Et c'est là que tu te rends compte qu'on t'a tellement maltraitée que tu ne supportes plus ni ton corps ni ta présence.
Que le seul moyen de ne plus faire de cauchemars c'est de fumer de la
weed, malgré l'atarax ou le
zopiclone.
Que la
codéine te fais oublier un peu. Mais que t'es tellement brisée que personne pourra jamais t'aider.
Les os commencent à ressortir de tes clavicules et même manger te donne envie de pleurer.
Les traumatismes ressortent maintenant. Il a violé mon corps et mon âme. Et maintenant seulement je m'en rends compte.
Laissez moi dormir un peu.