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Dernière modification par Nineta (01 mars 2024 à 13:03)
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Dernière modification par Nineta (01 mars 2024 à 15:30)
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Nineta a écrit
Le pire je crois c'est quand tu pars en teuf et que tu te rends compte que t'as oublié d'emmener ton ttmt avec toi....heureusement qu'on finit souvent par trouver des copains de dépanne. Solidarité oblige !
Putain qu'est ce qu'on est différent quand même
Re Nineta yes merci pour le retour d'XP, bah wai l'exemple que tu mentionnes c'est un peu ce "thinking process" que j'avais engagé hier quand j'insistais sur la psyché du profil
Bon après quand tu me parles de Teuf la seule fois ou j'ai enchainé 36h de son (Millésime Festival) sans avoir d'opiacés sur place, bordel meme avec de la MDMA a bloc / XTC 250mg, comment j'étais dans le maaaaal putin....
résultat j'ai avancé mon retour en train le Dimanche 10H au lieu de 17h, retour insoutenable, et enfin la délivrance quand a la bonne époque mon vendeur frenchy darknet de China White avait envoyé a temps et que 2 grammes m'attendaient dans la BAL en rentrant...... la résurection
Bref, etre en teuf / festival sous opiacés c'est pas du jeu lol, comparé a tout les autres potes je peux enquiller de la MD, des amphet, de l'alcool etc... tant que y'a de la H et de la C tu marche toujours droit quand tout les autres sont plié en 4
Bon j'ai très legerement digressé je me rends compte, sorry.
Dernière modification par fuckaloop23 (01 mars 2024 à 18:05)
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fuckaloop23 a écrit
m'est souvent arrivé de zapper mon traitement d'une heure ou deux voir plus et c'était parfois
On dirait pas possible d'oublier de prendre le metadone mais m'est arrivé aussi et pas qu'une fois: je le prends une fois par jour mais pas au réveil, vers 14h 15h et si j'suis déjà dehors...voilà rentrer en courant chez moi,même si c'est psychologique aussi car si je shoot une came deg pour 24 36h j'suis couvert
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Bonjour
Un petit mot pour saluer la réaction de fuckaloop23, que je trouve très positive. Tout le monde ne réagit pas comme lui. Savoir faire un pas en arrière quand on s'est trop avancé, c'est la classe. Et on voit bien que ça résout les conflits .
Nineta a écrit
Je crois avoir capté ce que tu veux essayer de comprendre, l'aspect psychologique du manque. Car il existe aussi. Exemple ya un ou une pote avec qui t'as fait la chouille toute la nuit, tout va bien alors qu'elle a zappé son traitement. Et d'un coup (parce que t'es con) ben tu lui poses la question, t'as pris ton traitement aujourd'hui ? Erreur...alors que tout allait bien et que la personne ne pensait même pas à son traitement ben toi tu viens foutre la merde en posant cette question. La personne qui allait très bien peut d'un coup switcher sur un état de manque profond et pleurer sa methadone. C'est ce que moi j'appelle l'aspect psychologique du manque. Perso je n'ai jamais vécu ça, mais j'ai des amis à qui s'est arrivé plusieurs fois.
Kalei a écrit
Petit témoignage pour appuyer sur le côté psycho.
Mais à l’inverse en quelque sorte .
(...)
En gros, tellement pressé de taper que mon corps se relâchait niveau manque en me faisant avoir une grosse bouffée de chaleur avec transpi à gogo etc .
C’était vraiment pénible .
T’es bien tu choppe tu rentre chez le collègue mais pour les 5 dernières minutes tu te retrouve en t-shirt à suer à grosses goutes et tout genre t’as rien pris depuis deux jours …
Marco a écrit
On dirait pas possible d'oublier de prendre le metadone mais m'est arrivé aussi et pas qu'une fois: je le prends une fois par jour mais pas au réveil, vers 14h 15h et si j'suis déjà dehors...voilà rentrer en courant chez moi,même si c'est psychologique aussi car si je shoot une came deg pour 24 36h j'suis couvert
J'aime beaucoup ces messages, qui rejoignent parfaitement ma position.
