Catégorie : Poèmes - 14 juillet 2017 à 07:30
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E N J O Y
Gaspard a écrit
Content de savoir que tu ne veuille pas te supprimer !!!
C'est qu'à toi aussi ce texte , t'as fait penser à ça ?
La lie a écrit
C'est qu'à toi aussi ce texte , t'as fait penser à ça ?
Non du tout La lie, j'ai écris ça suite a ton post précédent !
J'ai oublié sa figure,
J’ai oublié sa chatte,
J’ai oublié ses seins, sa bouche,
Mais je me souviens de la souffrance.
Non je ne veux plus rêver de la femme, de l’amour.
Je préfère rêver de paysages infinis.
Me droguer tranquillement, toute la nuit.
Personne pour me dire que je déconne.
Personne pour me prévenir que je me détruis.`
Je prend la drogue et j’oublie.
Je l’oublie et son corps s’en va au loin se dissout,
Dans le noir et le noir s’ouvre.
Et je vois une lumière, une couleur qui m’appelle.
Peut-être la mort ?
J’attend la mort, je l’aime, je l’aspire.
Je l’aspire avec l’air et la mort rentre en moi
La drogue et la mort sont mes compagnes.
La nuit, la drogue et la mort.
La nuit à l’infini.
Je rêve, je pars, je m’en vais,
Dans le noir qui s’ouvre sur les couleurs.
« Elle », c’est peut-être la mort.
« Elle », c’est peut-être la drogue qui me trompe.
Et alors ? Je m’en fou.
Elle est partie.
Maintenant je fais ce que veux,
Je peux me laisser aller.
Plus personne pour m’empêcher de partir dans mon délire.
Et les jours ressemblent aux nuits car je n’ouvre jamais les volets.
Les jours ressemblent au nuits et les nuits succèdent aux nuits.
À l’infini ma vie, à l’infini ma vie.
À l’infini ma vie à l’infini ma vie.
Comment pourrai-je mourir ?
Je ne suis plus qu’un esprit.
Comment pourrai-je mourir ?
Je flotte dans la nuit.
Après qu’elle soit partie je croyais que j’allais mourir.
Je pensai que j’aurai la force de me suicider.
Mais l’alcool et la drogue m’ont bien aidé.
Et maintenant ça fait longtemps que je me détruis.
Enfin « détruis »,
C’est probablement ce que vous diriez...
Mais je ne me détruis pas, je vis quelque part,
Ailleurs, loin de vous, loin de toi et même loin de moi.
Je m’échappe dans un infini de pensées, de rêves.
Une confusion que j’aime plus que l’amour.
Et aucune femme désormais ne me fera sortir de mon délire.
Les jours sont des nuits et les nuits succèdent aux nuits.
La nuit à l’infini, ma vie à l’infini.
Je ne crains plus l’amour, je ne crains plus la mort,
Je ne crains plus le corps, le cortège.
Le cortège. Le cortège. Le cortège ! Le cortège !
Qui êtes-vous grand cortèges ?!
Qui êtes-vous qui vous avancez en procession vers mon lit de mort ?!
Arrêtez, partez s’il-vous-plaît ?!
J’étais tranquille chez moi en train de rêver,
Essayer d’oublier l’amour perdu et vous voilà !
Vous voilà !
Qui êtes-vous ?!
Que voulez-vous ?!
Laissez-moi tranquille !
Vous voyez que je suis bien avec mon alcool, ma drogue ?!
Loin du corps, de l’esprit, de l’amour, de la mort...
Laissez moi !
Grand cortège !
Cortège des ancêtre,
Cortège des parents,
Cortège des amis, des devoirs, des obligations, des horaires, du travail, de l’argent, des factures.
Cortège !
Reculez s’il-vous-plaît laissez-moi !
Passer votre chemin grand cortège de la société !
Je suis à part s’il-vous-plait, oubliez-moi dans mon lit, dans le noir, la nuit.
Oubliez-moi s’il-vous-plaît, retournez vers le jour, la vraie vie, le travail.
Cortège des gens.
