Catégorie : Témoignages - 03 février 2018 à 08:42
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FunkyHunk a écrit
Je pense que ça n'est pas une... "dépendance".
Je suis capable de vaquer à mes occupations, des jours durant,
Que dis-je... des semaines durant.
Et puis quand une bouteille se présente, seul ou pas seul, il n'est pas possible d'arrêter tant qu'elle n'est pas vide (comme cette nuit...).
Quand j'avale une goutte, je ne peux plus m'arrêter, il y a recherche de l'ivresse.
La vraie dépendance, c'est ressentir un manque. (Et je pense que pour toi comme pour moi, notre style de consommation est une bonne nouvelle).
Selon l'OMS il y a 2 types d'alcoolisme : l'alcoolisme aigu, et l'alcoolisme chronique
WIKIPEDIA a écrit
La forme aiguë se manifeste par une consommation occasionnelle, plus ou moins intense (comme le « binge drinking ») et ne comporte pas en règle générale de phénomène de dépendance, contrairement à la dipsomanie et à l'alcoolisme chronique. La forme chronique se manifeste par une consommation répétée (quotidienne, de façon générale) et habituelle, au-delà des seuils de toxicité (deux à trois verres standards par jour4), et n'a pas forcément comme objectif l'ivresse.