Dernière modification par ismael77 (09 janvier 2020 à 13:06)
Catégorie : Tranche de vie - 09 janvier 2020 à 12:55
#rave #police #justice #héroïne #techno #violence #cannabis
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Anonyme813 a écrit
J'aime ta manière d'écrire aussi.
merci, ça me va droit au foie!
J'ai connu Virginie, qui doit avoir quasi mon age, par Coralie Trin ti, compagne de mon meilleur ami, à l'époque de "baise moi" le film.
Je ne suis pas lecteur, je préfère en France, Philippe Jaenada, ou bien des histoires vraies, j'ai du mal avec les fictions, et ce nom Vernon Subutex, déjà ça ne va pas.
Soit on raconte des choses incroyables mais vraies, soit il faut être crédible et faire vraisemblable.
Mes histoires, si ce n'était pas moi, je n'y croirais pas!
D'ailleurs personne. Et c'est ça qui fait que le récit devient une proposition de voyage, en ma compagnie, mais le vrai raconté est déjà lu avec d'autres yeux, il ne m'appartient plus.
J'ai un autre blog magazine, sur la religion et le thème du bouc émissaire (Junkie, marginal), Calimero met les gants de boxe.
Un projet de podcast en anglais sur Youtube,
mais il faut des images, des dessins par ex.
C'est la mode aux US les podcast et sur le sujet, ils y en a plein, mais toujours morale AA NA...
Et, puisque, malgré le fait que Zola publia son oeuvre en roman feuilleton, il faut, pour être "écrivain", publier un livre. Mais un 100ème témoignage sur "l'enfer de la came" non merci.
J'ai une autre histoire, en lien, mais plus grande qu'un réservoir d'insuline. J'ai commencé ce matin! Ca se passe entre 1992 et 2000.
Donc ton compliment tombe bien!
merci!
L'époque où j'ai grandi, avait des bons côtés, le quartier populaire, sans racisme, et la liberté, le wild Paris, que j'ai aimé, de toute son odeur de gomme cramée des pneus du métro, au banc verts sur lesquels ont s'asseyait, mais les pieds sur le siège, et la capsule de cet ancien modèle de 1664 en verre consigné qu'on faisait valser, d'un coup de briquet...
Tu me manque mo Paris, tu t'es vendu, et je t'ai retrouvé de l'autre côté du périph, et là tu me jettes, pres de la source; la frontière espagnole, où passe la coke...
ismael77 a écrit
vraies, j'ai du mal avec les fictions, et ce nom Vernon Subutex, déjà ça ne va pas.
Soit on raconte des choses incroyables mais vraies, soit il faut être crédible et faire vraisemblable.
Mes histoires, si ce n'était pas moi, je n'y croirais pas!
D'ailleurs personne. Et c'est ça qui fait que le récit devient une proposition de voyage, en ma compagnie, mais le vrai raconté est déjà lu avec d'autres yeux, il ne m'appartient plus.
Et, puisque, malgré le fait que Zola publia son oeuvre en roman feuilleton, il faut, pour être "écrivain", publier un livre. Mais un 100ème témoignage sur "l'enfer de la came" non merci.
Je peux comprendre qu'on puisse avoir soif d'authenticité mais de là à ne tolerer que les textes biographique..
L'enjeu lorsqu'on lit un livre ce n'est pas de devoir être convaincu de la réalité des faits. Penser comme ça c'est se fermer à un pan énorme de la littérature.
Chaque biographie est dans une certaine mesure romancé et chaque fiction est inspiré de la réalité. La beauté du roman c'est justement cette balance entre des intrigues fantastiques et des moments crédible où le lecteur pense que ça pourrait se passer dans la vrai vie et où il s'identifie aux personnages.
La triologie Vernon Subutex raconte la période punk rock des années 80 en France. Je n'ai jamais vu une auteur parler si bien de la rue et de la drogue que Virginie Despentes. Ce n'est ni trop complaisant ni trop dur, c'est à l'opposer d'un énième Christian F..
Ça transpire l'authenticité, ça se voit qu'elle a traversé ces addictions.
Anonyme813 a écrit
L'enjeu lorsqu'on lit un livre ce n'est pas de devoir être convaincu de la réalité des faits. Penser comme ça c'est se fermer à un pan énorme de la littérature.
Je ne parle que pour moi, j'admire les romanciers;
tout à fait d'accord seulement je n"y arrive pas j'ai l'impression de ne pas pouvoir ne serait(ce que changer un nom ou en inventer un ou passer du je au il, c'est du roman et c'est un dilemme et il faut du neuf de l'invention narrative.
En fait ce que je cherche n'est pas le vraisemblable mais le roman du réel. Conscient de la mythologie personnelle !
Je prépare un récit de voyage d'aventure réel et j'ai demandé aux "acteurs" l'accord (un délit et un nom connu) mais pour l'adultère c'est abusé. Pas de 'révélations' dommage pour le récit.Le roman permet de dire des faits mais ils se reconnaîtront !
