Maria.
Je me souviens toujours des premiers jours, tu sais celui la ou tu ma dit "M ? ... Je... Je t'aime ?" celui la ou tu étais encore une belle et grande femme, tu étais peut être trop ronde pour ce monde, Ouai.
Mais pas pour moi.
Et je t'es vu mourir, impuissante, au fil des mois, tu devenais de plus en plus maigre.
Au début tu avais retrouver ton sourire, tu ma dis que tu faisait un régime.
Il marchait drôlement bien.
En quelque semaines tu avais perdu le peu de graisse que tu avais sur les os.
Et tu n'a pas arrêté de maigrir, tu étais obsédée par ton corps, tu regarder tout le temps tes os.
Et tu as perdu ton sourire.
J'ai voulu te sauver, je t'es emmener a l'hôpital, je me rappelle encore ton bras, si maigre, si fragile, ce bras tendu vers moi, qui appelé au secours.
J'ai essayé, je te le promet.
Mais tu t'es fais envahir par l'Anorexie et j'ai agis trop tard.
Et tu m'as quitté.
En février.
Je me rappel de tes derniers mots, de cette lettre.
«M.
Je n'est pas la force de t'écrire une longue lettre, pour te dire a quel point je t'aime.
Déjà , sache que je ne t'en veux pas, tu as essayé de m'aider, mais je me sens mourir M.
Alors s'il te plais, de l'haut dela, je ne veux plus te voir drogué, alcoolique et fumé comme un pompier
Arrête tes conneries M.
Pense a moi.
Je t'aime.
Je serais ton ange gardien.»
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Catégorie : Témoignages - 11 juin 2016 à 21:06
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