[ Grossesse et alcool ]

Alcool et Grossesse, un article à lire

hello,
   pour élargir le débat à bien d'autre sujet qu' à celui de l'alcool. je trouve que nous vivons dans une société donneuse de leçon en général.nos dirigeants, nos politiques, nos journalistes, nos pseudo-intellectuels, nos pseudo- spécialistes en tout genre, passent leur vie à nous donner des leçons sur tout . sur ce qu il faut penser, sur ce qu'il faut faire et ne pas faire.
   j'ai souvent l'impression d'ètre pris pour un une personne écervellé , sans poosibilité de réflexion et d'analyse.
  cet article en est un exemple suplémentaire.

Est-ce-que un jour nous aurons une étude impartiale sur les effets de l'alcool sur le foetus ?

Je crois que d'un point de vue scientifique nous avons assez de sources pour inviter à la prudence sur une quantité modérée et/ou exceptionnelle, le soucis, c'est ce qui est fait de ces études.

En tout cas merci d'ouvrir le débat car je suis partisant de dire aux femmes qu'il vaut mieux un verre de temps en temps plutôt que de subir la frustration de ne pouvoir boire à cause d'une sacro-sainte croyance, ceci dans l'optique d'un meilleur développement du bébé.

Je crois que le soucis ne se pose pas pour une consommation réduite et choisie. De toute manière, hommes ou femmes, nous avons tous un peu d'alcool dans le sang. D'un point de vue pragmatique, une très légère variation de cette quantité d'alcool ne devrait pas poser de souci. Un peu d'alcool avec un de ces fromages interdits pendant la grossesse ? (pas de fromage au lait cru si mes souvenirs sont exacts, c'est d'ailleurs étrangement une règle qui prévaut pour ne pas qu'un état ou un pays puisse être accusé de protectionnisme... la vie sur ces fromages est un outil de contrôle, contrôle économique, contrôle du corps, bref, je m'égare)

Merci d'avoir soulevé le débat, ce serait bien de fusionner avec le sujet ouvert par groovie, c'est bien d'avoir encore la force de s'indigner d'une certaine manière.
Je suis entièrement d'accord avec vous. La prévention est extrêmement mal réalisée et les personnes les plus fragiles et les plus directement concernées sont emballées dans un culpabilisation qui invitera forcément au repli, au déni au non dit.
C'est comme si les autorités avaient décidé de créer un choc médiatique pour pallier le manque de moyen sur le terrain en terme d'accompagnement.
En terme de prévention, je constate que l'état faillit à ses missions... du moins, quand il engage des moyens.

Dernière modification par Mister No (13 septembre 2017 à  08:39)