Un beau lundi nous dispense de son trafic de fin d'après-midi, 18h43,l'heure de récréation de mes humeurs,mon esprit a dû atteindre son pic de pollution...à vos stylos...enclenchement du régulateur, j'ai déjà dépasser toutes les limites; plutôt celles disponibles...
Toi, je t'es croisés, pas par hasard mais d'une pulsion effrénée je te proclame compagnonne de route et d'infortune du jour.
Je te sent, je te hume que les frissons que tu me procures sont déjà en moi.
la porte entrouverte...
La lueur traverse le carreau d'une fenêtre
Une sonnerie stridente et c'est l'effervéssence...
J'ai encore le choix
le mien est de dormir ou de rester, de palir ou de bronzer
Mais si je suis sous son contr^^ôle, c'est son choix à lui aussi, l'autre qui se joue de mon ambition
Regarder au lieu d'écrire, ces ondulations interminables...il se marre...
Le malin!
A mon tour de rire en frollant mon visage, ma main se mouve de sorte d'apercevoir le fluid à chaque écarquillation de mes doigts.
Un long silence et il en va de ma comtemplation...tous ces mots, toutes ces lettres semblent être aspiré vers le milieu de ce cahier.Merci mon acide lysergique pour se voyage...
Enchanté Albert...je m'abandonne à tes côtés, merci pour le mal de tête.
Je m'éveille un presque mercredi, je suis presque bien, j'ai presque faim
il fait sombre par mes rideaux
il pleut au carreau...
Je refuse de me lever pour aller sentir cette odeur de pluie, d'orage de chien mouillé...
Cette saveur spécifique qui me rappelle la plage...je préfère l'imaginer...ne pas etre déçue.
J'esquisse un sourire...un frisson de bonheur...pouvoir revivre un souvenir...pourrait-on se satisfaire de
flash-back antérieur?
Je pose mon stylo adoré, mes quatres pas de la journée, je vais prendre ma route, absorbe mon itinéraire...
"recours" sur fenêtre, un homme en rouge toxique se presse sous cette pluie kérosène attipique.
J'ai des relans de flashs...cette folle furieuse course en voiture, tu m'as présenté ta montagne et ne l'a pas fait a demi-mesure
ta féline folie perchée...de ses miaulements saccadés
Toi, moi, un peu de rêve , faisons le mur
Sortons à bras le vent de cette matrice habitude
Regarde, comme à contre-courant ils semblent se complairent de cette récurrente somnambule.Des automates...
Tourne à gauche, attention aux Smiths
Pour ne pas se faire repérer
Vite, coup de fil à Morpheus, repère une cabine, la pilule rouge, laissons nous débrancher...
Les aromates...pendant que l'eau se porte à ébullition...
Des patates...pour remplir le vide qu'a engendré mon imagination.
Ce même mercredi et quart, toujours de mon même point d'observatoire, au fur et à mesure que la réalité se pose aléatoire, rapiéçant mon tissu cardiaque de prose comme un mémoire, t'ai-je perdu? mon autre toi,
ma substance naturelle...
"Je réponds par texto a ton heroic sortie de scène...qui se vide...les spectateurs s'éclipsent...écoute le bruit sourd de mon applause...t'es ridicule mon clown, enlève ton maquillage, le mal qui se trame ne se joue pas avec des artistes amateurs.Et sur ce, le rideau jle décroche , déchire et brûle et si j'pouvait me torcher avec !!
mon amour, mon coeur, mon confident, meilleur ami, mon tout...adieu"
Merde!! Qu est ce que t'aurais voulu que je réponde à cet affront? J'ai ouvert mon coeur...t'as pris la porte de derrière. J'ai l'impression que le seul amour qui ne me quittera jamais sera ma drogue...
Je suis en manque, je t'attends depuis un quart de jour et une heure.
Un attente que tu as subi également cher confident du samedi naissant...
tu es reparti, elle est revenue...ma caro!
ton absence est comblée?
Est-ce que l'amour s'en ai aller?
J'évite la réponse...je tourne autour du pot
Je ne suis pas ta priorité, je ne dois pas faire de toi, une des miennes et puis je vis toujours...même sans toi ,regarde, je respire.
Une proie parmis les vautours, ce compte à rebour, son mecanisme enrayé, ne peut que me laisser souffler.