Explosion de la conso de legal high à  Edimbourg 

Une association de services « Crew 2000  » a déclaré que la  prévalence des substances dangereuses, qui sont largement disponibles sous le comptoir dans une série de points de vente à  travers Édimbourg, a doublé chez ceux qui utilisent ses services lors de la dernière année seulement .

Les statistiques chocs  montrant un toujours plus grand nombre d'utilisateurs ont été présenté alors que le gouvernement écossais et le NHS Lothian ont émis dernièrement des avertissements sur les dangers de ces composés toxiques, qui ont été liés à  une série de décès à  travers le Royaume-Uni.

Dr James Cher, un toxicologue consultant au Royal Infirmary, a déclaré que les patients admis à  l'hôpital après avoir pris des legal high devenait un phénomène de plus en plus régulièr,  et que ces drogues provoquaient douleurs à  la poitrine, agitation, agressivité ou fièvres.

« C'est une chose assez commune pour nous de traiter les legal high et cela devient de plus en plus commun  », a t-il dit . «Ce qu'il y a dedans est très difficile à  dire. Elles peuvent contenir n'importe quoi.  »

«Ces produits chimiques ne sont pas illégales et parce que le paquet dit qu'ils ne sont pas destinés à  la consommation humaine, vous pouvez les acheter assez facilement au centre d'Edimbourg. Mais ces drogues sont pareil que l'ecstasy, l'héroïne ou la cocaïne .  »

De ceux qui utilisent l'accueil « Crew 2000  », drop-in basé à  Edimbourg , 39 pour cent ont déclaré avoir déjà  utiliser des legal high,  23 pour cent en ont utilisé l'an dernier, tandis que 11 pour cent ont dit qu'ils avaient utilisé des cannabinoides de synthèse.

Une personne sur cinq utilisateurs du service dde conseil de Crew 2000 ont déclaré utiliser des legal high , contre dix  % douze mois auparavant.

Dr Dear  a déclaré que parce que ces drogues étaient disponibles légalement, de nombreux utilisateurs supposaient à  tort qu'ils sont en sécurité. Il a ajouté : « Il n'y a pas de contrôle de qualité, bien qu'elles soient légales. Les gens se bercent d'un faux sentiment de sécurité parce que vous pouvez les acheter dans un magasin, mais elles sont tout aussi variables que ce que les gens achètent auprès d'un dealer de drogue.  »

Les résultats de Crew 2000 sur les nouvelles tendances de consommation de drogue ont été présentés lors d'un événement à  Glasgow hier. L'organisme de bienfaisance a dit que sa recherche a également montré que 31 pour cent des utilisateurs interrogés ont admis avoir utilisé une « mystérieuse poudre blanche  », ce qui signifie qu'ils ne savaient pas ce qu'ils prenaient.

James Shanley , manager de l'équipe de réduction des risques liès à  l'abus de substances de la Direction générale de la NHS Lothian, a déclaré qu'il y avait eu une « forte augmentation  » du nombre de patients utilisant des legal high.

Il a dit : « Souvent, ils nous disent qu'ils prennent ces drogues avec de l'alcool ou des médicaments prescrits, ce qui est très préoccupant. Certaines personnes peuvent penser que parce que ces substances sont appelées « legal high  » (euphorisants légaux) , elles sont sûres à  utiliser, mais ce n'est pas le cas.  »

« Dans la plupart des cas, les produits n'ont pas été testés , et on connait si peu au sujet de leur toxicité .  »

Bien que la classification des drogues revienne à   Westminster plutôt qu'a Holyrood, le gouvernement écossais a déclaré qu'il prendrait des mesures pour s'attaquer à  la popularité croissante des legal high .

Le ministre de la Sécurité communautaire Roseanna Cunningham a déclaré: « Le message est clair - les implications pour la santé de  la prise de ces nouvelles substances psychoactives peuvent être tout aussi graves que pour les drogues contrôlées et les utilisateurs agissent comme des cobayes pour des substances non testées et non réglementée.  »

« Nous allons continuer à  travailler avec le ministère de l'Intérieur et  la police écossaise pour mieux comprendre l'utilisation et l'approvisionnement des substances et des options pour s'attaquer à  leur—approvisionnement.  »

Dangers sous le comptoirs

Un Apothicaire, à  Clerk Street, se vend lui-même comme de la vente d'accessoires de fumeurs, des herbes et des "produits intéressants».

Donc, si vous êtes à  la recherche d'un "produit chimique de recherche" pour « une utilisation comme réactif de laboratoire seulement», vous pourriez penser que ce n'est pas le magasin pour vous. Pourtant, selon son emballage,  c'est exactement ce qu'est une poudre blanche de marque Dust till Dawn, en vente dans le magasin pour  £ 15. Une recherche sur Internet et on trouve que la Dust till Dawn est vendue  ailleurs comme des «sels de bain».

Bien que marqué «  Pas pour une consommation humaine  », un site annonce qu'elle va aussi « vous tenir en haleine  à  wonderland», et qu'elle est idéale pour une utilisation avec « des centaines de strip-teaseuses sanguinaire  ».

Sur demande d'une version légale de cannabis chez l'apothicaire, on m'a demandé si je voulais de l'«encens», et j'ai acheté un sac d'une substance ressemblant à  des plantes appelée « Diesel  » pour  £ 5.



Traduction de l'article d'Edhinbourg News : http://www.edinburghnews.scotsman.com/n … -1-3075304