Cortège de mes devoirs.
Oubliez.
Pourquoi revenir ?
Laissez moi !
Laissez moi...
Hein ? Hein ?
Ah ! Ah c’est toi...
Hein ? Ouai ? Hein ?
Ah non ça va hein...
Hein ?
Ça va hein…
Hein ?
Non non ça va hein...
Hein ?
Non non ça va...
Merci pour le retour Gilda , j'aime bien aussi parfois quand on dit pas uniquement que c'est des trucs de fêlé :)
Quand l'odieux passerait irreverencieusement , dans ce cas dancé dupe d'effet ,
même du plus bel , et fait briller l'ouvrage à défaut de tromper l'avenir ,
d'un trop facetieux amour hargneux , d'une raya de marmots qui n'avait rien , à part la force d'en avoir marre ,à bout portant s'emporter , fétide mare , entrejambe , rêve mouillé ....
Reste t'il des endroits ,où nous pouvons nous mettre à l'envers ...?
Sans pour autant passé pour des tordus ne manquant de rien surtout pas d'aplomb
Dans las air , velleité telecospe le plomb , képa seul à avoir fondu
Et toi , l'as tu eut en toi , et humé , ce fumet de ce qui fut si doux ...
Amante ire , ma colle erre , amant joyeux tendre aimant ....
Diete bridée , pare-faim de cercueil de vieux que l'on vient de clore .....
Quand vient d'éclore un pétale , deux roses , ....s'imisse , et chut !!! la volute tait
fumée de pets , de petites effluves ...vraiment bien , éparses fumées.......
Et fumé par , ce funeste fumier .... Qui fini part , par bien arrivé ...
Une bouche .... béée belle hante dans l'auberge rie ,pas besoin de berges et dérives ...
Là bous , chérie , de tout tes sangs , d'êtes tous tes sentiments ...
... ou décidé à déceder l'heure noblesse , déicide du roi-homme du temps , de tout et tes vides et t'es vide en s'apparaisant fantôme ....
ne doutant jamais , d'où tant de toujours qui finiront qu'à jamaist décédé d'y céder à se dépasser......bien .......décidé , à pas passer par la , appararement des jamais déjà desappareillé ....
Quelques nués de mouches juste pour la convenance , et nues decontenancés ,
sans nuances ni contenances ,air rance revolte tant , temps du tendre manteau ,
trop tôt pour l'heure tard , et trotte tard , âge â mais , et dernier battement de coeur mort de ne pas avoir su servir à autre chose qu'abattre en sinistres pulsations de pulsions des gouts ...
Et rire et vole tant , vite revolte armée , mentale maintenant la cadense y est trempée .....
D'amour la rage de belle haine ,ensemble ils s'amourent à chair en corps plus tendre ment.....
marre , à bout , dernier souffle à-coups paix d'armistice artifice ciel écarlate ,
dans tant de tentants tendements , c'est l'entententement tant attendu , ce lent tempst te ment , scellant tintement
le saoul rire épouvantailleras que le futur à venir .
Un trait pas joyeux , n'est pas sans attrait , si sans entrain , s'en saisi l'arrière train
Sur le banc sans survet , sans autre vetement sur nous ...
Pas a pas c'est possible de pas le dernier , renié pas par le roi ....
Un etron , mes etrennes , et s'étreignent de moi ......un litre à boire pour ne plus devenir ....
Encore une ultime attente salée , tout ... ou rien , parmi tout un choix ....
A plusieurs partout se paye ..... et tout se pare ,c'est des corps ....
Quand touze se passe , et se fond dans le decors, et confonde ,beaux cons et en culs laids.....
Dans un corps beau , une balle ,au milieu fit un trou =fion fut fourré par un "effarouchez-vous pas...
manuels , les arts se nique en vous , reptile , et s'emmenche sans effet , ni effet de manche c'est l'effet que je fais ....
tout né , n'est pas si facilement enviable ,quand c'est dur , ils durent endurer ,
de rudes durees d'enfilade., et ne pas se defiler ,quand defont les fils de suture ...
