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L'addiction on ou en inculque les symptome 



je me suis poser souvent la question

En fait on es dependant car on nous l 'as dit , mais ci nous n avions pas conscience des effet secondaire du a la prise d opiacer , lors des crises de manques aurions nous chercher a en reprendre? .J'ajoute a cela tout le cote dramatique de la chose de ce dire ''''Oh merde je suis dependant va falloir que je trouve ma dose bon c 'est vrai j 'abuse un peu mais y a du vrai''

D'ailleur je me suis toujours dit que dependance a exploser des lors que j ai eu un traitement  bref c est ce que je pense

Catégorie : En passant - 27 septembre 2018 à  13:19



Commentaires
#1 Posté par : Nils1984 27 septembre 2018 à  14:51
bonjour Dias

comment vas-tu ?

c'est intéressant ce que tu dis... alors je suis peut-être à côté de la plaque vis-à vis de ta réflexion mais il se trouve que ce matin au csapa (j'allais chercher une ordo pour ma métha) j'ai discuté avec un vieux briscard de loup, bien plus âgé que toi et moi je pense (enfin je suppose), le connaissant bien, cet homme ne ment pas, je veux dire que quand il enjolive, baratine ou ment ça se voit direct.
Il m'a dit qu'il était en chien depuis lundi soir, et quel manque ! Dosé 120 mg de métha. Ici à Lyon il fait chaud, mais il ne transpirait pas, par contre il douillait grave. à sa façon de se lever et de se rasseoir toutes les 10 secondes je lui  ai dit :
-- Merde vieux... syndrome des jambes sans repos, c'est ça?
Et vu qu'il sourit par l'affirmative, je comprends qu'il faut d'emblée pas l'emmerder à lui poser des questions idiotes comme la mienne. Mais lui me dit:
-- Presque à 6 jours sans metha. Je serais capable de pousser plus loin, peut-être... je l'ai déjà fait.
-- Mais c'est im-po-ssible mec ! (avec le ton et tout et tout hein c'est du gonzo.commentaire là 'tention)
-- ... je sais que même si j'arrivais à vaincre un cold turckey, je céderais au tout dernier memento Je prendrais une dose. Même mes symptômes quasi disparus. (il n'a pas dit ça texto comme ça, mais c'est réellement le même ordre d'idée)

Je n'ai rien dit j'ai juste fait signe de tête affirmatif.
Après j'ai juste dit :

-- Moi aussi. Comme Orphée qui se retourne à la toute dernière seconde.
Il me sourit encore plus vivement... avec cet Ancien, j'ai pas évoqué Orphée pour rien...
-- Pourquoi on y arrive pas ?
pourquoi on cède tjrs ? Ce qui une fois encore rejoint les idées de SPUD, un adhérant de P.A qui m'a marqué...

Merci pr ce partage psychopote

à bientôt j'espère big_smilesalut

 
#2 Posté par : Mascarpone 27 septembre 2018 à  18:57
Salut,

Oui, effectivement, le psycho influe beaucoup sur le physique, preuve en est que les 1ers sevrages ne sont généralement pas les plus durs...Puis, plus on en a subis, plus on sait ce qui nous attend, plus c'est insupportable...

Autre chose, pourquoi on y arrives pas? C'est simple :

Demande à n'importe quel malade chronique souffrant le martyr 24/24 ou même à un simple grippé d'endurer ses douleurs et ses insomnies alors qu'il sait exactement qu'un remède existe qui ferait disparaitre tout son malaise en quelques minutes chrono big_smile , n'importe qui craquerait en 10 secondes ou presque je pense...Et c'est là, à mon avis, tout le problème du manque physique d'opiacés...Après, il y a le craving et l'envie d'après sevrage, mais ça, c'est encore autre chose...
Reputation de ce commentaire
 
sur la même longueur d'onde mais exxprimé différemment ^^ thanks {{A}}

 
#3 Posté par : bazukero 27 septembre 2018 à  19:28
c 'est comme pour beaucoup d alcoolique, le fait d avoir toujours de l alcool a disposition font que certain passesnt des années sans desaouler et ne sont pas  concsient d etre accro physiquement a l alcool, vue que jamais en manque si il picole des le levé jusquau couché. avec la came et la prohibition meme si il n y a plus de preriode de penurie comme dans les annees 80, (la qualité n est plus la mem non plus), mais si ce n est pas la penurie c 'est souvent le manque de tune qui fait que cela reveille le singe et que là tu sais sque tu es accro....
mais tu as qd meme raison regarde tous les gens qui tapaient de la codeine avant la mise sous ordo (souvent pour raison therapeutique plus que recreatif qd ils n on plus eu acces a la codeine librement certain n on pas compris que leur mal etre venait du manque de codeine...

 
#4 Posté par : Artiste de Reve 28 septembre 2018 à  14:58
Bonjour à vous Tous,
                               je réagis à ce que viens de dire Bazukero à propos de la codeine, en l'occurence du Néocodion. J'ai eu une période au début des années 2000 quand je faisais n'importe quoi. Puis désintoxiqué des drogues dures, sauf l'alcool (la pire de toutes!) et le cannabis. J'ai arrété l'alcool et j'ai besoin maintenant de ma dose quotidienne de THC. Je parle de dose de THC car je ne sens presque pas les montées de pécos, alors j'entretiens le taux et j'essaye de faire des économies. Mais quand je n'avais rien il me fallais une ou de préférence  deux boites de Néocodion, j'avais trouvé une pharmacie qui acceptait de me vendre 2 boites à la fois, capital car je suis à la campagne et sans véhicule. Puis après mon addicto m'a prescrit 2 boites par semaine, c'était mieux que rien mais j'ai commencé à en avoir marre. Alors j'ai demandé du Subutex, que je connaissais bien (sniff et iv) pour avoir de vraix bonnes claques. Néant, prescription à 8mg, rien, j'ai essayé 20mg, pas d'effet flagrant. Donc j'ai arrété les opiacés. Dans quelques jours je vais à Lyon et j'aurais l'occasion de prendre un peu de marron, un tiers de gr, environ. Je n'en ai pas pris depuis plus d'1 an et encore c'était symbolique. Mais prudence. Jusqu'à présent j'étais protégé par la codeine qui rendait la marron inopérante.
Ces temps ci je déconne avec la coke ou soit disant et maintenant la 3mmc.
     