Anonyme813 a écrit
Chaque biographie est dans une certaine mesure romancé et chaque fiction est inspiré de la réalité. La beauté du roman c'est justement cette balance entre des intrigues fantastiques et des moments crédible où le lecteur pense que ça pourrait se passer dans la vrai vie et où il s'identifie aux personnages.
Super phrases !
très bien dit, j'aimerais me libérer mais je n"écrit que des réflexions en lien avec l'histoire et la mienne et je ne suis pas prêt sauf pour l'humour.
l'histoire rencontre celle de ma famille et j'ai essayé la saga sur 3 générations la shoah, 68, et le tabou qui ressort par ma voix, déjà vu. Témoignage tox, aussi, alors une histoire de voyous et d'amour sur fond de guerre en Bosnie... La narration, c'est ce qui compte. J'adore écrire sur la bible et le récit des origines en passant de Moïse à Freud...
Mon livre préféré : le vaisseau des morts de Traven et un autre américain histoire vraie d'un marin, incroyable. J'aime bien Jaenada. Et plus des sommes et des connaissances que la fiction par exemple j'adore les bio de Zweig plus que les romans. Il en faut du talent et du taf!
Junon a écrit
La triologie Vernon Subutex raconte la période punk rock des années 80 en France. Je n'ai jamais vu une auteur parler si bien de la rue et de la drogue que Virginie Despentes.
Sérieusement? Despentes?.. elle est si bien écrit cette trilogie..?..
Rick a écrit
Junon a écrit
La triologie Vernon Subutex raconte la période punk rock des années 80 en France. Je n'ai jamais vu une auteur parler si bien de la rue et de la drogue que Virginie Despentes.
Sérieusement? Despentes?.. elle est si bien écrit cette trilogie..?..
Moi je trouve le Roman bien écrit et l'intrigue à la hauteur. Je ventais surtout le roman sur son propos concernant la rue et de la drogue, certaines punchlines me reste en tête et décrivent parfaitement le truc. Même les lignes à propos de politique / société sont pertinentes.
C'est peut être pas la trilogie du siècle mais elle ne mérite pas d'être balayé avec mépris juste au titre. Après c'est surtout que le bouquin m'a touché, il m'a parlé, ça influence peut être ma critique, mais le premier tome mérite au mois d'être lu.
Après Despentes à eu un Renaudot en 2010, c'est pas une écrivaine de bouquin d'air de repos non plus.
Junon a écrit
C'est peut être pas la trilogie du siècle mais elle ne mérite pas d'être balayé avec mépris, je trouve qu'elle mérite d'être un peu défendu. Après c'est surtout que le bouquin a touché, il m'a parlé, ça influence peut être ma critique, mais le premier tome mérite au mois d'être lu
nan nan au contraire DESPENTES tout le monde lui suce les gonades mais d'une force, genre c'est devenu impossible de trouver une discussion sur le féminisme sans qu'on cite king kong theory etc
En gros c'est le harry potter pour le féminisme
mais je ne savais pas qu'elle avait aussi réussi à devenir le tolkien des années 80 et de la rue, c'est cool
le mépris il est là où tu veux le voire poto, moi j'ai pas lu commment je pourrai juger des oeuvres que je n'ai même pas ouvertes ..
Après Despentes à eu un Renaudot en 2010, c'est pas une écrivaine de bouquin d'air de repos.
ahhh comme YANN MOIX?!
je comprends mieux c'est la nouvelle grande du game
vu les légions d'adorateurs
ok ben moi je ne juge pas sans lire, donc on verra bien.
je crois qu'on a offert la trilogie à filousky et il avait décroché assez vite, je lui emprunterai la prochaine fois
biz
ismael77 a écrit
et ce nom Vernon Subutex, déjà ça ne va pas.
Le mépris ne concernait pas ton message mais celui d'Ismael , je répondais au deux en même temps, désolé du quiproquo.
Rick a écrit
DESPENTES tout le monde lui suce les gonades mais d'une force, genre c'est devenu impossible de trouver une discussion sur le féminisme sans qu'on cite king kong theory etc
En gros c'est le harry potter pour le féminisme
Je suis assez d'accord, Vernon Subutex à au moins le mérite d'avoir des réflexions de droite, le roman n'est pas un pamphlets gaucho-feministe écoeurant.
Rick a écrit
Après Despentes à eu un Renaudot en 2010, c'est pas une écrivaine de bouquin d'air de repos.
ahhh comme YANN MOIX?!
je comprends mieux c'est la nouvelle grande du game
vu les légions d'adorateurs
lol, elle a au moins eu l'outrecuidance de quitter le jury du goncourt cette année
Rick a écrit
ok ben moi je ne juge pas sans lire, donc on verra bien.
Sage parole, on se rejoint sur ça. Je voulais juste partage ma lecture au départ
Anonyme813 a écrit
ismael77 a écrit
et ce nom Vernon Subutex, déjà ça ne va pas.