Dans le cas des métaboliseurs rapides, on peut écarter la dimension psychologique, puisque la biologie peut tout expliquer, et qu'on a même un examen pour mesurer la quantité de méthadone dans le corps : la méthadonémie dont parlait Cependant.
De toute façon, quand on n'arrive pas à objectiver une souffrance par des examens, on ne sait jamais si c'est psychologique, ou si c'est un truc physique qu'on ne comprend pas encore. Et d'ailleurs, est-on certain qu'il y ait une frontière si nette entre les deux ?
Mais dans plein de situations, comme celles que décrites par Nineta, Kalei et Marco, ou dans le cas de certains craving, où dans certains PAWS, les symptômes semblent entièrement déterminés par la psyché, et pourtant, ils ne sont pas du tout "que dans la tête" : ils engagent tout le corps de la personne. Les symptômes psychiques peuvent avoir des conséquences tout à fait physiques, c'est un fait clinique connu de longue date !
Même quand on fait face à un symptôme d'origine entièrement psychique, ou supposée telle (parce qu'on ne sait jamais en fait), dire que c'est dans la tête, c'est une méconnaissance de la psychologie clinique, et un mépris des personnes. C'est faire de la souffrance des personnes une maladie imaginaire, qui n'a pas d'autres conséquences en dehors de l'imaginaire. C'est oublier à quel point un symptôme psychique peut être un mur infranchissable qui résiste à la personne, aussi solide qu'une porte blindée dans le monde matériel.
Ca ne viendrait à l'idée de personne, face à une porte blindée, de dire "quand on veut on peut" ou bien que la résistance de la porte "c'est que dans la tête". On ne peut pas passer, et pis point barre.
C'est pourtant ce qu'on se prend dans la figure à chaque rendez-vous médical, ou par nos collègues, ou nos proches, quand on a une souffrance inexpliquée ou indétectable aux examens. Ca concerne beaucoup de PUD (certains manques, cravings, paws, etc.), mais pas seulement eux.
C'est la dimension infranchissable, et l'image de la porte blindée, qui font que j'aime bien dire que face à la résistance du symptôme, même "psychologique", on fait face au réel.
Ca ne me parait pas du tout déraisonnable de le supposer.
Ca me parait une excellente façon d'en parler, qui oriente vers des pratiques beaucoup plus bienveillantes et efficaces que quand on pense que le symptôme "c'est que dans la tête".
Et ça me parait avoir une dimension politique forte. C'est la personne qui est confrontée à un réel singulier, dont elle est la seule à avoir l'expérience. C'est elle qui se cogne régulièrement contre le mur infranchissable du symptôme, c'est elle qui le connait le mieux. C'est la personne l'experte ! Donc, on ne peut rien faire pour cette personne sans son savoir sur ce réel. Rien ne pourra être fait pour nous sans nous !
Amicalement.
Dernière modification par Pesteux (02 mars 2024 à 04:04)
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Dernière modification par Nineta (02 mars 2024 à 10:21)
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Nineta a écrit
Il avait pris son traitement du jour, mais le simple fait d'avoir entendu cette phrase ça l'a mis dans un état de manque très avancé physiquement. Il est tombé au sol, il a commencé à convulser, il s'est carrément pissé dessus (crise d'épilepsie peut-être, en tout cas ça y ressemble). En se réveillant il hurlait de terreur du coup les pharmaciens ont appelé les pompiers. On l'a envoyé aux urgences et on lui a filé un valium 10 waouh! Il a été rapidement tej de l'hosto et il a couru dans un four chopper du matos( obligé !). Il a dans son malheur eu de la chance de trouver du bon prod et ça l'a fait.
Ca peut etre aussi une crise de panique. C'est pas forcément du manque.Et la ca fait plutot penser à cela.
Par ailleurs, un des desvantages de la méthadone, c'est qu'elle réagit tres différement selon les personnes. Il me semble que la demi-vie peut aller de 12h à plus de 96 heures. Ca rend plus compliqué les choses pour les overdoses et le calcul de son dosage.
Ajouter à cela, les mélanges avec de l'alcool, ca augmente l'effet, mais ca diminue de beaucoup la longueur de l'effet. Il y a pas mal de produits comme cela qui réagisent avec la méthadone
https://www.psychoactif.org/psychowiki/ … teractions
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pierre a écrit
Ca peut etre aussi une crise de panique.
