Psychiatre et neuroleptiques 

Salut les noctambules ...

Retour sur un épisode qui c'est achevé il y a peut celui de mon combat contre moi même pour mieux comprendre ce morceau d'histoire un résumer est dispo dans mon premier post

Je rentre en France en urgence à  cause d'allu, crise de parano et divers trouble psy

Une ambulance m'attend au pied de l'avion mon cauchemar s'achève du moins ce que je croyais

On me dit que je doit faire un petit Check up a l'hôpital qui ne doit duré que 3 jour Max

Tout allais pour le mieux et puis tout à  déraper

On me dit de prendre des cachets qui doivent "m'aider à  me sentir mieux" mais peut à  peut mon état ce dégrade à  mesure des prises de médoc

Je deviens peu à  peu un zombie vision trouble difficulté à  marcher sans appui, propos incohérents, absence je découvre peut à  peut les "bienfait" des neuroleptiques

Je sombre peut à  peut à  force de benzo AD et neuro je ne sais plus qui je suis où je suis et pourquoi tout cela m'arrive ...

Mon séjour de quelques jours devient des semaines ou chaque jour sont la copie des autres rythmé par la prise de médoc et repas

Dès proche passe me voir parfois mais rarement je voie qu'il on peur ... Peur de ce que je devient peur que je sois définitivement perdu ...

Les jours passe et rien ne s'arrange mes consultations journalière avec ma psychiatre sont vide de sens je raconte des bout de vie sans savoir pourquoi sans savoir ce que j'ai sans savoir combien de temps je vais resté ici

Un jour je me rend compte que sa fait 1 mois que je suis la et rien ne s'arrange ...

Le mutisme des "spécialistes" me rende fou mes troubles empire malgré des doses qui ne peuvent être plus fort ...

Trop fort je sens mes lèvres qui tremble ma mâchoire qui se crispe puis tout mon corps et la ... Impossible de parler des crampes dans tout le corps la mâchoire figé je me traÎne comme je peut vers un infirmier impossible de parler ...

Dyskinésie, trop de neuroleptique et toujours autant d'allucination surtout auditive ... Je comprend alors que les médecins ne peuvent rien pour moi ...

J'enchaÎne les effets secondaire je sombre ... Moi qui croyai en la médecine moi qui croyai que c'était eu les "pro"

Connerie ... Je comprend que pour stoppé le carnage, pour espérer m'en sortir un jour il fallai que je sorte de cette hôpital ...

Alors je me bat pour avoir l'air normal je cache mes troubles je combat ses saloperies de médoc

Un mois et demi... Toujours aucun diagnostic toujours aucune date de sorti ... Je suffoque, je supporte plus cette chambre je supporte plus ce jardin ni cette bouffe ... Je suis loin de chez moi ... "Ne craque pas, ne craque pas" je tien bon et continu mon cinéma auprès des médecins ... Je menace de signé une décharge et de sortir de cet enfer ...

On m'explique gentiment la définition d'une "hospitalisation forcé" je comprend que je doit prendre mon mal en patience ...

Presque deux mois je sort enfin ... Je respire l'air de l'extérieur je voi des gens qui parcours les rues ... C'est divin et surtout je rentre chez moi

Je croi que tout est fini que mon calvaire est fini ... Erreur mon petit ...

Je dort toute la journée aucune force l'esprit brouiller je craque je n'en peut plus de mon état alors je passe en mode "automédication"

Speed ... Putain de speed qui enlève se brouillard dans ma tête qui me sort de mon lit qui me redonné envie de vivre ...

Les neuroleptiques et tout le reste m'on fait prendre 20 kg je me supporte pas moi qui etait tres sportif

Une trace puis une poutre puis des grammes et des grammes ... Je ne dort plus je ne mange plus mais mon cerveau est éveiller ...

Saloperie de neuro, saloperie de médecin... Suis-je condamné à  être accro pour être libre ?

Le speed aggrave mes allu ... Je me rend compte que mes 25g parte de plus en plus vite ... Jusqu'au jour où je jette tout à  la poubelle (quel gâchis )

Je doit me reprendre en main ...
3 jours de sommeil sevrage difficile qui dura une bonne semaine ... Puis les neuroleptiques qui revienne ... Mon esprit est trouble je n'arrive pas à  penser ...

Deja l'été je suis rentré en France début printemps ...

Je voie ma psychiatre comme toute les semaines et je pose la question ... "Qu'est ce que j'ai docteur sa fait des mois que je vois fait confiance en avalant toute ces merdes alors dite moi"

Elle semble gêné puis comprend que si elle me dit rien je stoppe tout ... "Schizophrénie dysthymique et stress post traumatique"

Je me renseigne et comprend la gravité de mon trouble et l'intérêt de mon traitement meme ci celui ci ne semble  pas efficace

Les mois passe et apres changement de neuroleptiques tout rentre dans l'ordre petit à  petit, je vais mieux

Conclusion: les psychiatres ne nous veulent  pas tous que du bien certain obsédé par les médocs oublie le côté humain...
Les neuroleptiques sont une saloperie ... Une saloperie pourtant nécessaire en fonction des pathologies

Désoler pour ce post super long merci de m'avoir lu et suite au prochain épisode