Misère de sevrage 

Misère, Misère.

Voilà, ça fait une éternité que je suis pas revenu ici.

Après un sevrage aux amphétamines qui me paraissait réussi et un (pour moi gros) soucis avec les douanes et la police criminelle de mon pays, la Suisse, j’avais pris mes distances avec ce forum (par pure parano) qui m’a pourtant énormément informé et aidé, par la lecture, à me sevrer de cette substance qui me rendait la vie si douce et calme.

Pris dans la tourmente, j’ai craqué. Une conso excessive sur une semaine. Enfin le calme, enfin moins d’alcool, l’impression que tout va bien se terminer. Enfin des nuits à pouvoir dormir correctement sans cauchemars ultraréalistes, et sudations anormales. Et surtout fini les Pavor Nocturnus. Ouf j’ai pu respirer sur une petite dizaine de jour.

Mais de peur de revivre cette horreur de sevrage, j’ai décidé de ne pas me réapprovisionner. Et là c’est l’horreur qui se répète (d’ailleurs j’espère en écrivant ces quelques lignes ici, que cela va m’aider dans mon chemin). Les symptômes sont les mêmes qu’après mon premier sevrage (après plusieurs années de conso). 3 premiers jours au lit, et maintenant depuis 4 jours cette impression INTÉRIEURE horrible, quasi insoutenable d’être assis dans une Bugatti Chiron et d’avoir le pied sur la pédale de gaz ET SIMULTANÉMENT sur la pédale de frein. Je suis debout, je gigote dans tous les sens et j’ai qu’une envie c’est de me coucher. Je suis couché, pareil impossible de rester tranquille, et qu’une seule envie, me lever….. J’ai (entre autre) essayé avec du Methylphenidate, 54mg puis 108 mg….aucune amélioration cette fois…

Bref vivement que cela cesse.

Je pensais écrire plus, notamment au sujet mon histoire avec ma commande de RC Benzos et de 1B-LSD qui s’est faite intercepter. Ptêtre que ça pourrait servir à qqun. Mais là je gigote trop, faut que j’aille faire un grand tour dehors….ou me coucher ???

AMEN