Catégorie : Tranche de vie - 24 mars 2019 à 22:24
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Morning Glory a écrit
Non pas à suivre, pourquoiiiiiiiiiii
Tu allies toujours aussi bien langage doux et cru. Le mélange détonne. J'adore tes textes je te l'ai déjà dit?
Merci pour ton mot ... moi aussi je te lis avec plaisir!
CoachMigui a écrit
Incroyable le texte, le premier paragraphe est incroyable je trouve d'écriture stylistique:
"Elle faisait partie de cette catégorie, assez nombreuse, des jeunes filles qui réussissent à se souiller sans
Je l'ai lu plusieurs fois ce paragraphe, vraiment je le trouve incroyable ! Merci de ce texte boots et j'me réjouis de lire la suite !
janis a écrit
Je te rejoins coachmigui,
Cet extrait est incroyable !
Apres ce qui m'a impressionne Boots c est aussi ta capacité à être très précis techniquement tout en restant sexy.
Merci les amis, je ne fais que décrire les personnages incroyables que j'ai pu rencontrer dans ce domaine....
Les gens sont d'une beauté fascinante. Et pour ma part, c'est la drogue qui m'a révélé ça...
Merci à tous et à toutes pour cette libération!
Les gens sont d'une beauté fascinante. Et pour ma part, c'est la drogue qui m'a révélé ça...
Quelle sorte, et de quelle façon exactement? (si tu as envie de le dire, ça pourrait peut-être m'intéresser)
Anonyme813 a écrit
Quelle sorte, et de quelle façon exactement? (si tu as envie de le dire, ça pourrait peut-être m'intéresser)
Poourquoi la drogue m a aidé à percevoir la beauté des gens? Il faut que je travaille ma réponse... a suivre alors...
janis a écrit
...ton texte est assez indescriptible...en tout cas quel partage
J'ai longtemps hésité à le publier. Mais rassurez-vous, on en a bientôt fini avec le trash. Je vais repasser dans le romantique.
Le chemsex pour moi, c'est avant tout romantique en effet. Une forme d'amour.
Anonyme813 a écrit
Super la suite ! J'ai beaucoup apprécié et je me réjouis de voir la suite qui a pu se passer après cette séance de chemsex ^^
Convalescence
Boots, plaisanteries mises à part, c est très impressionnant et bien écrit. J'aime.
Ocram
CoachMigui a écrit
Super la suite ! J'ai beaucoup apprécié et je me réjouis de voir la suite qui a pu se passer après cette séance de chemsex ^^
Voilà CoachMigui l'Acte 7 : Gestion de la descente
Il est prévu de ne pas fumer du cannabis en même temps, parce que ils ne sont pas certains que cela ne produirait pas un effet très négatif sur leurs cœurs. De plus il a des problèmes cardiaques vu son âge, et le cannabis potentialise la substance mais aussi leurs effets cardiaques .
Sufenta a écrit
Et j’ai souvent eu des retours complimentant ma douceur et mon attention pour la fille enfin voilà pour moi le sex sous prod n’est pas du hard rien à voir au contraire ça fait juste durer les bonnes choses en pouvant en profiter des heures et des heures .. ce qui n’est pas possible hors prod ..
C’est l’aube maintenant, et en effet, Sufenta, ils baisent à leur façon depuis près de dix heures déjà. Alors tout retombe dans un calme le plus profond. Ils rangent le théâtre orgiaque. Douche et lavement pour sortir ce qui peut rester du produit.
Dormir est encore impossible. Ils ont prudemment annulé leurs engagements. Lui, ses réunions du matin. Elle, elle séchera ses cours. Une session dure 18 heures environ hors descente. De 18h00 à midi, il valait mieux anticiper, et sans doute encore l’après-midi pour se reposer..
Ils bavardent en écoutant leur play list de descente, ils s'embrassent, ils écrivent ensemble quelques lignes sur leur expérience de la nuit, et s'endorment tranquillement, à même le tapis d’orgie, en début d'après-midi. Ils s'étirent parfois, leurs corps sont tout fripés de prod, et ils se sentent bien. Il lui rappelle que leurs vessies étant à présent totalement anesthésiées, il leur faut uriner de façon consciente, et aussitôt elle le surprit en se levant Spoiler , en le regardant au fond des yeux, avec son cou gracile et son regard de voyou innocente, aux pupilles immenses.