Bonjour Pierre,
Tout a fait! Je pense que ct bien le cas à la base mais que du coup ça a engendré un craving, puis un état de manque sachant que cet ami en question est un metaboliseur très rapide qui ne peut pas faire autrement que de fractionner son traitement... et à titre personnel, moi qui ne prends plus d'opiacés depuis presque 2 ans, mes crises d'angoisses me donnent parfois l'impression que je suis en manque d'opiacés. C'est fou....
Clairement! pour moi l'interaction methadone alcool altérée grandement mon état (j'avais l'impression d'être en manque d'opi beaucoup plus vite).
Merci pour le lien et ton retour.
Nartrouv
Nineta
Dernière modification par Nineta (05 avril 2024 à 16:26)
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Pierre a écrit
Ca peut etre aussi une crise de panique. C'est pas forcément du manque. Et la ca fait plutot penser à cela.
Salut ! Tu soulèves une question intéressante Pierre. Quel sens donnes-tu au terme "manque" dans le contexte de ta phrase ? Est-ce que tu lui donnes un sens uniquement physique ? Est-ce pour cela que ça te gêne d'appeler ça "manque" ?
Si on prend un point de vue purement scientifique et psychopathologique, si on fait juste la liste des symptômes pour donner un nom à ce tableau clinique en suivant une nomenclature, on va appeler ça une crise d'angoisse, une attaque de panique, un raptus épileptique, ou un truc du genre.
C'est pas faux, mais ça reste à la surface des choses, ça n'est que la partie visible de l'iceberg. Je suis d'accord que ça ressemble beaucoup à une "crise de panique", mais pas n'importe laquelle.
C'est une crise de panique :
- qui se déclenche juste à l'annonce d'un temps d'abstinence forcée
- qui cesse dès que des opiacés sont consommés (ou mis à disposition ?)
- qui est interprétée comme un manque par la personne
Du coup, si on se contente de dire que c'est une "attaque de panique", on est moins spécifique par rapport à l'histoire de la personne, et ça oriente vers un anxiolytique d'action rapide.
Alors qui si on admet que c'est un "manque", c'est plus précis et personnalisé, et ça oriente vers les opiacés.
Tripe avantage :
- on répond à la demande de la personne (elle a ce qu'elle veut)
- on prend au sérieux son interprétation (elle se sent comprise et respectée)
- on fait disparaître le symptôme (ça va mieux !)
Partir de l'expérience de la personne, suivre sa subjectivité pour qualifier ce symptôme de "manque" plutôt que de "crise de panique", ça me semble donc conduire à une meilleure pratique, plus respectueuse, plus efficace, parce que plus proche de l'autosupport, et moins "fetichiste" du savoir médical (si tu me permets l'expression).
On pourra toujours me dire que c'est juste une question de mot, je suis d'accord, c'est la pratique qui compte avant tout. Mais valoriser les mots de la personne, en les réemployant et les prenant au sérieux, ça me parait également une très bonne pratique en soi. Alors, quand ils collent à ce point à ce qu'il semble évident de faire, pourquoi s'en priverait-on ? Pourquoi accepter que la rigueur des classifications nosographiques fasse obstacle au lien avec la personne et à l'interprétation de sa demande (pourtant évidente dans cet exemple) ? A quoi ça nous sert d'être "objectif" dans ce genre de cas ? (à part à prescrire 10 ridicules mg de Valium, et aucun d'opi)
On peut souligner la dimension psychique de ce "manque" si on y tient, du moment que ça ne conduit pas nier la demande d'opiacés.
Perso, je considère qu'un manque peut être physique ou psychique, que les deux sont réels, et peuvent causer des souffrances à prendre avec le même sérieux.
Amicalement.
Dernière modification par Pesteux (07 avril 2024 à 12:00)
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Pesteux a écrit
On pourra toujours me dire que c'est juste une question de mot, je suis d'accord, c'est la pratique qui compte avant tout.[/justify]
Salut . Ceux qui disent à propos d’une phrase ou autre que ce n’est qu’une question de mots sont dans l’erreur .
