je dois dire que jusque là je n'avais pas imaginer que je pourrais écrire si quelqu'un pouvais un jour me lire mais cette page m'as permis de le faire sans me soucier de l'autre, d'abord grâce à l'anonymat puis aussi à la liberté de se libérer de souvenirs qui nous habite en acceptant de lever les préjugés car même si aujourd'hui on a la permission de parler du problème que pose la dépendance, les drogues il manque la possibilité de réagir par soit même or l'écriture est un bon moyen de se projeter dans le réel de se fire exister de son propre choix.
bref, je pense que viser l' arrêt ne permet de s'en sortir que si on a le temps de vivre jusqu'a voir l'instant qui s'empare de nous et se réalise, et donc l'arrêt en lui même peu avoir l'effet de nous culpabiliser lors des rechutes et finalement de ne plus s'estimer soi-même ce qui retarde forcement le processus
la conduite la moins fatal reste la connaissance de la possibilité de réduire les risques pour pouvoir se voir un jour quel que soit le temps endurer retourner au monde et le vivre sereinement le temps qui reste.
la
réduction des risques est le moyen raisonnable de ne pas mourir avant de s'en sortir. bon avec les drogues le risque existe toujours mais en s'efforçant de ne pas subir les dommages collatéraux donndommages collatéraux permet de vivre la drogue en se donnant le temps d'arriver à s'en sortir.