Le sillage se referme derriere le passage du bateau
Avec celui ci les derniers espoirs de libertée des passagers
On leur avait promis paix et repos
Mais les seuls choses qu'ils verront seront desespoir et travaux forcés
Car de leur pensée ils sont restés maitres
Acte de haute trahison au coeur du combat
C'est leur libre arbitre qu'ils ont envoyer paitre
Au grand dam de nos voyageurs aux abois
Mais l'envie de révolte se fait entendre
Alors en quelques salves de fusils
C'est l'esprit de ces travailleur qui est omis
Et dans le champ de leur labeur
Que sont repartis leur cendres
Ainsi la nouvelle cargaison aussitot dressée par les pleurs
Des enfants trop petits pour recevoirs un plomb
Se contentera de s'acharner a l'ouvrage
Pour ce général qui n'a plus de nom
CraJun'