L’utilisation des mots en fonction de leur sens strict est essentiel pour ce faire comprendre . Beaucoup n’exprime pas ce qu’ils pensent parce qu’ils n’emploient pas les mots adaptés et se plaignent de ne pas être compris par la suite ou d’être contredit .
Donc ce n’est jamais qu’une question de mots.
La mauvaise utilisation du Français par la majorité de gens est je pense la première source d’incompréhension entre personnes .
Et peut être même source de conflits .
Donc les mots ont un sens et le respecter est essentiel .
Je dirais même que la priorité lorsque l’on écrit est le sens des mots employés , bien avant la grammaire ou la conjugaison .
La sémantique est primordiale .
Petit hors sujet: je ne me souviens pas de ton profil de pud pesteux . Que consomme tu ? As tu une drogue de prédilection ?
Je demande c’est pour mieux te cerné et mettre ton discours en relation avec tes consos.
Amicalement .
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Pesteux a écrit
Du coup, si on se contente de dire que c'est une "attaque de panique", on est moins spécifique par rapport à l'histoire de la personne, et ça oriente vers un anxiolytique d'action rapide
Salut pesteux,
J'ai travaillé de nombreuses années auprès de personnes grands épileptiques et ce que mon ami m'a décrit, chute brutale, Black out, convulsions (décrite par les personnes autour) et l'incontinence pendant la crise m'a fait grandement pensé à ça ! Je ne suis pas médecin évidemment mais bon avec l'expérience de mon métier ces symptômes m'ont parus évident.
Ce qui expliquerait probablement le fait qu'on lui ai donné seulement du valium à l'hôpital. Ce que nous utilisons en intra rectal pour stopper les crises..
Pesteux a écrit
un raptus épileptique
Ça corrobore pour moi perso.
Sachant que sans ordonnance et sans feuille relais, ils ne pouvaient malheureusement pas lui donner son traitement ne serait ce pour le week-end (même si il avait sa dernière ordonnance sur lui).
C'est ça que je trouve affligeant. On ne peut pas laisser les gens dans un état pas possible tout un week-end, c'est inhumain. C'est pour ça que pour ma part j'ai toujours stocké à mort pour voyager certes mais surtout pour dépanner mes potes qui se retrouvaient dans ce genre de galère.
Pesteux a écrit
Perso, je considère qu'un manque peut être physique ou psychique, que les deux sont réels, et peuvent causer des souffrances à prendre avec le même sérieux
Agree.
Nartrouv sur le forum !
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Salut !
Kalei, par rapport à ta question sur mon profil de pud, il faudrait que je fasse un billet de blog pour détailler. Mes expériences sont éparpillées un peu partout dans différents messages sur le forum, c'est vrai que c'est pas simple pour me connaître. En bref, mes drogues de prédilection sont le Cannabis, les Champignons, la MD, et les Benzos. Mais c'est amené à évoluer au fil du temps, parce que je suis dans le projet de découvrir un peu toutes les drogues. Par "découvrir", je ne veux pas dire en prendre juste une fois pour dire que je l'ai fais. Je veux dire en prendre suffisamment de fois pour en connaître l'effet et savoir l'apprécier. Donc, je veux le faire avec méthode, à mon rythme, et à moindre risque. Au départ, c'est pour cela que je me suis plongé dans la lecture de PA. Le Cannabis et les Benzos, je les connais bien depuis plus de 25 ans, mais les Champis et la MD, c'est plus récent, bientôt 2 ans.
J'aime beaucoup ton développement sur la sémantique, même si je suis en complet désaccord Pour moi, les mots n'ont pas un sens, ni deux, ni même dix, mais plusieurs milliers ! Le langage c'est d'abord du parlé avant d'être de l'écrit, et c'est toute une palette de nuances, qui changent de dimensions en fonction du contexte, de l'intonation et des fluctuations de la voix... Spoiler
Pour moi, c'est avant tout le contexte qui donne du sens à ce qu'on dit. Si je me place dans un contexte médical ou scientifique, je ne vais pas dire ni entendre la même chose que si je me place dans un contexte d'autosupport subjectif. Dans un cas je me réfère à des connaissances déjà là, qui sont une sorte d'autorité extérieure au contexte, dans l'autre, je me réfère au savoir de la personne et au contexte dans lequel elle parle.
