Bonjour, bonsoir,
Merci d'avance à ceux qui me lisent. Je n'ai pas écrit ici depuis longtemps et ai eu du mal à savoir par où (re)commencer.J'ai toujours été attentif à mes rêves nocturnes et y repense souvent au réveil.
Cette nuit mes rêves étaient riches en symboles de bien des manières.
Dans l'un d'eux, j'étais dans une scène où tout s'enchaînait à une vitesse JAMAIS vue (même dans un film d'action à l'américaine
).
En 3mn de rêve j'ai pu voir presque toutes mes connaissances d'enfance dans les gradins d'un stades où un mouvement de foule faisait courir tout le monde vers le bas. Je remontais à contre-courant cette foule hystérique, voyant défiler tous ces visages (pour certains je les croyais oubliés de ma mémoire!). J’échangeais un mot avec chacun d'eux puis été séparé par une explosion, un projectile ou une bousculade.
Puis au sommet de ces gradins, j'ai voulu attraper la main de cette fille qui revient souvent dans mes rêves, qui est ma première petite amie en vrai. Et à ce moment un obus se plante dans un tas de sable...
je saute en arrière et comprends que je rêve car je déclencha moi-même l'explosion en disant "boum". Fin du rêveDifficile de se rendormir après un défilement aussi rapide de visages et d'émotions que j'ai résumé très rapidement.
Alors voici le moment de faire ce que je fais dans ce blog : réécrire les paroles d'une chanson... En lien avec un autre rêve de cette nuit, qui s'est passé comme souvent pour moi dans une ville inconnue dans laquelle je cherche quelqu'un qui disparaît et que j'aime."
Babylone ou...
... une ville superbe.
Des petites rues, au bout la mer, des passerelles,
Je r'garde autour de moi, les murs,
Et tu m'dis "viens chez moi, c'est plus sûr".
Babylone ou...
... cette fille si belle,
Ses pistons, ses vilebrequins qui m'appellent,
Je trouve que c'est une danse malsaine,
Dans c'qui r'ssemble à une époque lointaine.
Babylone ou...
T'es où ?
"Baby alone" répond moi dis tu es où ?
Tant de ruelles, dis moi par où !
Je marche vite : un deux, un deux ! Cette ville est belle.
Tu es partie : une deux, une deux ! J'ai perdue celle...
Rues noires, maisons de briques, qui mènent à une mer fantasmagorique.
C'est bizarre étonnant : j'suis sûr de sortir d'ici perdant.
Marre ! Marre ! Allô Anaïs ?
Je ne t'oublie pas même sous dissociatifs !
Je rêve, mal, de choses idéales.
Des drogues qui seraient super géniales..
.
."
Je reprendrai la suite plus tard. Je suis au bout de mon inspiration pour cette musique que j'aime beaucoup !Loin des pays... industriels !Bye !
Dextro