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sevrage stilnox 



comment se sortir des griffes du stilnox je me shoote avec et j'aimerai arreter et prendre un truk ki le remplacerai pour ne pas etre en sevrage a savoir que je prends du sub a coté aussi donc il faut eviter les benzo

Catégorie : Sevrage - 20 juin 2015 à  06:39



Commentaires
#1 Posté par : Anonymousse au chocolat 24 juin 2015 à  23:34
Le Zolpidem reste un dérivé de benzo tout de même.
Et avec une demie vie plutôt courte, donc dur a gérer en sevrage.

Donc t'as deux solutions:
Soit tu la joue dégressif en diminuant ta dose journalière d'un quart toutes les deux semaines, jusqu'a en arriver au point zéro.
(mais bon c'est hyper dur de se gérer seul et de ne pas déraper)

Soit tu passes par la case toubib. (ou addicto comme tu veux)
Et tu te fais prescrire un benzo a demie vie longue, tout en respectant un protocole de diminution.
(plus facile a encaisser)

Par contre dans les deux cas il vaudrait mieux que ta diminution se fasse sans shooter le truc.
Quitte a repartir sur des doses plus conséquentes en sublingual.

Mais fais gaffe a un truc, tout sevrage de substances qui touchent aux recepteurs gaba peut être potentiellement mortel si pas bien encadré.
Donc dans le doute je te dirais sincèrement de te faire encadrer médicalement.

Bon courage et je te souhaite de reussir wink

 
#2 Posté par : ideout 09 juillet 2015 à  16:08
Je suis passé par là . Se sevrer soit même et très difficile, voir impossible. Et faire soit même de l'automédication pour se sevrer, c'est la meilleur moyen de faire n'importe quoi. Du plus essayé d'arrêter net, tu as un grand risque de convulsion.

Si tu te sers en plus du Zolpidem pour dormir, il y a toujours, même aux doses normales, une petite période où tu ne dors pas. C'est pour cela que c'est un médicament pervers. Il déplace juste l'insomnie. En plus, ton sommeil et de moins bonnes qualités.

Bref, il faut voir un médecin. Un psychiatre ou un addictologue, c'est le mieux. Pour voir s’ils peuvent te sevrer en ambulatoire ou en hospitalisation.

Moi, j'ai été hospitalisé. Ils m'ont donné de xanax (un du valium en fonction du risque de convulsion) à  dose dégressive. Je n'avais aucun effet de manque, comme lorsque j'essayé. Le sevrage n'a pas duré longtemps.

Ensuite, il faut continuer à  te suivre pour que tu ne replonges pas dedans.

Avec mes connaissances (d'infirmiers), j'avais tout essayé moi-même. Mais ce n'est pas possible soit même. Il faut être suivi pour un médecin. C'est ta meilleure chance, et de loin.

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