Au milieu de cette foret,
Les chants d’oiseaux vibraient,
Entre les chênes,
Et les feuilles du mois de mai
Mais aux regards du gibier
Je me laisse aller,
Traine du pied,
Sans véritablement savoir où aller,
Je cherche et je me haie,
Là où l’effet de ces feuilles séchées,
Percute ma haine et me laisse lésée,
Des questionnements sans grande volontés,
Peut-être une envie de se blesser.
Mais mes lèvres gelées mon dégoutées,
Au milieu de cette foret,
La passion ma fais sortir de la pâmoison…