Photo: Mathilde Biron, sur pellicule argentique périmée, "Deux amants", collection BP. Ce cliché illustre bien la douceur de la redescente à deux, et l'intimité des deux personnes
La descente à deux, c’est un moment privilégié du chemsex aussi.
Rappel des mesures de RDR mises en œuvre durant cette session
produits Test allergique, test préalable, pas de mélanges, produits pesé et préparé à l’avance en quantité suffisante et stock mis à l’écart (pour éviter le redrop), trip report
ROA (mode d’administration) Embout de lavement individuel, préservatifs, sur godes, seringues individuelles (pas de filtrage toupie)
Aspects sexuels et sanitaires Préservatif (exception, rare en chemsex), test HIV et hépatite C préalables et réguliers
Risque set and setting Vérification du bon état psychologique, appartement privé avec tout le matériel préparé à l’avance, musique, tapis de sol, désinfectant, gel antiseptique, eau à boire, séparation de la zone des produits et de la zone de sexe
Risque de sécurité Protocole d’administration écrit, coordonnées du lieu pour prévenir les secours
Clarté du consentement Acquis préalablement par de nombreux échanges de mails et validé en début de session par oral, validation commune du protocole d’administration
Compétence Produit et ROA testé unilatéralement au préalable
Respect Les deux partenaires se connaissent et se font confiance, ont des relations épistolaires hors sessions, alternance des prises pour pouvoir veiller sur l’autre, gestion commune de la descente
Antilogue pour répondre à Morning Glory
Il voyait des dizaines de gens, il avait beaucoup de correspondants. Mais des partenaires comme elle, brillante, dévergondée, désinhibée, il en avait très rarement, un par an au maximum. Un mec périphérique comme lui, il rencontrait rarement des « âmes sœurs ».
Et pourtant… quand la jeune fille, une fois descendue, repartit le soir, son cœur à lui ne se serra pas.
Il avait trop souffert lors de sa première rencontre, avec l'Innomée, il continuait de porter en lui cette blessure guérie comme un tatouage intérieur. Depuis, il était devenu lucide. Ne rien attendre d’elle. Il savait qu’elle ne reviendrait pas, un jour ou l’autre, sans même prévenir. Il n’était qu’une expérience dans sa vie. Le vieux prof des débuts. Quelqu’un qui marque, certes, mais celui qu’on peut oublier tranquillement, parce qu’il est trop fort, qu’il paraît très naturel, très géologique. Une sorte de roc : il a toujours été là, il sera toujours là… Et puis il sait tout, pourquoi lui donner des nouvelles ? Mais elle continuera de penser à lui, en silence, comme à une évidence, un élément minéral dans son paysage mental. Il mourra, sans qu’elle puisse imaginer cette mort. Puis, un jour, plus tard, avant qu’elle-même ne meure, dans ses écrits, elle le mentionnera. Plusieurs paragraphes, c’est sûr, peut-être même un chapitre entier. Dès le début du livre, et encore à la fin. Comme Duras ou de Vigan l’ont fait avant elle. Vous savez… elles font toutes ça.
Tout ça, il le savait, et il y pensa, quand il la vit au coin de la porte de l’appartement se détourner de l’escalier, pour lui envoyer un dernier baiser des lèvres qu’elle avait soigneusement repeintes de rouge, après leurs excès de 24 heures, pour affronter l’extérieur.
Il referma donc la porte sans chagrin. Cette gamine, elle ne lui écrirait sans doute plus, il le devinait, ils étaient allés au bout de ce qu’il pouvait lui apporter. L’oublierait–il ? non, assurément. Il lui était infiniment reconnaissant du cadeau qu’elle lui avait fait. D’abord il lui écrirait. Et puis il s’écrirait à lui, à propos d’elle, comme ici. Il rédigerait son portrait, elle peuplerait ses mots dans le village de ses écrits. Il lui trouvait un caractère de personnage de roman, là il pensait du XIXe siècle, du Victor Hugo peut être ?