Perso, n'étant ni médecin, ni scientifique, ni expert en rdr, je prends le parti de me référer au savoir des personnes. Ca me semble d'autant plus important que ce savoir est, le plus souvent, nié par le discours médical et scientifique, qui pense pouvoir saisir la totalité de notre vécu par ses seules explications.
Méfie toi Nineta, l'expression "raptus épileptique" n'est pas synonyme de "crise d'épilepsie". Spoiler
Comment on fait pour tenir compte du vécu des personnes en tant que médecin ou scientifique ? Hé bien, je ne sais pas, c'est une position paradoxale, que je trouve difficile à tenir. La plupart ne s'embêtent pas avec ce genre de questions, et balayent le vécu des personnes d'un revers de main. Mais pas tous.
Faudrait demander à Prescripteur comment il fait, car il me semble que c'est quelque chose qui le travaille beaucoup. Je pense qu'il parlerait de bienveillance. Encore une fois, on en apprend bien plus sur sa pratique en lui demandant d'en parler, plutôt qu'en se référant au sens strict des mots "médecine" et "bienveillance".
Amicalement.
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Pesteux a écrit
Méfie toi Nineta, l'expression "raptus épileptique" n'est pas synonyme de "crise d'épilepsie"
Merci beaucoup pour l'info raptus! Ça me revient maintenant c'est ce qu'on appelait "une crise isolée" qui peut apparaître chez une personne (non épileptique) suite a un choc traumatique par exemple... mon ami n'est pas épileptique de base donc oui je vois de quoi tu parles et je trouve que ça y ressemble. Si je ne me trompe.
suis pas médecin. Que ça soit le bon mot médical n'est pas mon problème. C'est seulement mon interprétation subjective. Si la personne venait nous répondre que non, que c'est pas un manque, que c'est autre chose, et qu'on ne l'a pas bien compris, alors il faudrait changer d'avis immédiatement, sauf si on veut se retrouver en position de lui expliquer son propre vécu en sachant mieux qu'elle. Ce qui conduit à ne rien apprendre de l'autre, et souvent, à être violent de façon symbolique ou réelle
Oui c'est ça le vrai problème!!!
Merci pour ton retour
Nartrouv
Dernière modification par Nineta (08 avril 2024 à 20:29)
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fuckaloop23 a écrit
hello
pareil je confirme, j'ai eu l'occasion le mois dernier de taper de la H4 (pure a 90%) étant donné que je m'étais buté a la meta a base de240mg/jour les 5 derniers jours, la ou "a blanc" j'aurai pris une enorme tarte, la j'ai tapé le gramme en 1 jour, j'ai eu un peu d'effet euphorique mais dégouté wai. faut pas croire la meta c putin de puissant et ca inhibe completement les effets.
D'experience si t'as un dosage > 80mg/jour de meta, il faut AU MOINS 5 jours sans meta pour vraiment commencer a ressentir les vrais effets de l'heroine prise.
Dans ton cas quand tu parles de sueurs froides juste le lendemain ou t’as stop la meta franchement tu dois psychoter man, c’est pas possible de ressentir des symptomes de manque meme pas 24h après ta derniere prise de Meta si t’es chargé a 160mg/jour…..
C’est le principe meme de la Meta, plus t’en prend plus la libération prolongée durera longtemps, sans qu’il soit possible d’atteindre des “pics” de High.
Si au bout de 48/72 heures sans meta en prenant de l’hero tu ressens des symptomes de manque ou a peine les effets de l’hero, la oui clairement ton produit c’est de la merde / très faible en pureté
Alors moi, conso quasi depuis mes 15 ans d'héroine pure, puis passage à lla morphine et à lza cokze, des dosees folles de morphine, la coke à en perde la tête, des sessions de nuit qu'on appel "en rai", veines tuées, et lmême un mécant abcès, soigné heureusemnent par pansement alcoolisé chaud, des arrêts, le plus long jusqu'à 20 ans, et me revoilà accro à ll'héro deux ans, et depuis quelques selmaones, re-coke pour "bapsser" l'héro ha ha...
J'ai vu la même panoplie de médecins incompétents que vous, la toxicomanie 'ét
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