Nique à la vie , nique à la mort ...
Je voudrais pas croire que c'est foutu , avec elle j'en voulais encore ...
Quelques mots décousus , écrits les larmes au yeux , pour un petit ange que j'aimais ...
Elle à préféré partir ... âme torturée ... accablée par les monstres ...
consciente que survivre à la vingtaine était le plus cinglant des échecs ...
j'ai rien pu faire ... amer..... Maintenant t'es dépassée , car tu fus ... nique sa mère la mort ... quand livide et amère t'humes le vide , un peu stupide , de l'ultime présent ,que tu m'avais offert , ce souvenir d'entant me hantant ....
Tout reste sombre sous les lumières de chimère ,
Je détestes la pénombre ,de cet hier de l'éphémère
Dans ton enclume costume , éclaboussant d' écume de l amertume posthume ,
Décomposée tu l'es , et moi sans effroi , bientôt je le serai ,
Pardonnes le grotesque qui a toujours été moi ,
Dérisoire et malvenu pour partager notre émoi ,
Pardonnes mes outrages , et ceux de mes jeux de mots ,
Aux madones c'est mon hommage , et non que je m'amuse de nos maux...
Dur de tirer un trait ,et composer à présent que tu es passé dans le passé ...
Tu t'es défié à te faire folle ,
Tu m'as déifier , sans faire fi que j'étais fieffé félon ...
Toujours tu m'as fis fier , rendu beaucoup moins amer ...
Faut pas que je me défile quand s’effile ce qui ne tenait plus qu'à un fil ,
Tu t'es rendue folle à te tuer , de tout de ce qui te fut ,
Vidant des fûts de ta foi débile de fiel ,
Sous les effets sans effet , de tant d'effort affolés ,
Tu fécondes le feu de la flamme de ta folie faconde ,
Ça te défoule , et je te confirme que t'es pas trop conne ,
à vouloir t'affirmer que tu n'es pas conforme ...
Enfin ,la porte s'ouvre , là où cette faim nous déportes ...c'est pas fini ça m'insupporte , et sans trêve , Je supportes des rêves bien trop profonds , et qui au fond me déforme...
...qu'importe que ça me crève de tout mon être et mes yeux , Je me morfond ,copie conforme bien trop difforme ...
Et moi bien trop con ,effrayé de fuir la norme ...
L' immense impasse serment du temps d'hier , qu'à la
base tu n'avais pas vraiment voulu faire , mais qu'un beau jour sans fioriture , se fut sincère que tu le fis pour le future ...
Je m'inclines , je psalmodies
Je m'offre aux affres , à présent que t'es passé dans le passé ...
Du pus au teint , je resterais ta petite putain ...
Vainement ta vanité vaine et ses villes velléité ... me manquent ...
Morte , tu manques encore moins d'air ...
...Présentement la bienséance elle aussi nous a abandonné ...
Tout est dépassé ....
L'amertume des ressentiments amères , songe de la vérité du mensonge de nos rêves si réels ,
ça me ronge me dérange et sans trêve, ça m’achève ...
Nique à la mort , nique à sa mère, impasse compressée , dépassée ...
On était trop sûr-e-s , mais la mort comme d'hab , nous a surpassé ...
Vole pour toujours ma belle ...
Ici c'était bien trop terre a terre , pour un ange comme toi si culotté ....
Je t'aime