Et voila le suivant déterré des tréfonds du passé, à l'époque c’était mon préféré, mais à la relecture autant j'adore la musicalité du début autant je trouve la fin bancale, voire un peu téléphonée... D'ailleurs si quelqu'un a quelques conseils d'écriture! (Faudrait p'tet juste que je me remettre à lire un peu de vraie litterature, j'voulais lire Howl de ginsberg mais j'arrive pas à trouver le ebook en fr.
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Ma prison:Envolé, le fantôme qui a plané sur toi, passée, la première vague de chaleur, alors même que tu retires l'aiguille, plus qu'un léger picotement dans le bout de tes doigts, sac et ressac et puis plus rien, tu touchais presque la plénitude, maintenant voila le grand vide, avec son ombre froide et mordante, cette petite boule dans le creux de ton ventre, qui te dévore, te déchiquette, déchire lentement tes entrailles, et recrache son poison; s'insinuant dans le moindre recoin de ton être, rampant au creux de tes veines sclérosées, ses noms sont légion, celui-ci est manque, il est ton frère, ton démon, le virus qui ronge ta santé, celui qui te borde le soir dans ton lit de misère, te tire du lit le matin avec sa main de fer, met le feu a tes muscles, et te susurre a l'oreille, le mot le plus doux jamais fait sur la terre, douloureux a entendre dans ce corps de douleur, et pourtant plein de promesses qui réchauffent le c œur, ses noms sont légion, on l'appelle Héroïne, elle est ton vice, ta passion, ton fardeau de douleurs.Malheureusement les deux seuls texte de l'epoque retranscris sur support info, tout le reste est quelques part dans 3 ou 4 grands cahier Oxford format A4, mais ou? Impossible de me rappeler...