pas à pas... 

pas à pas...

je disais donc dans mon billet précédent que si l’on aimait une chose il fallait si l’on veut en consommer encore, réduire dans un premier temps les risques les plus caractéristiques, mais il faut réussir à gérer son moment de consommation pour que ce ne soit pas vous qui soyez consommé. Pour ma part, je ne vais pas me répéter 107 ans mon produit c’est le crack. Je raconterai peut-être un jour le récit de mon premier kiffe, allez savoir. je vais parler des trucs que j’ai trouvé ou me suis parfois forcée à faire afin de garder pour l’instant ce plaisir dans ma vie en restant bien vivante ( sur le plan médical) mais aussi dans la vie: « retrouver des activités qui ne mettait pas la fumette en première ligne.... où bien des activités qui éloignaient les sortes de tocs  que peuvent mettre en place le cerveau dans une sorte d’anesthésie et d’angoisse que provoquent souvent si ce n’est tout le temps pour pouvoir retournez consciemment cette habitude, tic, ou je ne sais pas comment le nommer. Mais avant d’en arriver là (et oui c’est long de vouloir fumer sans dommages collatéraux), Il faut tout d’abord et je le pense même si ça a pu marcher une ou deux fois en huit ans, savoir se détendre, être dans un lieu où l’on se sent bien et découvrir le réel plaisir qui petit a petit se passera même de descente, celui de fumer seul sans aucun effets parasites, parce que les , “oh j’ai foirer mon kiffe parce que un tel à bougé où la flamme est redescendue: ça il va falloir oublier la seule chose qui vous arrive lorsque vous n’êtes pas satisfait c’est où pour enchainer sur un autre où parce que autre chose vous manque et cette analyse je pense qu’il n’y a que seul que l’on peut s’en rendre compte. je pense que fumer du cailloux n’a rien d’aussi anodin que de faire tourner un joint, cela ne peut se faire que seul, mis à part de très rares occasions car la personne qui est en face de vous est capable comme vous de gérer.
Bref la première chose qui m’a non seulement aidée à ralentir le défilé de kiffe, mais c’est parce que je fume des cigarettes, et bien c’est d’avoir su poser mon doseur et tirer sur un clope…. 9a à été un tel soulagement que j’ai compris à quel point la galette pouvait être perverse, car ce qui faisait que j’enchainais les kiffes plus vite sans qu’il ne me satisfassent était tout simplement lié au fait que mon corps était en manque de nicotine… je peux vous dire qu’après ça j’ai retrouvé le plaisir du Kiffe, mais ce n’est qu’un début. De plus la cigarette était facile à trouver dans la liste de ce qu’il manque au corps, car c’est une fois encore un toxique dont on sait consciemment qu’on a besoin de renouveler la prise même sans aucun autre produit. nous laissons en suspends ce premier pas car d’abord le billet serait trop long ensuite il faut bien comprendre l’enjeux et rien de tel qu’un petite récrée à lire d’autres billets ou autres ne peut-être que bénéfique . à très vite..