l'autre bout de la France en errance, comme quoi on peut partir loin si certains facteurs sont hélas reunis)
Dans les faits cette personne proche avait eu un manque affectif très jeune refoulé ainsi que le décès de son père en etant ados qui a encore etait plus refoulé.
Le cannabis et l'accumulation ont était sûrement déclencheur mais au final (ayant vu son dossier médical) la cause c'était son passif (manque affectif et décès refoulé à l'extrême) et non la prise de drogue.
Et j'ai pu constater que sans la connaissance du passé de la personne chez beaucoup de personnes qui venaient prendre des nouvelles (genre ex collègue de taf) c'était souvent pour eux le cannabis le seul responsable.
Forcément quand on a pas tous les tenants et aboutissants de l'histoire de la personne on va au plus simple.
Enfin bref pour moi resté "perché" a vie avec une prise d'une drogue sans aucun soucis latent ça peut arriver mais c'est extrêmement rare...
D'autant plus si on s'applique à respecter les notions de réduction des risques :)
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Hello
J'ai connu le petit frère d'un ami, un très bon ami que je vois encore au bout de 35 ans environ, on a commencé le collège ensemble. Bref c'était à la toute fin des années 80 début années 90, le petit frère P. a gobé son 1er taz lors d'une teuf sous nos yeux explosés à l'héro et coke, et là ce n'est ps une légende urbaine, le gamin de &è ans s'est éclaté toute la nuit sans encombres mais à son réveil c'était une autre personne (je dormais chez eux) P. a sorti un énorme couteau de cuisine et a coursé son père dans toute la baraque.
Police, pompier et...internement pendant plus de 5 ans.
Maintenant, et depuis longtemps ilest tout à fait normal, diagnostiqué schyzophrène mais il a une excellente situation maintenant. En fait "sa folie" n'a durée qu'un court instant et il a été emprisonné euh pardon... interné durant toutes ces années à la demande de son père.
Perso je penche plutôt pour une mauvaise coupe du taz ou d'un taux de mdma surèlevé.
Moi qui n'ai jamais avalé un taz de ma vie j'ai l'air fin à vous raconter ça mais c'est justement la déduction d'un non consommateur de taz : pour moi ces cas là doivent être quand même assez rares du style :bad trip puis l'engrenage des structures psys et schyzos lesquels à mon avis ne font souvent qu'aggraver les conditinos de santés "cérébrlaes.
CE N'EST QUE MON AVIS DE NON USAGER DE TAZ et je n'ai pris de la MDMA qu'& seule fois dans ma vie.
J'ai connu le petit frère d'un ami, un très bon ami que je vois encore au bout de 35 ans environ, on a commencé le collège ensemble. Bref c'était à la toute fin des années 80 début années 90, le petit frère P. a gobé son 1er taz lors d'une teuf sous nos yeux explosés à l'héro et coke, et là ce n'est ps une légende urbaine, le gamin de &è ans s'est éclaté toute la nuit sans encombres mais à son réveil c'était une autre personne (je dormais chez eux) P. a sorti un énorme couteau de cuisine et a coursé son père dans toute la baraque.
Police, pompier et...internement pendant plus de 5 ans.
Maintenant, et depuis longtemps ilest tout à fait normal, diagnostiqué schyzophrène mais il a une excellente situation maintenant. En fait "sa folie" n'a durée qu'un court instant et il a été emprisonné euh pardon... interné durant toutes ces années à la demande de son père.
Perso je penche plutôt pour une mauvaise coupe du taz ou d'un taux de mdma surèlevé.
Moi qui n'ai jamais avalé un taz de ma vie j'ai l'air fin à vous raconter ça mais c'est justement la déduction d'un non consommateur de taz : pour moi ces cas là doivent être quand même assez rares du style :bad trip puis l'engrenage des structures psys et schyzos lesquels à mon avis ne font souvent qu'aggraver les conditinos de santés "cérébrlaes.
CE N'EST QUE MON AVIS DE NON USAGER DE TAZ et je n'ai pris de la MDMA qu'& seule fois dans ma vie.
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- Amboseli
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Si on entend par "perché" avoir des hallus, alors je vois mal comment on peut rester perché toute sa vie étant donné que déjà sous taz on ne l'est pas (ou alors il y a eu de l'abus + sur le dosage).
Ou alors effectivement il y a déjà une pathologie sous-jacente qui dormait et qui n'attendait pas grand chose pour se réveiller (exemple de ton ami Cusco).
Ou alors effectivement il y a déjà une pathologie sous-jacente qui dormait et qui n'attendait pas grand chose pour se réveiller (exemple de ton ami Cusco).
Dernière modification par Amboseli (26 mars 2018 à 19:53)
"Mais qu'importe l'éternité de la damnation à qui a trouvé dans une seconde l'infini de la jouissance !" (Baudelaire)
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À mon avis ça dépend pas mal de ce qu'on appelle "resté perché", et il y a pas mal de facteurs à prendre en compte.
Une psychose latente qui se révèle après une prise de produit un peu costaud, c'est possible, je pense qu'il ne faut pas négliger le potentiel psychédélique (qui révèle l'esprit et aussi les fractures de l'esprit) de la MDMA. Après évidemment ça ne concerne qu'un faible pourcentage de gens, le problème c'est qu'une psychose latente...bah elle est latente. Difficile donc de prévoir à qui ça peut arriver, vu que la fragilité psychique n'a pas encore été détectée.
