Catégorie : En passant - 27 septembre 2018 à 13:19
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dias a écrit
En gros ce que je veux dire , c 'est que ci on ignorer le fait qu 'une dependance s 'installe on aurais appris a mieux apprecier ou de maniere differente les symptomes de sevrage ! de maniere moins dramatique et pour la grammaire et la conjugaison beaucoup ce serve de Reverso et pour info j ai 35 ans
Saluuut
Tu veux dire que la douleur ressentie ne serait pas automatiquement "comprise" comme une douleur de manque ? Qu'on interpréterait cela j'sais pas moi comme un symptôme de grippe ? Ah ! si seulement ^^
dias a écrit
c 'est bien cela Nills j en parle car mon pere a etait sous tramadol 20 ans a cuase de son dos ; il es rentrer au pays et a arreter du jour au lendemain 150 mg/jour ... il connais mes probleme et je l ai mis en garde avant qu il ne parte je l ai revue 1 ans plus tard et il m a dit avoir ressentit une fatigue es une bonne grippe. L a culture de la dependance et du manque n 'existant pas dans ces moeurs il a donc analyser differement de quelqu'un qui au pris au mots la notice et son syndrome de sevrage !
oui mais attends : je parle de mon point de vue uniquement (ouai en fait je vois pas comment je pourrais faire autrement) mais j'ai pris du tramadol une fois durant une semaine je me souviens plus des doses je piochais dans les réserves de mon meilleur pote, lui aussi sous métha. On lui en prescrivait (du tramadol) pr son mal de dents, bref...
Alors primo ça me faisait rien mais alors rien du tout, d'ailleurs un peu comme mon pote.
Et deuxièmement heu... ah y'a pas de deuxièmement en fait...
Donc je veux dire que ta réflexion peut être vraie pour certains accros au tramadol (en fait je suppose car j'ignore ce que produit un sevrage à ça), mais je peux après coups te dire que non, croire que la douleur/souffrance du manque à la métha ou au sub ou à n'importe quel autre opioïde coriace (genre vicodine, sken' etc...) est en soit peu alarmante et juste "temporaire / ça va passer c'est un rhume des foins" c'est impossible, du moins selon moi. après c'est au niveau du tempérament de chacun bien sûr et du contexte aussi comme l'a précisé un modo mais le manque est automatiquement perçu (comment ne pas percevoir que le syndrome des jambes sans repos est atypique ? Quelle autre "maladie" fait cela ? (sincère question sans ironie aucune)) de + le manque n'est pas que physique, il provoque une dépression qui s'accentue graduellement, et je sais avoir ressenti au moins une fois (et une amie aussi) lors d'un manque poussé ("sevrage" involontaire) une sorte de légère "détresse respiratoire" (mais je pense que c'était psychologique vu la situation que je vivais...)
voilà ^^ je te dis à bientôt et au plaisir d'échanger... sur ce thème du sevrage opioïde je me sens assez utile
bye