Ce n'est que mon impression moi j'ai trouvé un nom propre un seul Shibbouleth Balagan. Support imaginaire au rendu réel meilleur! Mais on est pas tous doués!
je n'ai pas pu lire le texte à cause de ce titre, c'est comme Adolf Bayer-Mariani, c'est pas sa faute c'est que je ne peut fire aucune identification aux perso. ni y croire. C'est mon problème je ne critique pas. Je bute sur les noms propres inventés, car un nom c'est tellement il faudrait écrire à l'américaine, un homme, une action, une idéologie, valeur (courage liberté, western cinéma et livres d'action.
J'ai du mal avec les romans. Dommage je me limite.
Anonyme813 a écrit
La triologie Vernon Subutex raconte la période punk rock des années 80 en France. Je n'ai jamais vu une auteur parler si bien de la rue et de la drogue que Virginie Despentes
Ben ça se passe qd mm de nos jours... l'ambiance 80's c'est lié a leur passé, aux flashback, mais le gros du livre dépeint notre société actuelle...
y'a du name drop de tt les cotés, avc bcp de vieux sons,mais elle cite aussi bien du Cohen,que du Britney Biatch (g de la tendresse pr elle depuis son petage de lomb à la tondeuse... ) ou du rap...
Et mm si c'est pas de l'elctro a la base que mixe le protagoniste ca part en mode free parteux donc...
Le coté feuilletonant ca se lit bien, mais mm si ct plaisant ça finira pas dans les annales, je pense..
ya eu une grosse hype dans le milieu parisien à la sortie de ces bouquins, et elle commence a etre plus "acceptable" sur les plateaux tv ou autre
elle a bénéficié d'une sacré médiatisation, ls ont mm fait une série Canal sur les bouquins...
La punkette devenue mainstream, malgré elle...
(d'ailleurs je iens de percuter, mais c un des thèmes récurent de la triologie, le post punk, les marginaux ont rangé les docs coquées et pointent tout les matins au taff, comme mr tout le monde...)
Anonyme813 a écrit
Je peux comprendre qu'on puisse avoir soif d'authenticité mais de là à ne tolerer que les textes biographique..
c'est juste mon ressenti en tant que rédacteur, et en tant que lecteur c'est autre chose qu'un jugement de valeur.
Désolé je déterre des commentaires, mais ça fait longtemps que j'ai rien posté donc je fais le point et mon autocritique pour voir si je continue sur psychoactif ou si je reste sur les concours d'écriture, ce que je fais depuis, et qui me permet de ne plus m'enfermer dans le sujets de la drogues et des camés.
Je me rend compte que les critiques sont la plupart du temps (et tant mieux qu'il y en ait) on a du à un mal entendu, du à la forme plus qu'au fond sur lequel, en général je suis assez d'accord avec le commentaires.
Cela m'aidera donc à être plus clair!
désolé pour les retours c'est pour en finir avec les écrits passés et passer à autre chose sans répéter les mêmes erreurs d'expression, de jugement, de ma part.
Sans pour autant me dédire tout le temps, il n'y a pas de texte que tout le monde comprend exactement tel que j'ai voulu qu'il le soit. Ou peu. C'est ce que je recherche ce matin, c'est vrai que je pourrais m'abstenir de l'écrire, mais après tout c'est mon blog et ça me sert à ne pas avoir à tout relire une autre fois, si je veux j'irai directement là, pour voir comment j'ai clos le topo et l'échange qui s'en suivit. Et même, en suite avoir un aperçu du recul que j'ai pu ou pas prendre depuis.
Je ne fais jamais lire quoi que ce soit à personne que je connais pas de lecteur alpha donc difficile de me rendre compte d'où j'en suis maintenant de mon itinéraire 'littéraire'. Après j'avais déjà répondu...Superflu pour vous mais superglue pour moi, les écrits restent...
Alors même quand on teste et qu'on est pas compris (ma faute est donc là, à corriger) il me faut séparer ce que je garde en assumant et ce qu'effectivement j'ai tapé à côté.
Merci pour les avis, critiques (pas le mépris quand même! Je ne fais de mal à personne cela reste mon avis sur mon expérience de vie et je le partage sans penser autre chose que poser cela. Parfois pour moi, comme je fais ici en bas donc il n'y a aucun mal à ça et les critiques mêmes dures sont les bienvenues tant qu'elles restent polies et respectueuses).
Si je n'accroche pas je le dis mais ce n'est pas toujours ce qu'on y lit, que j'ai pensé exprimer, par contre cela me montre ce qui pourrait être corrigé.
donc faut pas hésiter! Mais pas non plus confondre l'auteur, son intention et son expression. Ce qui est dur quand on connaît le sujet, et encore plus si on a connu l'auteur!
Forcément j'écris à la fois du vrai car je ne sais pas faire de fiction (ou alors de la 'poésie') mais aussi de la façon dont j'imaginerais aimer le billet de l'extérieur comme lecteur).
On verra si je continue ou si vous ne me verrez plus, car loin d'avoir fait le tour du sujet je m'intéresse à moult autres domaines, comme l'histoire et les mythes bibliques, et beaucoup d'autres choses qu'on lit ailleurs qu'ici sous d'autres noms, pseudos...
Pour mémoire 27 janvier 2021