Il revint dans sa chambre. Avant de se préparer pour le yoga, il se regarda dans la glace : nez cassé, cheveux ébouriffés, gueule dissymétrique, visage fatigué... Il se rappela l’étrange pertinence consolatrice de ce que lui écrivait cet hiver une de ses correspondantes sur Insta, une adolescente, à l’étranger, loin de Paris, sans rien savoir de lui pourtant, autre que son portrait : « Un visage rentre alors dans ma vision. Je ne le connais pas, ses grands yeux marrons sont inquiets, sa bouche entourée de petites rides aux coins ne cesse de bouger, peut-être me parle-t-il. Je me fais le commentaire que les cheveux poivre-sel lui vont à merveille. Alors je me laisse succomber à cet évanouissement, écoutant les battements de mon cœur qui semble étrangement plus lent et irrégulier… boum boum… une voix me parvient finalement… boum… celle de l’homme aux beaux yeux noisettes… boum il me demande… boum boum… de tenir le coup… boum boum… mais il y a déjà un moment que j’ai abandonné… boum boum… j’écoute sa voix jusqu’au dernier de mes battements…. boum… avant de disparaître boum… ». C’était ce qu’il venait de vivre avec la fille…
La fille de la session lui avait fait tant penser à Elle : le soir, il rêva d’Elle, de l’Innomée. Comme si Elle répondait à son appel, le lendemain il découvrit avec surprise chez lui une lettre. Comme si Elle avait assisté à la scène de la veille et à ses questionnements. Comme si leur lien était demeuré, invisible, secret, et muet. C’était une simple photo qu’Elle avait jadis prise de lui. Jadis… enfin, quelques mois auparavant. Un portait atroce. Encore plus affreux que ce qu’il avait vu dans la glace. Lui, tout cabossé, tout bizarre, inquiétant, un clown, c’est ça… un Fernandel. Une drôle de photo, très vaguement floue. Il n’y avait qu’Elle pour oser lui faire ça, rien à voir avec les shootings esthétisants qu’il faisait régulièrement depuis les mini-partouzes de cet hiver, pour se rassurer.
Au dos de la photo, il y avait six lignes manuscrites. Au crayon de papier, c’était un code entre eux. Un poème, un message. Très ambigu, polysémique. Comme d’habitude. Une sorte de prophétie, un oracle confus, une douce claque, ou une caresse brutale. Il apprit le bref texte par cœur, et ne sut pas très bien où le ranger.
Morning Glory lui avait demandé un jour comment la drogue pouvait lui révéler la beauté des gens. Il ramassa ses pensées, toujours plus claires après une session, ça le rendait plus concentré. Il avait compris que la désinhibition totale apportée par les prods lui avait permis de franchir les frontières, celles du genre, de la condition sociale, ou de l’âge. A chaque fois, dans leurs écrits, dans leurs étreintes, dans leurs délires, au travers d’un corps, d’une intelligence et d’un cœur, les trois ensemble, il lui semblait avoir atteint la proximité de l’âme. Dorénavant à ses yeux, il n’y avait plus de loosers, plus de stars, plus de proie, plus de rivaux, plus de prédateurs. Il n’y avait plus de punks, plus de préfets, de ministres, d’hyper riches, de gilets jaunes, de sdf, de squatteurs, de beaux, de moches, d’adolescents, de vieux, de putes…. Oui, il ne pouvait plus voir les gens comme avant, avoir peur. Lui qui était un handicapé psychologique, compensé en micro-tyran social, maintenant il sentait que de cette impasse s’ouvrait comme une brèche dans la falaise, et qu’au fond s’y trouvait une vive lumière. Il sourit, de ce sourire qui faisait rire ses quelques amantes. La drogue avait illuminé sa vision des autres. Ou alors étaient-ce ces autres qui lui avaient ouvert leurs bras et qui l’avaient rassuré ? Maintenant, les autres, il les voyait autrement que des chiffres.
« Une relation n’est profonde que si elle me change. Les relations humaines ont une bizarre beauté quand je m’y intéresse. J’aime croiser vos regards dans la rue, je crois que je vois vos âmes. »
A suivre: Métaphysique du cracksex
Pour en revneir au produit.. Le truc est addictif de ouf pour moi. Je l ai planqué chez un tiers car incapable de gérer mon stock.
Tu fais bien, ça rassure.
Certain e s détestent ce produit.
En effet.
VIsioman a écrit
j’attends encore la suite avec "appréhension"
juste après , voilà !
Anonyme813 a écrit
On se rend compte que, plus on avance dans l'age, et plus on a une sexualité débridée..
c'est vrai ... l'expérience? Nous, on a manqué d'initiateurs à nos vingt ans ...
marvin rouge a écrit
On se rend compte que, plus on avance ds l'age, et plus on a une sexualite debribee..
On est plus les saintes-nitouche de nos 20 ans..
Envoyer du cul bordel!
Ça dépend des gens ça je pense.