En beauté , a se saboter tel un as d'épique jeu de cartes ,pas de tarot , mais de taré bien calivré , hante tête de pioche
Sang ,bourbe , pro fond en moi ,
le bourdon bien bourrin le cafard bien bourru ,
Vu bourré de bar en bar ,danse tas bouré
, j'ai ma barbare mine de barré ,pas l'air du minet
Tu t'habituera pas ,a mes bides mes idées au fond de toi
et mon rap hele la mort de la morale
Mes acide me mène a la mine ,la mine bien minée
Trait de K t'anime , traite moi de contaminé
Et qu'on me contamine pas par ta mine de con !
Pas de pourliche,pour te licher l'anus , aussi lisse soit il et silice et ô ami hissez c'est haut ici bas bien trop bas ...
Comprenne qui pourra , qu'on me prend pour un con,
Rassure toi ou pas , si tu crois que t'arrive à le biter
La rat sûr, n'a pas de toit, sur toutes rives peut habiter
Je comprends rien, juste qu'on me prends rien que pour un con
Vexant quand un vrai trouduc ,genre hotte à démo de mouche,
m'ôte les mots de la bouche ,des goût d'ascaris , rien de louche
Rassurante chiante activité , docilement lui présente joli papier
Ouate air de nativité , glougloument funeste ,vers jolis n'ont pas pied
Et je prends le mien, quand trop prise est ta tête ,et tes jambes à ton cou
Et je m éprends de rien , encore moins de toi , dithyrambe hic,petit coucou
C'est chic ,et pas choc , quand saute la corde si coquine coquette à ton cou
Sèche tes chichis mouillé , surtout ici , et aussi sur toi, et vas pas rater ton coup
Sans coup férir, je crois en toi , ton sang beaucoup fait rire,maquillage bio, sacré toi
C'est à mourir de rire , même la mort , sans remord et pas d'accord ne veut pas de toi
Couleur stroumfhf frétillant sur la ligne . Alléluia innatendu , tardif ce cocasse talent
Les cons manquent de rien , surtout pas d'air ,partouze de came m'isole de fortune
Je manque de tout ,sauf de toupet ,et pas tout faux , faute ou péter !
( La vidéo étant bloquée aux -de 18 ans par YouTube ( c'est quoi le souci , c'est de kiffer la tue-mouche ? ), pouvez vous me dire si vous vous la voyez ?
Juste si vous la voyez c'est suffisant , et pas forcément besoin de dire ce que vous en pensez ...
la lie
Oui la vidéo est visible^^
Cool Bah ouais avoue , il eut été ballot de passer à côté d'une telle vidéo ....
Super ton texte, tes jeux de mots sont juste géniaux,
Toi t'es juste sacrement gentil , et ça me fait super plaisir ce que tu me dis là .....
Ces genres de textes que j'appelle pompeusement "poésie" ça ne fait pas longtemps que j'ose les montrer , car ayant d'habitude au mieux des retours d'incompréhension , quand c'est pas des qualificatifs plus méchants sur leurs nullité/ inutilité , et/ou s'inquiétant sinon entres autres pour ma santé mentale ....
J'ai peur que les gens n'arrivent pas à voir les jeux de mots quasi constants et les differentes possibilités de lectures qui font que les textes peuvent avoir plusieurs significations ....
De + histoire de rendre le truc encore plus hermétique , souvent c'est truffé de références qui doivent de prime abord paraître bien incompréhensibles car obscures au lecteur ,
..., et en général assez souvent dans ces textes , il y'a aussi carrément des références très personnelles voir intimes qui ne peuvent être accessibles que par quelques initiê-e-s au fait de certains détails bien précis de ma life ....
tu as écris ca en une nuit ou en plusieurs fois?
C'est écrit d'un jet , et les trucs dans les blogs de PA , c'est souvent simplement à l'origine un MP qui est parti "en vrille" ....
Au dessus le texte précedent , c'est plusieurs assemblés , et ça a du être écrit en tout en 1h ~1h½ grand max ....
