Entre la chaleur de l’été, les conversations parentales sur mes études, les nuits en chien de fusil ou rien n’a de goût, les travaux accentuant le marteau piqueur dans mon crâne et le frelon ayant fait des nids dans le revers de ma fenêtre contre laquelle il met des coups de boule, sans oublier le goût de mon palais devenu métallique par la
ketamine sensé anesthésier mon cœur tout cela rend l’atmosphère pesante, étouffante.