Je l'aime ma copine détestée 

ectatrip a écrit

Tout commence avec cette odeur. Une odeur écœurante, de laboratoire mal lavé, de poisson fermenté.
Ambiance disco, brillance et blancheur éclatante, sensible et fragile : ma copine est devant moi. Ma copine pue la pisse certe, mais je l'aime comme elle est.

Le temps passe et copine veut nager, nager dans cette barque métallique, une eau spéciale recouvre ma copine.

Elle craque, elle a mal, elle disparaît. Triste ? Non car j'ai gardé son eau spéciale où elle se trouve, dissout.

L'arme est chargé, je vais enfin pouvoir faire l'amour avec elle. Le sang coule, elle pénètre, ressort puis s'installe définitivement dans mon circuit rougeâtre.

Orgasme donc, la vue brouillard, la pompe vitale panique et déclenchement de tremblementaire. Mais le bruit strident et sifflant, le temps s'arrête et ma copine me réchauffe. Les factures, maladie, politique, misère.. sur ce temps d'amour, aucun de ces soucis existe. Seulement ma copine et moi prône.

Dernier câlin, elle me quitte, me laissant dans l'obsession intense et désagréable, d'avoir une chance de la revoir.

Je l'a déteste au fond. 8 mois de relation avec elle, je refuse le mariage car c'est une belle escroc. Elle me quitte pour que je revienne à chaque fois avec mon virement bancaire. Elle a toujours le dernier mot.

3-MMC injectable

Salut mon doudou je vais faire court pour partager mon expérience que tu connais assez bien puisque on a partagé la même chambre d'une cure de désintox mais ton reportage me fait penser à ma bien-aimée, elle pour qui je me foutrais à poil au sens propre comme au sens figuré, sens propre car elle me crée des chaleur de malade j'ai juste besoin d'y penser pour en perdre tous mes moyens pour ne penser qu'à elle et oubliez tout ce qui se passe autour ce n'est pas ce qu'on appelle l'amour être focaliser par une seule chose et le sens propre car quand je la consomme l'embrasse et quand elle me pénètre dans la peau et bah c'est horrible j'ai chaud je me fous à poil à cause d'une excitation excessive je ne pense plus qu'à elle, elle me hante et quand elle n'est plus là je me sens comme une crotte qu'on piétine petit à petit à longueur de journée sur un trottoir et cherche par tous les moyens pour redevenir une crotte entière qu'on pourra encore piétiner quelques instants plus tard c'est bien aimé s'appelle cocaïne