Perso a 20ans moi c'était boites libertines, et plans a x personnes régulièrement, le tout arrosé de coke a outrance.
A 40 je suis sur le mode mono partenaire et le sexe avec ton meilleur pote qui est aussi ta femme, ton associé de défonce, et ton binôme en tout....ben c'est over the top.
Après ça dépend des vécus.
Et je comprends que ceux qui ont été bridés niveau cul en étant jeune se libèrent quand c'est possible a un moment de leur vie.
(Je ferai pareil si c'était mon cas)
Mais faut éviter les généralités.
On est pas moins "sainte nitouche" en vieillissant.
Ça dépend du vécu....
RandallFlag a écrit
Perso a 20ans moi c'était boites libertines, et plans a x personnes régulièrement, le tout arrosé de coke a outrance.
A 40 je suis sur le mode mono partenaire et le sexe avec ton meilleur pote qui est aussi ta femme, ton associé de défonce, et ton binôme en tout....ben c'est over the top
Merci pour ta précision ... d abord c est une histoire merveilleuse que tu racontes... tu me fais rêver....
Ensuite oui tu as raison . Oui ça dépend. Et de fait moi... J'ai beaucoup de retard à rattraper... la vraie partouze en effet (bien pensée, sous prod mais rdr!)
Love
marvin rouge a écrit
On se rend compte que, plus on avance ds l'age, et plus on a une sexualite debribee..
On est plus les saintes-nitouche de nos 20 ans..
Envoyer du cul bordel!
J approuve !!!! Les corps se lâchent plus facilement et dans mon cas, avec ou sans prods.
C'est très bon aussi de retrouver les joies sexuelles "À l état pur"
janis a écrit
comme quoi tous les parcours sont singuliers et il n'y a vraiment pas de règle pré-établie
C'est exactement ce que je pense.
Et oui j'avais oublié, bravo Boots pour ces textes si bien écrits.
Tu es une vraie plume de grand talent.
Rick a écrit
petit détail Il vaut mieux éviter de fumer avec une bouteille en plastique car en présence de chaleur celui ci se dégrade et on peut en absorber involontairement ce qui est (très rarement mortel - je crois qu'il y a déjà eu un décès avec du plastique de merde qui avait bien chauffé..) mais au moins toxique ; alors qu'il est possible d'obtenir du matériel de fume dans le bureau de tabac du coin :)
Oui inhaler du plastique ce n'est pas bon, mais hélas le crack est sans doute pire ?
En l’occurrence mon amie tient à confectionner elle même ses bouteilles...
En principe on ne doit pas brûler la bouteille, il y a le tapis de cendre entre le produit et le col de la bouteille, et on chauffe au milieu du goulot. L'idée est de vaporiser la galette de crack, pas de la brûler, il ne faut donc à mon avis pas chauffer trop près.
Le matériel de fume dont tu parles dans le bureau de tabac.. tu penses à quoi ?
Bootspoppers a écrit
En principe on ne doit pas brûler la bouteille, il y a le tapis de cendre entre le produit et le col de la bouteille, et on chauffe au milieu du goulot. L'idée est de vaporiser la galette de crack, pas de la brûler, il ne faut donc à mon avis pas chauffer trop près.
Le matériel de fume dont tu parles dans le bureau de tabac.. tu penses à quoi ?
En fait ce que veux te dire Ricky-Boy c'est que le simple flux d'air chaud passant dans la bouteille en plastique dégage des merdouilles bien nocives.
D'ailleurs, les mêmes bouteilles de type "eau minérale" ne doivent pas être exposées au soleil, car leur plastique finit par polluer l'eau qu'elles contiennent. (Même scellées et neuves)
Les bang en PVC et autres plastoucs vendus a pas cher dans les tabacs dégagent aussi plein de saloperies.
Le mieux reste le verre ou le pyrex.
Et une pipe a eau en ce genre de matière coûte a peine 30€ sur internet.
Spoiler
Ça vaut pas le coup de se niquer la santé pour si peu.
Je rajouterai que l'aluminium de type alimentaire ne doit pas être utilisé pour fumer non plus.
Ça dégage des saloperies aussi.
Il existe des carrés d'aluminium spécial fumette.
Voilà voilà.
Prends soin de toi.... et de tes ami(e)s.
OrgaWZ a écrit
Très beau textes, à la fois crus, durs parfois, mais toujours empreints d'humanité...