Par contre avant "publication" ,là , je passe plus de temps à relire , déchiffrer , "mettre au propre" , corrigé , "remettre dans le bon sens" , et c'est très souvent pas mal "coupé" , "censuré" , "expurgé" de trucs qui plusieurs jours après écriture , même à moi , sont totalement incomprehensibles , quand j'en ai pas juste tout simplement honte ...
Et encore merci Baïkal pour le petit mot !
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Tutenchamun
Wenn die Polizei vorbei fährt, ja
Dann halt ich erst mal an, ja
Nimm 'ne Zise aus der Schachtel, ja
Und spiel auf harmlos das Schema F, ja
Haben sie was getrunken, ja
Fragt mich die Polizei, ja
Ich schrei ganz laut "Nein", ja
Ich hab tierisch Durst, ja
Haben sie Drogen genommen, ja
Doch da fällt mir was ein, ja
Zu Hause auf dem Sofa, ja
Habe ich alles da, ja
Ein Polizist mit Elfen-Ohren
Mit diesen Elfen-Ohren schreibt er was auf
Meine Name ist Garfield, ja
Ich war schon immer da, ja
Und jetzt bin ich auch da, ja
Und du bist auch da, ja
Wir sind beide da, ja
Zusammen in der Universe, ja
Zusammen mit der Polizei, ja
Ich erzähl ihm was von Salbei, ja
Eukalyptus und Menthol, ja
Ich bin unschuldig, ja
Like Manitu, ja
Das ist der Killer, ja
Ein Polizist mit Muster drauf
Mit diesem Muster drauf sieht er gut aus
Hilfe, ich werd verhaftet, ja
Ich hab doch nur Pappen da, ja
Hilf mir Schiva, hilf mir Goa, ja
Hilf mir Psytrance, ja
Goa, Goa, Goa, MPU, ja
U-U-U-U Goa Zwerg, ja
Goa, Goa, Goa, MPU, ja
U-U-U-U Hare Rama, ja
Plötzlich leuchtet mir ein Schwein, ja
Mitten in die Fresse rein, ja
Viel zu hell der Sonnenschein, ja
Ich mach schnell die Augen zu, ja
Ein Polizist mit Laserschwert
Mit diesen Laserschwert schreibt er was auf
Ein Lächeln kommt von Herzen hoch, ja
Ein Lächeln kommt von Tutanchamun, ja
Ich bin Tutanchamun, ja
Tut-tut-tut-tut, ja
Ich hab Pappen, ja
Ich hab mit den Pappen gar nichts zu tun, ja
Tut-Tut-Tutanchamun, ja
Ich hab sie gefunden, ja
Gestern Abend im Auto, ja
Seitdem suche ich nach euch, ja
Ich brauch dringend Hilfe, ja
Im Auto läuft immer Goa, ja
Ein Polizist mit Krallen dran
Mit diese Krallen dran hebt er was auf
In Parchim gibts ne Polizei, ja
Ich fahr erst mal los, ja
Gedanklich bin ich schon da, ja
Von der Liquid Time zu Shiva Moon, ja
Von der Full Moon hoch zur Ostsee, ja
Von der Reeperbahn nach Hause, ja
Im Scheiß-Saal eingepennt, ja
Das Problem in dem System, ja
Ist das System, ja
Das System ist das Problem, ja
Das System hat keine Eier, ja
Das System ist im System, ja
Ich hab kein Problem, ja
Ich bin Schizophren, ja
Ich bin das System, ja
Ein Polizist steht mit seinen Eltern da
Mit seinen Eltern will er nach Hause
Ich hab mich angeschnallt, ja
Ich hab mich weggeknallt, ja
Ich hab mich voll verknallt, ja
Ich bin gar nicht da, ja
Ich bin 'ne Fata Morgana, ja
All die dummen Schweine, ja
All die boring Schweine, ja
Gehen an der Leine, ja
All die boring Schweine, ja
Hören gar kein Goa, ja
Goa-Goa
Hare-Hare Rama, ja
Hare-Hare Goa, ja
Hare-Hare Rama, ja
Goa-Goa Hare-Hare