Je me suis fais bannir lors de mon 66ème message. Dans la bible le chiffre 66 est la marque de la bête, le monstre, le mauvais, Satan.
Je n'en veux à personne d'avoir fait ça. Mais je reste plein de ressentiment devant l'erreur de mon ennemi. Mon ennemi, c'est celui qui ne m'a pas vu.
C'est un joueur orgueilleux et cruellement naïf. Si les ignorants sont bénis, l'enseignement sera la punition.
Pourtant je ne suis pas revenu pour me venger. Cela lui ferait trop plaisir, je vais au contraire vivre et continuer à être heureux tout en ignorant son cirque pathétique.
Dans le monde des drogues en France et en 2014, il y a quelques personnalités qui se prennent pour des élites. Jean Pierre Galland, par exemple, persiste à vouloir donner au sujet de l'éventuel tolérance du
Cannabis un côté folklorique ou joyeux. Mais qu'en serait-il si c'était la jeunesse qui prenait les commandes ?
Non, Jean Pierre Galland n'est pas un militant de la tolérance du
Cannabis en France, c'est un écrivain, un artiste de la législation qui n'a plus aucun pouvoir d'action sur cette politique.
Quand je me suis connecté sur internet durant les années 2000 pour la première fois, la police était rare sur internet, mais les dictateurs aussi étaient rares. Aujourd'hui, une communauté liée aux drogues est détenue par toujours le même type d'administrateur. Celui-ci veut diriger, modérer, administrer, polir son pouvoir. A cela la cruelle science des communauté qui a rendu les programmes hypersophistiquées.. et inutilement !
Avec Discserver par exemple, la communication était simple, pas d'avatar, pas de gadget, la liberté d'expression prônait.
Le Trollisme est une invention pour donner raison à ces nouveaux programmes. Ceux-ci sont désormais conçus pour donner plus d'aisance à l'administration, il y a un côté amusant non négligeable.
Si internet aujourd'hui ne permet plus de profiter de cette liberté qui existait autrefois, notamment sur des sujets sensibles comme celui des drogues, c'est parce que ces programmes illusionnent désormais les administrateurs et les modérateurs sur l'importance de leur tâche. Ainsi il n'est plus nouveau maintenant d'avoir à faire à des modérateurs nolife, connectés en permanence afin de conserver des baillons, afin que les membres habitués puissent rester. Ces communautés sont aujourd'hui de vraies prisons mentales.
Je n'attaque pas l'administration de cette communauté. Je suis en effet revenu et pour une fois dans l'histoire des communautés à drogues, il y a eu une évolution : j'ai été banni un mois et non à vie.
Depuis quand donner son avis sur un sujet aussi complexe que celui-ci ne doit dépendre que du modérateur ? La loi française rend paranoïaque les esprits les plus faibles, une infraction, théoriquement, c'est quelque chose de flagrant, ou qui se démonte d'argument en argument.
Ainsi j'ai été banni non pas pour avoir prétendu que l'usage récréatif des drogues est bel et bien du détournement de médicament, mais parce que je n'ai pas accepté que l'on m'interdise de démontrer cette réalité.
Et nous en revenons au début de ces paragraphes : Il faut sans doute combattre la naïveté et répondre aux erreurs avec fermeté.
Je suis ici pour combattre la stupidité, d'abord chez moi, puis chez les autres ensuite.