Le manque est la comme une bête grimpante
Et moi
Faut-il qu'il me tourmente
Il s'adresse à moi comme une nymphe sussurante
Me rappelle a la substance comme une mère bienveillante
Tu n'es pourtant à mon plafond qu'une araignée persistante
Je suis pas une grande poète mais je voulais partager haha. Depuis mes excès de
benzodiazepines, je ressens le manque ou des effets rebonds tous les jours, des fourmillements, des vertiges. Je m'habitue, ils sont devenu des compagnons familiers qui je sais ne vont pas durer.