Catégorie : Carnet de bord - 30 septembre 2023 à 20:29
#alprazolam #benzodiazépine #bromazepam #déréalisation #dissociatif #morphine #oxycodone #tramadol
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4d 6f 72 70 68 65 61 a écrit
Chère Orpha, ne succombe pas à la fausse beauté de cette douleur, mais résiste à la tentation qu'elle revêt.
Salut,
Désolée je me permet d'intervenir d'où elle belle et tentante la douleur ??
Pour moi ce n'est pas un choix de souffrir et être écrasé par une douleur qui ronge...
cependant a écrit
4d 6f 72 70 68 65 61 a écrit
Chère Orpha, ne succombe pas à la fausse beauté de cette douleur, mais résiste à la tentation qu'elle revêt.
Salut,
Désolée je me permet d'intervenir d'où elle belle et tentante la douleur ??
Pour moi ce n'est pas un choix de souffrir et être écrasé par une douleur qui ronge...
Hello
Je comprends que l'idée selon laquelle certaines personnes se complaisent dans leur propre douleur puisse sembler difficile à saisir. Cela peut sembler contre-intuitif, voire même auto-destructeur. Il existe plusieurs raisons pour lesquelles cela peut se produire. Pour certaines personnes, la douleur peut devenir familière et même confortable. Vivre dans un état de souffrance chronique peut devenir leur zone de confort émotionnel, où tu peux te sentir sécurité malgré la douleur. Envisager une vie sans cette douleur peut être terrifiant.
Parfois, cette douleur mentale peut découler de schémas de pensée autodestructeurs, où l'individu se retrouve piégé dans un cercle vicieux de souffrance. Même si cette douleur mentale peut sembler insurmontable, il existe des moyens de la surmonter ou de l'atténuer, chacun à sa façon, ainsi que de ne pas perdre espoir.
Il est également important de reconnaître que certaines personnes peuvent naître avec une prédisposition à la douleur mentale, qu'elles ne choisissent pas.
Je comprends que la douleur puisse être perçue différemment selon les individus et les situations. Ta réaction à mon message est tout à fait personnelle, et je respecte ton point de vue. En effet, la douleur n'est pas une beauté à laquelle on devrait succomber, mais plutôt un défi à surmonter.
Je tiens à souligner que mon message était un conseil, une invitation à résister à la tentation de trouver une certaine fascination dans la douleur, plutôt qu'une affirmation de sa beauté. La souffrance peut être une réalité difficile à affronter, mais elle ne devrait pas être vue comme une fatalité. Chaque personne ressent et traite la douleur différemment, en fonction de son vécu, de sa sensibilité et de ses ressources personnelles.
J'espère que cette réponse t'a mieux aidé à comprendre ma phrase précédemment donnée et pourquoi je l'ai écrite.
j'espère aussi que ce message t'aidera si tu y trouve une réponse.
Amicalement,
4d 6f 72 70 68 65 61
"Rien ne vaut rien. Il ne se passe jamais rien et cependant tout arrive. Mais cela est indifférent."
Nietzsche
J'ai maté récemment un doc sur "les naufragés des Andes", et l'un des rescapés a dit un truc que je n'oublierais jamais : "jusqu'où on peut porter en soi cette douleur" ? Jour après jour, nuit après nuit, il n'y avait pour eux plus aucun espoir. Pourtant l'espoir est - à la toute fin, quand tout semblait foutu - revenu. Et ces braves ont été sauvés. On ne sait pas, on ne saura jamais ce que l'avenir nous réserve, mais garde espoir Orpha... je sais, c'est + facile à dire qu'à faire, mais ce n'est pas un p'tit fils de bourge qui tente de t'encourager, c'est le fils d'un authentique prolétariat.
Je continuerais de te lire assidument Orpha. N'abandonne pas, tu n'es pas aussi seule que tu le crois, même si ça reste du virtuel ; t'aideront ici-bas des cœurs qui battent - et des esprits éclairés en base arrière...
Fraternellement :)