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l'état d'esprit, l'HP, les maladies 



Il me semble que l'état, "d'être défoncé" (en délirant sans être amorphe) ou "être perché" (comme j'ai appris à  le dire ici, et que ça me plaÎt à  mort comme expression)... donc l'état d'être perché serait un état psychique un peu différent de l'état naturel ou "de base" d'un individu sain d'esprit.
M'enfin si ce n'était pas mon cas, qu'est ce que ça voudrait dire que mes élucubrations ?
  Un simple exemple peut-être, hédonc je serais bel et bien un exemple pour l'humanité. (enfin)

Et est-ce que ce serait un exemple de ce qu'il ne faut pas faire ?
Ça me fait penser à  la signature que j'ai adorée de quelqu'un sur le forum :
"Je ne suis pas complètement inutile puisque je suis un exemple de ce qu'il ne faut pas faire."

Et l'effet de certaines substances serait de permettre d'arriver à  ce état, ou de l'atteindre, ou d'y être confiné de façon parfois non souhaitée; et la maladie mentale serait d'être aussi bloqué, ou coincé dans un certain état mental, proche ou différent d'ailleurs.

Si des médecins ou des personnes qui ont des connaissances médicales qui permettent d'infirmer ou de confirmer ceci peuvent m'éclairer d'ailleurs, je suis preneur.
(moi je ne suis qu'un ingénieur mécanicien, et je vois également le fonctionnement humain, et donc mental, comme celui d'une machine; hyper-compliquée certes, presque infiniment compliquée, mais une vulgaire machine à  trente mille milliards de cellules)

Et les médocs que certains ont l'air de connaÎtre pas mal ici, seraient des aides, exactement comme les drogues, puisque "drug en anglais", qui permettent également ceci, de changer d'état mental.

Bon, je ne suis pas sûr que quiconque guérisse en lisant ça.

Catégorie : En passant - 31 juillet 2016 à  12:35



Commentaires
#1 Posté par : Alise 31 juillet 2016 à  12:54
Bonjour, La maladie mentale est d'abord une souffrance.

J'ai failli l'écrire en majuscules tant je voudrais que ce message passe : le malade stabilisé n'est pas ignorant ni inconscient de son état. Il n'est pas benêt. Il souffre, c'est tout...

Je ne me défonce pas aux médocs. Je cherche d'une part à  ne pas délirer (le neuroleptique est prescrit pour ça) à  rester maître de ma vie et d'autre part à  ne pas trop souffrir (angoisses et manques abyssaux traitées par les anxiolytiques que je ne prends pas à  haute dose sauf notable exception, quand par exemple je dors mal durant plus d'une semaine, mais je préviens le psy avant - et par les joints).

Un malade stabilisé, un malade mental stabilisé peut se prendre en charge, peut répondre de lui-même, de ses désirs et de ses choix. Il sait qu'il n'a pas intérêt à  marcher hors des clous sous peine de perdre toute responsabilité justement, c'est à  dire ce qui fait de chacun un être humain libre.

Alise

 
#2 Posté par : Alise 31 juillet 2016 à  13:00
PS,

présente-moi l'individu sain de référence  ^^

Je te remercie d'avance...

 
#3 Posté par : DVA5-2Tls 31 juillet 2016 à  14:24
Oui, en tous cas ce n'est pas exactement celui qui est dans mes chaussures.
bises,
David

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