Par contre, vous arrivez à faire quelque chose après le crack ??!?!!!? Perso ça me semble impossible, vu la durée ultra super courte des effets et le craving qui suit je risque pas ne serait-ce que de baser devant une nana !!!!!
Ben nous on bouffe un gramme ou deux disons sur une nuit et une demi journée. Moi je reçois des câlins après chaque fume. Là je suis passif. Après on se pose une demi journée et c est là qu on peut baiser.
Puis on recommence une 2e session.
Monsieurouge a écrit
Yeah,
Jsuis choqué...
C'est tellement animal.
Très bien écrit au passage.
Jaime le sexe hard mais ici c'est beaucoup beaucoup trop pour moi^^
Enfin chacun ses kiffes, je respecte cela.
Peace
C'est bien vrai... merci pour ton ressenti.
*
Récapitulons.
Nous avons déjâ vu:
Première journée en plusieurs actes: hexedrone.
Deuxième journée: cocaine base (crack)
Reste à venir la 3e journée qui sera consacrée ... aux opiacés (morphine) .
A suivre !
Bootspoppers a écrit
Acte trois : mg 400
Image : https://www.psychoactif.org/forum/uploa … our-pa.jpg
Bootspoppers a écrit
Acte trois : mg 400
Image : https://www.psychoactif.org/forum/uploa … our-pa.jpg
ElPipero a écrit
Et c’est reparti...
Encore un texte où le sujet de la drogue va servir à notre cher Bootspoppers pour étaler ses douteuses divagations lubriques salement enjolivées...
Enfin bon, j’ai ptet loupé un des thèmes du forum...
Salut !
Tu as 0 message et tu t'inscris pour dire ça ?
si tu ne me réponds pas je vais devoir te bannir, c'est pas une bonne raison pour venir s'inscrire!
Bootspoppers a écrit
Alors, il se mit lui-même un préservatif sur sa queue qui était assez tendue. Certes à son âge, sa queue n'était ni redoutable, ni énorme, ni très dure, mais la petite avait un sexe encore suffisamment étroit
Perso en produit frais j'aime bien les fruits et légumes chacun son truc
Rick a écrit
très sympa à lire comme d'hab, merci du partage
Après quand je disai ça à l'époque, je m'imaginai que les femmes dans ton blog c'était des femmes de ton âge quoi , des femmes dans les 60-70ans...
perso, comme mes collègues étudiantes, j'ai un peu de mâle avec les hommes blancs mure et plutôt privilégiés qui couchent avec des (très) jeunes demoiselles. Cela me rappel les réseaux de trafic d'être humain dans ma commune, avec les petites Roms qui se font violer contre rémunération à cause de proxénètes plutôt immoraux. Devoir prendre en charge ce genre de gamine, de 12 à 18ans avec des blessures au niveau de la vulve/vagin/anus et les marques de coups mais surtout les clients qui y vont sans le moindre scrupule qu'elle tristesse! Enfin chacun ses parcours, là c'est tout de même incomparable, enfin j'espère haha C'est vrai que je reconnais être sensible sur le sujet mais tant qu'il y a un consentement clair, il n'y a pas de raisons .
L'écart d'âge c'est un sujet sur lequel j'ai eu du mal à digérer certaines pratiques. C'est pourquoi j'ai déjà eu des conversations avec des femmes. Et notamment des féministes radicales, certaines affirment comme quoi ce serait profondément patriarcal et sexiste. En effet, la femme serait une sorte d'objet sexuel, dédié à la consommation et passé un certain âge elle n'a donc plus aucune valeur. C'est pour ça que certains hommes, lorsqu'ils en ont la capacité, ils ne couchent qu'avec des jeunes
Comme notre cher Leonardo
RandallFlag a écrit
Tu abuses Rick.
Sérieusement.
Y'a personne de déchiré physiquement ici, je suppose qu'il y avait du lubrifiant.
Ton intervention est honteuse.
Bientôt tu vas dire qu'il profite de la misère des gens et se tape des crackhead pour une demi galette.
Honteux !!!!
Je suis choqué !!!!
Que fais la modération !!!!
hé ô!
je suis quelqu'un de tolérant et inclusif moi monsieur!
vos accusations me déplaisent.
Anonyme813 a écrit
je suis quelqu'un de tolérant et inclusif moi monsieur!
Comment tu sais que c est un homme? Qu est ce qui te faire dire ça? Il est peut être non binaire... faut toujours que tu caricatures!