             Heureusement je me sens fort pour reprendre la création, que j'ai laissé tomber pendant 1 an. Tout ça pour trouver quelque chose qui me change exceptionelement des sweet pécos, j'ai eu du mal à trouver quelque chose de fort depuis ma campagne. c'est devenu une obsession, alors que ce n'en était plus une. Je ne peux pas rester aussi longtemps sans créer, alors ça devrait aller. Je vous le ferais savoir. J'estime ma reprise du travail à environ 1 mois, mais pour ça il faut que je me libère l'esprit et me contenter de mes pécos adorés et suffisants.

    Salut Dias, je ne sais pas quel age tu as (moi 55) mais je te suggère d'un peu réviser la grammaire, les conjugaisons.
       Ciao à Vous

 
#5 Posté par : dias 30 septembre 2018 à  01:46
En gros ce que je veux dire , c 'est que ci on ignorer le fait qu 'une dependance s 'installe on aurais appris a mieux apprecier ou de maniere differente les symptomes de sevrage ! de maniere moins dramatique smile  et pour la grammaire et la conjugaison beaucoup ce serve de Reverso et pour info j ai 35 ans

 
#6 Posté par : Nils1984 30 septembre 2018 à  04:51

dias a écrit

En gros ce que je veux dire , c 'est que ci on ignorer le fait qu 'une dependance s 'installe on aurais appris a mieux apprecier ou de maniere differente les symptomes de sevrage ! de maniere moins dramatique smile  et pour la grammaire et la conjugaison beaucoup ce serve de Reverso et pour info j ai 35 ans

Saluuut

Tu veux dire que la douleur ressentie ne serait pas automatiquement "comprise" comme une douleur de manque ? Qu'on interpréterait cela j'sais pas moi comme un symptôme de grippe ? Ah ! si seulement ^^


 
#7 Posté par : dias 30 septembre 2018 à  16:04
c 'est bien cela Nills j en parle car mon pere a etait sous tramadol 20 ans a cuase de son dos ; il es rentrer au pays et a arreter du jour au lendemain 150 mg/jour ... il connais mes probleme et je l ai mis en garde avant qu il ne parte je l ai revue 1 ans plus tard et il m a dit avoir ressentit une fatigue es une bonne grippe. L a culture de la dependance et du manque n 'existant pas dans ces moeurs il a donc analyser differement de quelqu'un qui au pris au mots la notice et son syndrome de sevrage !

 
#8 Posté par : Nils1984 01 octobre 2018 à  09:03

dias a écrit

c 'est bien cela Nills j en parle car mon pere a etait sous tramadol 20 ans a cuase de son dos ; il es rentrer au pays et a arreter du jour au lendemain 150 mg/jour ... il connais mes probleme et je l ai mis en garde avant qu il ne parte je l ai revue 1 ans plus tard et il m a dit avoir ressentit une fatigue es une bonne grippe. L a culture de la dependance et du manque n 'existant pas dans ces moeurs il a donc analyser differement de quelqu'un qui au pris au mots la notice et son syndrome de sevrage !

oui mais attends : je parle de mon point de vue uniquement (ouai en fait je vois pas comment je pourrais faire autrement) mais j'ai pris du tramadol une fois durant une semaine je me souviens plus des doses je piochais dans les réserves de mon meilleur pote, lui aussi sous métha. On lui en prescrivait (du tramadol) pr son mal de dents, bref...
Alors primo ça me faisait rien mais alors rien du tout, d'ailleurs un peu comme mon pote.
Et deuxièmement heu... ah y'a pas de deuxièmement en fait...
Donc je veux dire que ta réflexion peut être vraie pour certains accros au tramadol (en fait je suppose car j'ignore ce que produit un sevrage à ça), mais je peux après coups te dire que non, croire que la douleur/souffrance du manque à la métha ou au sub ou à n'importe quel autre opioïde coriace (genre vicodine, sken' etc...) est en soit peu alarmante et juste "temporaire / ça va passer c'est un rhume des foins" c'est impossible, du moins selon moi. après c'est au niveau du tempérament de chacun bien sûr et du contexte aussi comme l'a précisé un modo mais le manque est automatiquement perçu (comment ne pas percevoir que le syndrome des jambes sans repos est atypique ? Quelle autre "maladie" fait cela ? (sincère question sans ironie aucune)) de + le manque n'est pas que physique, il provoque une dépression qui s'accentue graduellement, et je sais avoir ressenti au moins une fois (et une amie aussi) lors d'un manque poussé ("sevrage" involontaire) une sorte de légère "détresse respiratoire" (mais je pense que c'était psychologique vu la situation que je vivais...)

voilà ^^ je te dis à bientôt et au plaisir d'échanger... sur ce thème du sevrage opioïde je me sens assez utile big_smile

bye


 
#9 Posté par : dias 04 octobre 2018 à  14:42
j ai souvent discuter avec ceux qui taper de la came avant les tso , et eux me parler d une semaine voire '4 jours  de mal ; apres ce  n 'est qu un raisonement une reflexion ^^

 
#10 Posté par : Rick 04 octobre 2018 à  18:24


Tu peux remplacer nicotine par opiacé et récepteur mu (µ)

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