Une Addiction aux alpha-PXX 

Si autrefois je consommais de du speed de manière excessive, un jour je suis passé à la vitesse grand V avec la methamphétamine et ça été une "grande" découverte, surtout le fait de pouvoir fumer un stimulant et en jouir m'avait frappé. Le temps est passé et comme un rat de labo il me fallait ma dose de dopamine chaque semaine. Parfois la coke venait s'inviter dans ce bal du délabrement mais ça restait excessivement chère. Puis un jour, j'ai commandé de l'alpha-PVP alias flakka, le flash était ce que je recherchais depuis le fond de mon subconscient. Et cette molécule ainsi que ses analoques comme l'a-PHP m'ont pris de court. Que de sessions jouissives mais aussi, pas plus de 5 jours sans en fumer. Le porte-monnaie a pris un coup et ça continue, mais il en faut toujours plus, le craving l'impose, il impose ce qui définit ma vie. Entre les prises excessives, je vis avec des angoisses sans objet et je compense à coups d'anxiolytiques. Restant amorffe  sur mon lit à mater des séries, ne s'occupant plus de rien ou presque, sauf se procurer. Toutes mes passions comme la botanique, la photo et le jardinage sont déchues... Si vous aussi vous vous retrouvez dans cette description, venez témoigner. Je termine par, "vivement mon pochon d'a-PVP d'ici 4 jours difficiles à vivre".