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Dernière modification par Syam (08 février 2016 à 12:58)
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Dernière modification par Syam (08 février 2016 à 16:47)
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Ledayuum a écrit
Je me renseigner pour savoir à quel fréquence consommé sans prendre de risque on va dire, je me disais : " De toute facon je risque d'avoir envie d'en reprendre, alors ca ne sera pas avant le jour XX/XX ! "
Je pense que c'est effectivement la meilleure démarche, te fixer tes limites avant de tester un produit. Et surtout savoir à quoi sont dues ces limites.
Le LSD par exemple, le temps d'attente conseillé est de 2 semaines tout simplement parce que c'est le temps nécessaire pour que ta tolérance redescende à 0. Si tu en reprends directement le lendemain, il te faudra une dose bien plus forte pour sentir les mêmes effets. C'est d'ailleurs le cas pour la plupart des psychédéliques.
La MDMA, on conseille d'attendre 6 semaines parce que c'est le temps nécessaire pour que ton cerveau se rétablisse du choc qu'il a subi. Les récepteurs de sérotonine prennent cher, ton stock de sérotonine est épuisé, du coup si tu en reprends avant 6 semaines non seulement tu fais du mal à ton cerveau mais en plus les effets ne seront plus exactement comme la 1e fois. C'est évidemment une règle générale, plein de gens prennent de la MD toutes les semaines et mettent plusieurs semaines/mois avant de sentir une baisse des effets.
Mais tu vois ce que je veux dire, si tu as une vraie bonne raison pour réguler ta consommation, ça devrait être plus facile. En tout cas c'est le cas pour moi.
Et le 2e truc important c'est de consommer des produits pour améliorer une soirée qui s'annonce déjà incroyable. Si tu as un truc prévu dans 2 mois avec tes potes et que tu sais que ça va être délire, prendre un para pour passer une soirée encore mieux ça peut pas faire de mal. Si par contre tu te fais un peu chier en soirée, une bière à la main, et qu'on te propose un para, oui tu vas passer une bonne soirée, mais après ça risque de devenir un réflexe. Je me fais chier en soirée, hop un para et c'est parti. Et c'est une pente assez glissante.
Encore une fois on est tous différents et ce que je te raconte s'applique bien dans mon cas, peut être que certaines personnes ici ont des expériences complètement différentes de la mienne.
Mais vu que j'ai commencé à consommer en étant à peu près dans la même cas que toi, je te conseille de faire cette démarche. Te fixer des limites avant de commencer, et considérer les substances comme quelque chose "en plus", pas comme un truc nécessaire à ton expérience de soirée/de bon moment entre potes.
Ca fait un peu plus d'un an que j'ai commencé mes expériences, et j'en suis très content. Ca m'a permis d'apprendre plein de trucs sur moi, de changer ma façon de voir plein de choses, tout en restant en bonne santé physique et mentale.
Dernière modification par Kamchatka (08 février 2016 à 18:30)
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Pick97 a écrit
Bilan perso rapide: plus mou que détendu, faim, gorge sèche, notion de temps légèrement dilatée, desinhibition légère. Peu être augmenter les doses pour de meilleurs effets mais bof
Et puis ça me donne envie de rien foutre alors je ne suis plus productif du tout et ça nuit à ma passion (je donne un avis subjectif sur quelques pauvres expériences vous fachez pas x)
Ok pour la mise au point, l'ami.
C'est pas moi qui risque de me fâcher. ^^ Voilà longtemps que le cannabis a cessé d'être mon ami... Je constate juste que tu as expérimenté en très peu de temps des effets néfastes que l'on ne constate généralement qu'au bout de plusieurs mois de consommation régulière. Ce que tu décris là s'appelle syndrome amotivationnel, et c'est, en particulier chez les UD les plus jeunes, un effet particulièrement pervers. Je l'ai vécu en tant que consommateur, et je le constate maintenant en tant que prof chez mes élèves qui consomment. Et c'est là que la notion de drogue douce devient toute relative. mais bon c'est un autre débat qui n'a pas vraiment sa place ici.
Espacer les prises, c'est bien, si tu peux t'y tenir. Juste savoir que chez certains individus, les prises ont tendance à se rapprocher inexorablement, quel que soit le produit. On n'a pas tous la même faculté à s'auto-réguler. J'admire ceux qui arrive à s'imposer cette discipline pour rester sans cesse dans la sphère récréative et ne pas déraper dans l'addiction.
A+
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Dernière modification par Syam (09 février 2016 à 13:39)
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Pick97 a écrit
J'ai du en prendre il y a une semaine à tout casser et j'ai vraiment envie d'en reprendre. Parce que le fait de parler des autres produits et le goût de l'expérimentation me pousse à me dire d'aller plus loin avec le cannabis, que je passe à côté de quelque chose.
J'aimerai essayer de voir si ça "ouvre" mon esprit aussi. Voir si je peux avoir un regard nouveau sur les choses, si ce que je produit, mes compositions, en me forçant, peu avoir une saveur différente ou non.
Ce n'est QUE mon avis mais j'ai compris un jour que le cannabis était un leurre. C'est histoire d'ouverture... Mouais. Tout ce que tu créés sous cannabis est magnifique, mais c'est typiquement un écran de fumée. C'est le cas de le dire. Combien de fois j'ai écrit en fumant... ? Sur le moment, j'avais l'impression de toucher au génie. Et le lendemain, j'y foutais le feu en me rendant compte que j'étais à côté de la plaque. Que je n'y étais pas. Très honnêtement, ce que publié de meilleur* a été écrit dans le manque ou dans l'abstinence. Là , j'étais vraiment raccord avec mes tripes.
*[edit= par "de meilleur', j'entends juste "de plus conforme à ce que j'avais envie/besoin d'écrire", c'est pas que je me prends pas pour un autre, hein ! ^^]
Dernière modification par polytoks (09 février 2016 à 19:50)
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Dernière modification par polytoks (09 février 2016 à 19:52)
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Dernière modification par Syam (09 février 2016 à 20:53)
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polytoks a écrit
Je suis vraiment stupéfait de lire des jeunes qui disent que fumer du cannabis ne leur a "rien fait du tout" (sic). Alors du coup je me pose des questions sur le sens du verbe fumer :
Soit ils ont tiré une latte ou deux vite fait, soit ils ont crapoté, et auquel cas, bon, c'est pas vraiment fumer. Soit ils ont fumé le bon vieux soap des banlieues et auquel cas, bon, c'est pas vraiment fumer non plus.
Je veux bien qu'il y ait des organismes résistants au THC, mais je n'ai jamais connu personne en 15 ans, parmi tous les gens ayant fumé en ma présence (et il y en a eu une belle cohorte) qui soit resté insensible à ne serait-ce que quelques lattes de White Widow ou de Jack Herer. Et encore, ce sont là des "vieilleries" des années 90 qui ne contenaient "que" 15% de THC environ. Quand je vois les taux stratosphériques de THC que contiennent les dernières générations de Kush ou bien certains Noïds, je me dis que celui à qui "ça ne fait rien de tout" n'a pas dû s'y prendre comme il faut.
Et au fond, c'est peut-être pas plus mal.
Je te rejoins. Moi qui ne fume qu'en descente, jai la chance d'avoir un ami connaisseur... un bon bedo te casse la tronche.
Et d'accord aussi pour dire que les prods dil y a 15ans ben cetait autre chose
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