part 3 : mare de courir ! mare de chercher mare d'attendre! 

Un lundi social, de l ’énergie sponsorisé par l ’État, faudrait-il encore une formule magique pour transformer cet apport financié fantastique en énergie psychédélique.
Deux jours frustrés, elle est bien loin la lumière, l'impression d'avoir trébuché, les paumes en avant, les genoux écorchés, la face à  terre.
Juste de quoi observer mon propre but, mon seul échec, ma dépendance à  l'ignorance...
Je me sens comme une machine
mon seul carburant, mon héroine
J'erre, je range, j'avance, je ne survie...
Qu'avec du Sans-Plomb coupé à  la transpi.
Je me sens si seule et entouré des meilleurs à  la fois.
Je voudrais sniffer du bonheur...
mais ce bruit d'aspirateur rend beaucoup plus dur mon labeur
J'ai mal au corps, mes muscles spasment, je tremble encore...ma motive se fâne.
Bienvenue dans ce monde de névrosés codéinés!!!
Envoyer ces gens se perdrent dans leurs subconscient, déconcertant et dénué de toutes logiques... leurs pseudo épopées parapsychédéliques.
Je fais mon grand retour après l'abscente; un dimanche 7h18, je m'apprête à  retrouver mon exutoire; de 2 heures de sommeil je m'éclipse,
arraché à  mes doux rêves par ce passé leucocytes
Je ronchonne, me fait un café, couvre la petite, je souris, j'existe.
Je t'accorde une pensée.
Je t'imagine cernes de fin de soirée, visage ravagé.
Ton objectif...se dégrader peu à  peu,
ton regard se détourner de l'éternité
je n'ai pas fait mieux
Je ne suis pas plus loin
Je veux juste quitter ce milieu
Profiter de mes prochains demains
Il est 8h28
Je pique de moins en moins du nez
J'ai de plus en plus cette sensation de réalité
toi; ô marchand de sable
Reprend la ta poudre
J'en veux plus de ta codéine sécable
Rien à  foutre de te voir te dissoudre
Si on pouvait combattre la morphine
Avec une putain de bar amine
Arrêter de respirer du rêve
Arrêter d'arrêter, respecter cette satanée trêve
Se suffir de Juvamine
Cesser de confondre cette merde avec de la vitamine.