Aujourd’hui je te déclare ma flamme, arriverais-je à ne jamais la laisser s’atténuer, j’en souffre le martyre, mais ne sachant ce qu’il m’attire, je ne saurais adoucir mes pleurs avant que mes mœurs demeurent, dorénavant, l’ardeur de ce simple cœur n’a pas de pudeur, car ton cœur m’effleure à une telle heure et car mon cœur n’en a pas peur. Mon cœur est mon esprit divergent, l’un cherchant un abri pour l’hiver et l’autre un sosie pour l’enfer. Chacun ne sachant chercher, se retrouve fauté, dépassé par les actes et acté par le passé. Ces intrications de sentiments ne font que déranger la houle de nos cœurs et j’ioule avant que je ne meure.
Maintenant ! Cette peur ; peur de quoi ? Comment saurais-je ? Ne serait-ce que… aurais-je l’envie de le savoir, comment vouloir trouver cette animosité, qui suis-je pour vouloir trouver cette animosité, qui suis-je ?