C'est peut-être possible aussi de développer un HPPD après une prise de MD, bien que je ne connaisse personne à qui ça soit arrivé après avoir pris un seul taz ou un seul para dans sa vie...À vrai dire je ne connais même personne qui n'aurait consommé QUE de la MD dans sa vie et à qui ça soit arrivé, mais il semble que ça soit quand même un peu documenté médicalement, donc je veux bien croire que ça soit possible, mais je ne l'ai jamais constaté chez personne dans mon entourage, contrairement à ce que j'ai pu voir avec le LSD ou d'autres hallucinogènes avec lesquels, là, oui, j'ai quand même vu pas mal de gens partir correctement en sucette sur du long terme.
Après reste la question des produits de coupe, potentiellement plus toxiques que la MDMA elle-même, et là, peut-être que certains mélanges peuvent effectivement causer des dommages neurologiques permanents.
Loin de moi l'idée de dire que prendre de l'ecstasy ou de la MDMA est anodin et tout à fait sans risque, mais par contre, honnêtement "rester perché" durablement en une seule prise, si on respecte les règles de base de réduction des risques (fractionner la prise, attendre bien 2h avant de redropper si l'effet tarde à venir, s'hydrater, être entouré de personnes de confiance dans un cadre rassurant etc...), ça me semble assez improbable.
Par contre, foi de daron de 43 ans, un truc qui est vrai c'est que plus tu vieillis, plus la descente est longue et pénible. Moi maintenant si je gobe le samedi, je sais que j'en ai jusqu'au mercredi minimum avant d'être de retour bien dans mon assiette. Donc là on ne parle pas de "rester perché", par contre ressentir des effets indésirables pendant plusieurs jours, oui, c'est tout à fait possible.
Une psychose latente qui se révèle après une prise de produit un peu costaud, c'est possible, je pense qu'il ne faut pas négliger le potentiel psychédélique (qui révèle l'esprit et aussi les fractures de l'esprit) de la MDMA. Après évidemment ça ne concerne qu'un faible pourcentage de gens, le problème c'est qu'une psychose latente...bah elle est latente. Difficile donc de prévoir à qui ça peut arriver, vu que la fragilité psychique n'a pas encore été détectée.
C'est peut-être possible aussi de développer un HPPD après une prise de MD, bien que je ne connaisse personne à qui ça soit arrivé après avoir pris un seul taz ou un seul para dans sa vie...À vrai dire je ne connais même personne qui n'aurait consommé QUE de la MD dans sa vie et à qui ça soit arrivé, mais il semble que ça soit quand même un peu documenté médicalement, donc je veux bien croire que ça soit possible, mais je ne l'ai jamais constaté chez personne dans mon entourage, contrairement à ce que j'ai pu voir avec le LSD ou d'autres hallucinogènes avec lesquels, là, oui, j'ai quand même vu pas mal de gens partir correctement en sucette sur du long terme.
Après reste la question des produits de coupe, potentiellement plus toxiques que la MDMA elle-même, et là, peut-être que certains mélanges peuvent effectivement causer des dommages neurologiques permanents.
Loin de moi l'idée de dire que prendre de l'ecstasy ou de la MDMA est anodin et tout à fait sans risque, mais par contre, honnêtement "rester perché" durablement en une seule prise, si on respecte les règles de base de réduction des risques (fractionner la prise, attendre bien 2h avant de redropper si l'effet tarde à venir, s'hydrater, être entouré de personnes de confiance dans un cadre rassurant etc...), ça me semble assez improbable.
Par contre, foi de daron de 43 ans, un truc qui est vrai c'est que plus tu vieillis, plus la descente est longue et pénible. Moi maintenant si je gobe le samedi, je sais que j'en ai jusqu'au mercredi minimum avant d'être de retour bien dans mon assiette. Donc là on ne parle pas de "rester perché", par contre ressentir des effets indésirables pendant plusieurs jours, oui, c'est tout à fait possible.
Dernière modification par Assoactis (27 mars 2018 à 09:06)
Remember what the doormouse said : feed your head...
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Salut
Et puis après ça peut faire sortir une maladie du genre skyzophrenie qu'on avait déjà mais qui s'était pas encore déclarée
Et puis après ça peut faire sortir une maladie du genre skyzophrenie qu'on avait déjà mais qui s'était pas encore déclarée
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- Amboseli
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- Inscrit le 14 Aug 2016
- 41 messages
Oui, bon après si on est schizophrène, c'est à l'adolescence/jeune adulte que ça se déclare, et pas à 30 ou 40 piges (là je parle bien de la schizo, qui est différente de la bouffée délirante aiguë qui peut arriver à peu près à n'importe qui et qui ne dure que quelques heures).
"Mais qu'importe l'éternité de la damnation à qui a trouvé dans une seconde l'infini de la jouissance !" (Baudelaire)
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- Anonyme7402
- Invité
Ça me fait penser au personnage de Goa Gebhard dans le film Berlin Calling.
Le mec vit en HP car il est resté bloqué suite à un trip au LSD qui a mal tourné (décès de son pote il me semble), depuis il ne parle plus du tout et tourne en rond dans les couloirs à longueur de journée!!
Ok ça reste un film, mais j'ai tendance à y croire.
Le mec vit en HP car il est resté bloqué suite à un trip au LSD qui a mal tourné (décès de son pote il me semble), depuis il ne parle plus du tout et tourne en rond dans les couloirs à longueur de journée!!
Ok ça reste un film, mais j'ai tendance à y croire.
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