Bienvenue dans les méandres, sinuosités de mon esprit torturé par le vide anciennement torturé par des pensées mais la drogue m'a appris a ne plus penser à rien, vider ma tête et me sert même à jeun.
Ce "récit" n'est pas de l'autobiographie mais de l'auto-mutilation un terme fort, qui résume une partie de ma vie. (Ou la mangeure partie)
Un roman à l'eau de rose dont mon coeur filtrerais les paroles, j'aimerais bien mais l'amour me fuit.
Un sketch humoristique qui ne ferais rire que moi,
sarcastique, une histoire dramatique certains dirais que oui mais je ne suis pas d accord, tellement d'hommes qui se bouffent entres eux autant que femmes
et enfants qui meurent de faim, la maladie qui se faufile et qui touche n'importe-qui et n'importe quoi. néanmoins importe-qui se fait soigner,
la vie est une chienne qui dévore ses petits les plus vulnérable, parce que dans la vie les puissants restent et les faibles se font engloutir.
Au fond les plus puissant sont les plus faible et les plus affaiblies ont une force que seul le malheur forge, instinct de survis ou pas, si je continue comme ça, dramatique seras.
Quand la réalité deviens fiction, et pas l'inverse, quand "la société" je ne sais toujours pas les quelles, dirigent nos vies nos esprits, alimentent nos craintes,les engraissent...
Se permettent de juger de ce qui est bien est mal en fonction de codes lointains, tout et calculé (était?) si tu dépassent leurs limites floutées par leurs reflets
aveuglants ou je ne distingue que la merde dans ce contre-jour, t'es cuit, catalogué, étiqueté, trié et rangé ou jetés comme des dossiers qui s'entasseraient sur le bureau d'un juge, comme des jouets, tel des pantins désarticulés ou des produits bientôt périmés.
Réprimés pour avoir voulu mener nos vie comme l'on
entendais, il ne suffit pas d ’entendre pour écouter, et sûrement pas de voir pour comprendre en tout cas il faut y goûter pour aimer...